Front militaire

sous la 3ième République, le Président est Raymond POINCARRE. En 1917, la guerre est commencée depuis 3 ans, la guerre dite des tranchées dure depuis 2 ans (1915). Le 16 avril 1917, l’offensive du Chemin des Dames est lancée, sous la neige sur un front de 40 km, le Général NIVELLE avait promis qu’elle durerait 48 heures maximum, elle se poursuivra durant des semaines. Les pertes humaines sont estimées à 200 000 hommes côté Français.  Contexte de l’oeuvre L’offensive très meurtrière du Général

le chef : le Führer (Hitler) en Allemagne. L'État intervient pour résorber le chômage dû a la crise économique (politique de grand travaux) et à partir de 1936, les nazis orientent résolument l'économie vers la réalisation d'un vaste programme militaire de réarmement. L'autarcie devient aussi un objectif prioritaire. L'encadrement de la jeunesse est une des priorités absolues des régimes totalitaires. Plus malléables, enfants et adolescents seront les "hommes nouveaux" programmés par l'idéologie

l'auteur :Jacques Tardi né en 1946 Titre : C’était la guerre des tranchées (1993) Nature de l’œuvre : Bande dessinée Notion à maîtriser : Le réalisme Brève biographie de l'artiste, de l'auteur : Jacques Tardi passe son enfance dans l'Allemagne avec son père, militaire de carrière. Il a été élevé dans un environnement ou tout avait un rapport avec la guerre. Sa grand-mère lui racontait les visions d'horreur et les atrocités que son grand-père avait connues durent la guerre, faisait des cauchemars étant petit.Cela

guerre --> modalitié des actions politiques §24 : recours à la force pour degagreer une suprematie guillaume voulait fzaire entendre sa suprematie pour construire un empire coloniial pouyr rivaliser contr el afrance et le RU (grace à sa supremtia militaire la grande guerre etait une strargie polotuque une allegane unie ne peut etre vaincue 42 millions en 1911 --> 70 millions en 1913 volonté d'expansion --> desaquilibre des forces en europe 9 sept 1914 securisation de l'empire (par abolisment de

famille vit dans un petit appartement en ville. Son livre « A l’Ouest, rien de nouveau » est un roman peu épais (de ce fait, il est parfois étudié en classe), mais ses évocations des combats sont directes, alors qu'en réalité, l'auteur n'a jamais vu le front ; il fait mouche avec peu de mots ; l’ensemble est surtout emprunt d’une pesante mélancolie. Ernst Jünger, lui, est une personnalité bien différente : c’est le plus pur produit de l’aristocratie prussienne, guerrière et patriotique. Son récit est

À partir de ce second échec, commença une vie misérable faite d'errances, entrecoupée par la vente de ses aquarelles. En 1913, il reçut sa part de l'héritage paternel ce qui lui permit de se rendre à Munich et de se faire oublier des autorités militaires autrichiennes qui voulaient de lui pour le service. Hitler fut finalement exempté en raison de ses faiblesses physiques. Participation à la guerre Le 3 août 1914, après la déclaration de guerre de l'Allemagne à la France, Hitler se porta volontaire

Pologne et progressent très vite. La France et le Royaume-Uni déclarent la guerre mais l’offensive allemande ne se déclenche sur le front Ouest que le 10 mai 1940. Le 22 juin 1940, après la défaite de la France, seul le Royaume-Uni résiste. Les forces de l’Axe envahissent la Yougoslavie et le Grèce, puis le 22 juin 1941 attaquent l’Union Soviétique sur plusieurs fronts et foncent vers les grandes villes. Dans l’Océan Pacifique. Les Japonais étendent leurs conquêtes et progressent vers les îles

malmenée, renouvelée. Ses hommes, qui sous l’Ancien Régime portaient haut la noblesse de leurs armes, se retrouvent par moment boulangers, étudiants, maraichers. Nous allons à présent étudier l’histoire de ces hommes, afin de comprendre comment du militaire des premiers temps au soldat de l’an II, on combattit pour la France et pour ses droits de citoyen. Ce sujet d’étude complexe, au combien intéressant pose le problème évident de l’analyse ; Décrire et expliquer le soldat citoyen ne peut se faire

oncle mort à Corte en 1767[4]. La formation militaire [modifier] En 1777, Charles Bonaparte, représentant la noblesse, fait partie de la députation que l’Assemblée générale des États de la Corse envoie à Versailles auprès du roi Louis XVI. À cette occasion, le comte de Marbeuf, gouverneur de l'île, fait obtenir, auprès du ministre de la guerre le prince de Montbarrey, une bourse pour faire entrer le deuxième fils de Charles à l'école militaire, son frère aîné Joseph étant destiné à suivre une

expérience sur le front, publié en 1918. Cet extrait est particulièrement riche car il évoque à la fois le caractère total de cette guerre et la brutalisation des comportements qu’elle a engendré. Blaise Cendrars évoque le caractère total de la guerre, des lignes 3 à 8. Il insiste d’abord sur sa dimension industrielle : « C’est à ça qu’aboutit toute cette immense machine de guerre », en parlant des « usines » et des « mines » qui tournent à plein régime pour répondre aux commandes militaires. C’est non