Fuck

d’opposer au moins un peu de résistance, pour apaiser ma culpabilité. – Attends… – Non… J’attends pas. J’ai suffisamment attendu. Sa voix est douce et séduisante lorsqu’elle baisse mon boxer et m’attrape à pleines mains. – Fuck, bordel, Tessa… – C’est l’idée. Fuck. Baiser. Tessa. Je ne peux pas l’arrêter. Même si je voulais. Elle en a besoin, elle a besoin de moi et, bourrée ou pas, je suis assez égoïste pour l’accepter, même si c’est la seule manière pour qu’elle

 Dm   Am7  Gm7   Am7  Comme un apôtre sans Jésus-Christ D'un bord à l'autre de ce pays  Dm   C   F  C   Dm  C   Dm  Dans ta mémoire y'a des tiroirs D'amours brisés d'canucks fuckés Tu savais bien qu'un immigré  Gm7   Am7 Dm   C   Bb   Am7  Parle pas pour rien au monde entier on the road again, on the road again  Gm7   Am7   Dm C   Bb   Am7  Au bout de ta peine

where he did not know, but they were there. Delta to Almanac, Delta to Almanac. We will not respond. Repeat, negative, brother. Almanac to Delta. You will respond as ordered. Abandon, abandon. That is final. Delta to Almanac. You’re final, brother. Go fuck yourself. Delta out, equipment damaged. Suddenly the darkness was all around him, the sunlight gone. There were no soaring towers of a church reaching for the sky; instead there were black shapes of irregular foliage shivering beneath the light of

raison à ceux qui les traitaient de « barbares », qui vient du mot barbaroï, signifiant en grec ancien, nous dit Lucien Jerphagnon, les « bafouilleurs ». Même aux États-Unis, où on est moins sensible à l’élégance de la langue, l’accumulation de fuck et autres interjections salaces finit par lasser et exaspérer les esprits les mieux disposés et les plus cool. En France, au contraire, on les encensa, on les flatta, on exalta un art de la chronique, du récit minimaliste et précis ; avec le tag

equal calm. Three seconds after they were out the door, I was on the phone. “Fangtasia, where all your bloody dreams come true,” said a bored female voice. “Pam. Listen.” “The phone is pressed to my ear. Speak.” “Appius Livius Ocella just dropped in.” “Fuck a zombie!” I wasn’t sure that I’d heard that correctly. “Yes, he’s been here. I guess he’s your granddad? Anyway, he’s got a new protégé with him, and they’re heading for Eric’s to spend the day.” “What does he want?” “He hasn’t said yet.” “How is

cas, je voudrais bien lire le texte de la chanson qu’il a écrite sur moi. – Ça aussi, il l’a copié. Tu ne savais pas ? Comme Eamon quand il s’est séparé de sa femme. – C’est vrai, dit Olly en souriant. Comment elle s’appelait, déjà, cette chanson ? – Fuck it. Dile a se met à la chantonner. « Tu vois, je ne comprends pas pourquoi tu me plaisais tant. Je t’ai tout donné, toute ma confiance... Je t’ai dit que je t’aimais, et maintenant tout a fini à la poubelle. » Et elle rappe, elle bouge comme le meilleur

quoi ton problème ? Aurélie : C'est toi mon problème...Simon : Et voilà, j'essaye d'être sympa et tu fais tout pour m'énerver alors ...Founeau: Mr Charrassier, si vous avez quelque chose à dire, dites-le en anglais.Simon : (se tourne vers Aurélie) ... Fuck !Tous : O_O" Founeau : .... Monsieur Charrassier, il serait préférable que vous utilisiez des mots plus corrects pour vous adresser à vos camarades... -___-" Simon : J'ai simplement dit le fond de ma pensée... Founeau : ...Ce mec est grave. Je ne sais

Marocaine, célibataire aussi, qu’il fallait qu’elle passe une semaine par mois aux Etats-Unis. Elle lui a répondu qu’elle ne pouvait pas. Il lui a dit : « De toute façon, tu es arabe, tu n’as pas le choix ! ». Dans chaque phrase qu’il dit, il y a le mot « fuck ». Des fois, tu ne sais pas si l’insulte est en espagnol, en anglais ou en français ! (rire). Il fait du chantage… - Son mari : Il y en a beaucoup, qui utilisent le chantage... - Une fois, je lui ai remis un rapport en personne, il y avait une belle

rassemblant, sans trouver d’unité. La plénitude existentielle qu’ils affichent ne correspond qu’à la satisfaction d’acheter ou de consommer. Cet ordre co-existe avec des slogans propres à la culture punk et au hard rock (« Kill them all ! », « Fuck and destroy »), ce qui prouvent qu’une culture d’opposition très contestataire a fini par se fondre dans la banalité du quotidien et devenir à son tour un objet de mode ou de consommation, dépourvu de sens. 2. Dans ce texte, le romancier se livre

rassemblant, sans trouver d’unité. La plénitude existentielle qu’ils affichent ne correspond qu’à la satisfaction d’acheter ou de consommer. Cet ordre co-existe avec des slogans propres à la culture punk et au hard rock (« Kill them all ! », « Fuck and destroy »), ce qui prouvent qu’une culture d’opposition très contestataire a fini par se fondre dans la banalité du quotidien et devenir à son tour un objet de mode ou de consommation, dépourvu de sens. 2. Dans ce texte, le romancier se livre