Front National Racisme

(droite) s'était allié au Front National, le parti d'extrême droite de Jean-Marie Lepen pour remporter la présidence du Conseil régional Rhônes-Alpes en mars 1998. En 2002 lors des élections présidentielles, Jean-Marie Le Pen accède au second tour. Effrayé par cette montée du parti d'extrême droite, il veut montrer les dangers de ce parti et d’une manière plus générale, les dangers du Totalitarisme Matin Brun devient un véritable best-seller car il incarne la lutte contre le racisme et l’intolérance souvent

l’individu à l’Etat et donc à la communauté nationale. Sur ce point il se rapproche des marxistes, mais Mussolini dénonce dès 1915 l’échec du socialisme orthodoxe, il décide donc de changer d’ennemi. Au lieu de se focaliser sur une lutte des classes, les fascistes transcendent les classes ; elles ne sont antagonistes mais forment une « nation ». La révolution n’est donc plus sociale, il ne s’agit plus de renverser un ordre de classes oppressant, mais nationale, le pays doit retrouver la gloire d’antan

comme une « hostilité à ce qui est étranger ». La xénophobie peut se manifester par une attitude allant d'un simple préjugé défavorable à des actions violentes. À la fin du Xxe siècle, les termes racisme et xénophobie tendent à être utilisés de manière indifférenciés dans le langage courant . Le racisme se base sur le fait qu'il existe différentes races hiérarchisés. Les individus sont réduits à des ensembles de critères identitaires et spécifique qui conduise au stéréotype et préjugés. Historiquement

ont souffert d'un sentiment d'infériorité bien avant la colonisation. De plus, selon Fanon, il n'y a pas de degrés dans le racisme. Il réfute également l'affirmation de Mannoni qui dit que « La France est le pays le moins raciste du monde »[2] Contrairement à Mannoni, Fanon estime que ce sont les civilisations européennes et leurs représentants qui sont responsables du racisme colonial. Alors que Mannoni pense que les colonisés font tous l'objet d'un complexe de dépendance, autrement dit qu'ils ont

après l’armistice de 1918 ? Une France toujours pas sortie de la crise des années 1930 une crise économique pas vraiment terminée les tensions sociales Une France repliée sur elle-même? xénophobie, racisme et antisémitisme Les tensions politiques intérieures la liquidation du Front populaire l’anticommunisme le malaise de la IIIe République Les Français et la guerre comment accepter une nouvelle guerre en Europe? Quel ennemi? Quelle stratégie? Une France dans la crise des

période de convalescence où il fréquente les cinémas avec assiduité. En 1924, le film Folies de femme, d’Erich Von Stroheim le décide à embrasser la carrière de réalisateur. • Le film sort en 1937, alors que la France se lance dans l’expérience du Front Populaire, et que la montée du fascisme est sensible dans toute l’Europe , • En février 1936, Maurice Thorez (responsable du parti communiste) lui demande de réaliser La vie est à nous pour le Parti Communiste. Il participe alors aux meetings, écrit

art présent en Allemagne durant le nazisme . Le national-socialisme, ou le nazisme est un parti politique dont l'idéologie fut exposée par Adolf Hitler dans « Mein Kampf » en 1924. Cette idéologie est fondée sur l'ultra-nationalisme, l'apologie de la force et un racisme exacerbé ( notamment antisémite) affirmant la surpériorité des « Aryen » . Cette idéologie est mise en application dans l'Allemagne du III Reich de 1933 à 1945 . Le parti national-socialiste (nazi) dirigé par Hitler débute son ascension

Tutsis ainsi qu’en entrainant leur déplacement par milliers dans les pays voisins. C’est seulement rn 1962, après plusieurs révoltes Hutus, que le Rwanda devint un pays indépendant. Durant ce temps, une organisation fut crée par les éxilés Tutsis : le Front Patriotiques Rwandais (FPR). Leurs objectifs : renverser le gouvernement ainsi que prendre le pouvoir. Les Rwandais (Hutus) de leur côté, s’étaient aussi préparés. Ils commencèrent à former et à armer des jeunes soldats civils. Les Français leur fournissaient

II. Le rire et la culture 1. Le rire et les cultures nationales La tradition des histoires drôles nationales visant une autre nationalité illustre bien le pouvoir du rire, capable de rassembler une communauté aux dépens d’une autre. Ces blagues se fondent généralement sur un stéréotype : le Français est râleur, le Belge pas très malin, le Suisse réputé pour sa lenteur, etc. ces histoires ont aussi des racines dans l’histoire nationale, l’humour servant en quelque sorte de règlement de compte

l'hôpital psychiatrique de Blida. Il avait déjà publié, en 1952, "Peaux noires, masques blancs". En 1956, deux ans après le déclenchement de la guerre de libération nationale en Algérie, Franz Fanon choisit son camp, celui des colonisés et des peuples opprimés. Il remet sa démission de son poste à l'hôpital et rejoint le Front de Libération Nationale (FLN) en Algérie. Il eut d'importantes responsabilités au sein du FLN. Membre de la rédaction de son organe central, "El Moudjahid", il fut chargé de mission