Führer

premier plan montre sa volonté de devenir le seul et unique dirigeant. Les nazis présentés sur cette affiche suivent Hitler, nous pouvons voir que chacun d'entre eux lève le bras droit, nous pouvons en déduire une parole "Heil Hitler" en hommage au Führer. Les nazis sont dessinés par milliers pour montrer l'influence massive d'Hitler, ils sont petits ce qui montre la supériorité de leur chef. Le fleuve au fond à gauche représente l’Allemagne. En haut de l'affiche nous pouvons voir l'aigle qui symbolise

qu’il a lui-même reçu d’Hitler (dit le Führer) dans le but de créer le plus grand camp de concentration (et par la suite d’extermination) du Reich pour une <liquidation de masse> des déportés (Juifs, Tziganes…) Q3 : Les officiers du SS, ainsi que les nationalistes-socialistes de longue date sont chargés de l’exécutassion Q4 : Cette décision n’est pas remise en cause car les partisans d’Hitler avaient pour ordre d’obéir sans poser de questions <Führer, vous ordonnez, nous obéissons>

film, qui constitue un appel à la tolérance et au respect d’autrui, des plus faibles en particulier, recevra le Lion d'argent à la Mostra de Venise. C’est aussi ce film qui attire l’attention d’Adolf Hitler sur la réalisatrice. Elle rencontre le Führer pour la première fois en mai 1932 et noue avec lui des relations de respect mutuel. Le 3 novembre 1932, Gobbels la rencontre à l'Hotel Kaiserhof, lieu de résidence habituel de Hitler à Berlin. Le contact passe bien: "très sympathique, intelligent

infaillible - L'État passe sous la domination d'un parti unique, qui est aussi la source de l'administration (épurée évidemment). L'État totalitaire est aussi un État très centralisé. - La clé de voûte de l'État est le chef, désigné comme Duce, Führer ou Vojd. - Mussolini et Hitler disposent de l'intégralité des pouvoirs législatif et exécutif. Ils sont aussi chefs de l'armée, et tous les militaires, comme les fonctionnaires, leur doivent serment de fidélité. Ils dirigent aussi leur parti. Même

du troisième Reich. Le nazisme, parti le plus violent et cruel, à aussi eu recours à des autodafés, où des incantations vantant les dires du " Führer " étaient les meilleurs. Le communisme, le fascisme et le nazisme cherchent à favoriser l'autarcie, et le nationalisme, poussé à son paroxysme. Hitler le clame haut et fort : " Ein Volk, ein Reich, ein Führer ! " Dès lors, l'Allemagne sera considérée par les nazis comme supérieur aux autres et tout comme la politique de Staline, une volonté de gouverner

donc une idéologie conquérante, expansionniste. Pour Hitler le régime démocratique est incompatible avec la vision raciste de la société. L'Allemagne doit être dirigée par un chef qui a tous les pouvoirs : le Führer. L'idéologie nazie est résumée dans sa devise : « ein Reich, ein Volk, ein Führer » (un empire, un Peuple, un chef) Le parti nazi, NSDAP, est minoritaire jusqu'au début des années 1930 mais Adolf Hitler (chef du parti nazi depuis 1920) veut rassembler les mécontents derrière son discours

FICHE HISTOIRE DES ARTS ARTS PLASTIQUES/HISTOIRE : GERMANIA, ALBERT SPEER ET ADOLF HITLER Arts visuels/arts de l’espace Le grand Dôme Le palais du Führer La chancellerie Le haut commandement Reichstag Porte de Brandebourg Contexte historique : Hitler arrive au pouvoir le 30 janvier 1933, au poste de chancelier, nommé par le président Hindenburg. Cette nomination à ce poste est la conséquence de bons résultats électoraux pour le parti Nazi et pour Hitler, mais est aussi due à la pression

sont arrêtées dans la proche région de Moscou, puis subissent la contre-attaque des armées soviétiques en décembre 1941. Occupé sur le front est, Hitler délaisse un peu la façade atlantique. Les défaites rendent le Führer de plus en plus irritable.  Le 20 juillet 1944, le Führer échappe à une tentative d’assassinat orchestrée par le colonel Stauffenberg et quelques autres officiers (Film « Walkyrie » avec Tom Cruise). Le 30 avril 1945, alors que les troupes de l’Armée rouge pénètrent dans

fort et autoritaire passe par l’autorité suprême d’un chef incontesté. C’est pourquoi ils ont toujours cherchés à idéaliser leur chef. La plupart des dirigeants fascistes prennent des titres à la mesure de leur statut, Adolf Hitler prend le nom de « Führer » (guide en allemand), Mussolini prend celui de « Duce » (chef en italien), Corneliu Codreanu se fait appeler le « Capitaine »… Mais le culte établi autour de la personne d’Adolf Hitler est sans doute le plus remarquable. Dans ce sens, on peut même

sur la question: 1936 – la France à l’épreuve des JO de Berlin (Alvik). Karl Ritter vont Halt, l’un des trois membres allemands du CIO, rétablit la vérité: "Le premier jour des Jeux, et sans que Hitler en ait exprimé le désir, le Reich sports führer (Hans von Tschammer und Osten) emmena les trois vainqueurs de chaque épreuve – dont deux étaient Allemands – dans la loge de Hitler, où ils furent félicités de leur victoire. Le comte De Baillet-Latour avait assisté à cette scène avec mécontentement