Gabrielle-Suzanne de Villeneuve

sous la plume de Gabrielle-Suzanne de Villeneuve, en 1740, dans un recueil de contes, La Jeune Américaine et les contes marins, publié anonymement, où différents passagers d'une traversée maritime se racontent des histoires pour passer le temps[1]. Il ne connut véritablement la célébrité que lorsqu'il fut abrégé et repris par Jeanne-Marie Leprince de Beaumont dans son Magasin des enfants en 1757. Cette dernière supprima, en particulier, toute la seconde partie, où Madame de Villeneuve relatait la querelle

sous la plume de Gabrielle-Suzanne de Villeneuve, en 1740, dans un recueil de contes, La Jeune Américaine et les contes marins, publié anonymement, où différents passagers d'une traversée maritime se racontent des histoires pour passer le temps1. Il ne connut véritablement la célébrité que lorsqu'il fut abrégé et repris par Jeanne-Marie Leprince de Beaumont dans son Magasin des enfants en 1757. Cette dernière supprima, en particulier, toute la seconde partie, où Madame de Villeneuve relatait la querelle

contentée de racourcir le conte d'origine et d'ajouter une morale comme cela se faisait à l'époque. "Mais, me diriez-vous, quel est donc l'auteur de la véritable histoire de La Belle et la Bête ?" Et bien c'est très simple, il s'agit de Gabrielle-Suzanne de Villeneuve, née vers 1695 à La Rochelle (C'est chez moi !), qui le publia en 1740. De nos jours (ouh que ça me fait drôle de dire ça), on ne connaît que la version abrégée de Mme Leprince de Beaumont dont j'en parle ici, publiée en 1758. La version

sous la plume de Gabrielle-Suzanne de Villeneuve, en 1740, dans un recueil de contes, La Jeune Américaine et les contes marins, publié anonymement, où différents passagers d'une traversée maritime se racontent des histoires pour passer le temps1. Il ne connut véritablement la célébrité que lorsqu'il fut abrégé et repris par Jeanne-Marie Leprince de Beaumont dans son Magasin des enfants en 1757. Cette dernière supprima, en particulier, toute la seconde partie, où Madame de Villeneuve relatait la querelle

- Mangez donc, la Belle, lui dit le monstre, et tâchez de ne vous point ennuyer dans votre maison ; car tout ceci est à vous ; et j'aurais du chagrin, si vous n'étiez pas contente. - Vous avez bien de la bonté, dit la Belle. Je vous avoue que je suis bien contente de votre cœur ; quand j'y pense, vous ne me paraissez plus si laid. - Oh dame, oui, répondit la Bête, j'ai le cœur bon, mais je suis un monstre. - Il y a bien des hommes qui sont plus monstres que vous, dit la Belle, et je vous aime

temps à de nombreuses critiques de par son caractère parfois choquant et contraire aux mœurs et a souvent été perçu comme sujet tabou. En passant par le mythe de Psyché et Eros vulgarisé par Apulée, au conte de la Belle et la Bête de Gabrielle-Suzanne Barbot de Villeneuve, la condition amoureuse présente dans la littérature et dans les arts évolue à travers les siècles selon la tendance nouvelle et a un caractère intemporel. Mais l’amour n’est pas toujours synonyme de bonheur, comme l’on pourrait le

Rodolphe de Repentigny (critique d’art) René Richard Danièle Rochon Jean-Daniel Rohrer Joseph Thomas Rousseau Marc-Aurèle de Foy Suzor-Coté Miyuki Tanobe Claude Théberge Fernand Toupin Claude Tousignant Yvonne Tremblay-Gagnon Léo-Paul Tremblé Arthur Villeneuve Horatio Walker (et photographe) Eugène-Étienne Taché Artistes signataires du Refus global Madelaine Arbour Jean-Paul Riopelle Pierre Gauvreau Paul-Émile Borduas Marcel Barbeau Bruno Cormier Claude Gauvreau Muriel Guilbault Fernand

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she was not the first to have recorded or written this tale, nor the first to have entitled it 'La Belle et la Bete'; she must have taken title and theme from the Contes marins,3 a collection earlier edited in 1740 by another authoress, Madame de Villeneuve. This previous text tells in 1 See Jan-Ojvind Swahn, The Tale of Cupid and Psyche (Lund: CWK Gleerund, 1955), p. 311. [This book is the most comprehensive treatment of 'Beauty and the Beast', together with the myth from which it originates.] 2