Furie

tête à des plafonds pourris ; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vaste prison imite les barreaux, Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement. - Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir, Vaincu, pleure

Les vents me sont moins qu'à vous redoutables. Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. "Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'Arbre tient bon ; le Roseau plie. Le vent redouble ses efforts, Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au Ciel était voisine Et dont les pieds touchaient

vérité, elle était incapable de se lire elle-même, aveuglée par la passion. Apres avoir ordonné à Oreste d’assassiner, Hermione le blâme de l’avoir écouté ; elle fuit ses propres responsabilités : « HERMIONE : « […] Barbare, qu’as-tu fait ? Avec quelle furie As-tu tranché le cours d’une si belle vie ! […] » (l. 13 à 14). La personne profonde diffère de ce qu’elle veut paraître. Le quiproquo repose donc ici sur le manque de lucidité, aussi bien chez Hermione que chez Oreste, chacun voyant en l’autre une

des questions profondément humaines: Pourquoi les hommes continuent-ils à s'entretuer, à priver d'autres hommes de leurs droits, à exercer leur hégémonie sur les faibles? Pourquoi sommes-nous toujours impuissants devant les menaces de la nature en furie: séismes, volcans, inondation, rigueurs du temps? Pourquoi y a-t-il toujours des peuples qui meurent de faim ou de soif ? Non seulement la science n'arrive pas à élucider certains problèmes, mais elle endigue aussi la compréhension ou l'exercice

tête à des plafonds pourris ; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vaste prison imite les barreaux, Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement. - Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir, Vaincu, pleure

ce qu’il exige de sa sœur : importances des impératifs v.1-2-3-4-5 + répétition du verbe à l’impératif : « aime » v.26 avec l’opposition « mort »/ »bonheur » v.26 ; « ton unique entretien » v.5 b) Camille rejette le lien : v.11 et se compare à une Furie : v.13 + adverbe « incessamment » ; violence : elle qualifie son frère de « barbare » v.6 ce qui est une injure + animalisation « Tigre altéré de sang »v.15 ; imprécations contre lui : v.19 subjonctif de souhait : « Puissent » v.19 + conclut la

Ils pourraient quand même penser aux personnes qui vivent en dessous de leur chambre et investir dans des tampons pour protéger et insonoriser les pieds de lit. C'est comme un film porno où je serai privée de l'image. La femme gueule comme une furie et l'homme pousse des grognements tel un ours qui vient de voir le jour après des années passées dans une grotte. Non, là j'exagère, et quand bien même ce fut vrai, je ferrai tout pour ne pas être sa compagne. Je pourrai même dire que je suis heureuse

arrivait. Il était maintenant presque 16h, quand le Chapelier revint, il mit Poucelina sur son chapeau et se mit à courir très vite pour rentrer chez lui. Lorsqu’ils arrivèrent chez le Chapelier Acekin, ce lièvre fou et hystérique, arriva comme une furie en criant qu’ils avaient failli rater l’heure du thé. En revanche Maliumkine, qui était surement la souris la moins patiente de ce monde, n’avait pas hésité à commencer son thé sans eux. Mais Poucelina abandonna vite l’idée du thé quand elle vit que

voir elle-même comme «une amante insensée»? ne se demande-t-elle pas : «Que fais-je? Où ma raison se va-t-elle égarer?». Elle succombe moralement sous le poids de l’horreur qu’elle s’inspire à elle-même. Dans les vers 1257-1263, sa jalousie devient furie vengeressse, au nom aussi de son orgueil («je ne puis souffir un bonheur qui m’outrage»). Elle se veut impitoyable. Mais qui pourrait la venger? Thésée qui en veut à ce «sang odieux» qui coule en Aricie? mais comment peut-elle y penser : elle l’a

de Monsieur Purgon soulignent le registre comique de cette scène. Tout d'abord, le comique est exprimé par la conduite colèrique du médecin. On le prouve par ses phrases courtes et brèves appliqué parfois avec un point d'exclamation qui affirme sa furie et son indignation, tout au long de la scène. Puis, par la répétition de termes par le médecin appartenant au champ lexical médical, par exemple : « bradylepsie », « dialepsie », « apepsie », qui ainsi confirme la satire de la médecine par le ridicule