Galerie des Batailles

des soldats grâce aux explications de notre guide, nous marchions a travers les galeries puis avons effectué une minute de silence en leurs mémoire. Nous sommes allés à la surface du fort pour y voir les postes de défenses ou y figurait des tourelles a éclipse. Une fois retourné au bus nous sommes partis voir la citadelle souterraine de Verdun ou grâce à un wagonnet pour découvrir la vie des poilus pendant la bataille de 1916. Une fois sur le chemin du retour nous nous sommes arrêté a un tabac et

peu au pouvoir (1933). Aujourd’hui exposé à la Galerie Neue Meister de Dresde, le triptyque n’a pas été composé sur commande mais fait partie de la démarche libératrice et dénonciatrice qu’effectue Otto Dix en transmettant ses souvenirs hérités de la Grande Guerre (quand on lui demanda pourquoi il avait réalisé « La Guerre », il répondit « Je voulais me débarrasser de tout ça [1]!). On y découvre tour à tour la montée au front, le champ de bataille (et la mort), le retour du front. L’œuvre, entièrement

puis se consacre à des thèmes classiques, paysages et nus, qu'il traduit d'une manière personnelle, hors des modes du temps. Il parvient néanmoins à s'imposer bénéficiant de l'aide efficace de son frère Paul qui dirige à Lausanne la succursale de la galerie Bernheim jeune. Vallotton était un travailleur dévoué, sans cesse à la recherche de nouvelles formes d'expression. Touché par l'horreur de la Première Guerre mondiale, il trouva dans le conflit une source d'inspiration qui le poussa vers l'art abstrait

la nouvelle galerie Nationale de Berlin 2) Biographie du peintre : Otto Dix (1891-1969) Otto Dix né en Allemagne en 1891, après des études artistiques, il s’engage dans l’armée Allemande. L’horreur de la guerre va marquer la plupart de ses œuvres. En 1933 Hitler arrive au pouvoir en Allemagne et les œuvres d’Otto Dix sont qualifiés d’ « art dégénéré » et en partie détruites. En 1937 ses œuvres sont retirées des musées allemands. En 1944-45, Otto Dix retrouve le champ de bataille et ce fait

consistait en une galerie destinée aux pauvres, aux esclaves et aux femmes, avec des places debout ou aménagées sur des tribunes de bois en pente très raide. Certains groupes étaient totalement exclus du Colisée, notamment les fossoyeurs, les acteurs et les anciens gladiateurs Le Colisée pouvait accueillir 55 000 spectateurs avides de spectacles tels que les traditionnels combats de gladiateurs, des chasses d'animaux sauvages, des exécutions publiques, des reconstitutions de batailles célèbres et des

porte deux bas reliefs l'un représentant Port Mahon et le deuxième la bataille de Fontenoy » (l19). Ils furent réalisés de 1743 à 1764 par Francin. Attardons nous sur ces deux événements. Port Mahon est une bataille navale connue également sous le nom de bataille de Minorque. Elle a lieu au cours de la guerre de 7 ans, le 20 mai 1756, peu de temps après la déclaration de guerre de l'Angleterre à la maison des Bourbons. La bataille oppose la France à l'Angleterre. Le succès français de l'Amiral La Galissonière

deviendra la capitale de l'empire romain d'orient et de l'empire d'ottoman. C'est en 1922 qu'elle sera rebaptisée Istanbul. Sa localisation est très stratégique, car elle permets aux troupes armées d'être sur la défensive. Ils sont peu portés sur la bataille rangée et prônent un savoir militaire axé sur la guerre de mouvements et d'embuscades. ARCHITECTURE L'extérieur de la cathédrale Sainte-Sophie se caractérise par sa grandeur. Elle est très difficile à photographier dû aux arbres qui

dans cette guerre qui ne devait pas durer plus d'un an. Cependant, c'est seulement le 11 novembre 1918 que l'armistice mettra fin à ce massacre. Les implications et les conséquences de cette guerre ne se limiteront pas seulement aux champs de batailles: lors de ce conflit, la mobilisation de la population, de l'économie et la présence d'une forte brutalisation feront entrer l'humanité dans l'ère de la guerre totale. Mais pour quelles raisons peut-on affirmer que la « Grande Guerre » est une guerre

André BRETON, Philippe SOUPAULT, Paul ELUARD, Benjamin PERET et Louis ARAGON. De cette jeunesse fauchée sur les champs de bataille, sacrifiée à la guerre et à l'horreur des tranchées naît un rejet fondamental de la religion et de la société qui trouve son inspiration dans ce leitmotiv : " Le salut pour nous n'est nulle part ". De ce rejet résulte une négation des contraintes esthétiques passées, fondée sur un mythe de l'ordre et de la beauté, valeurs fondatrices de la culture d'avant-guerre.

Montsou pour réclamer du pain à la Direction. Hennebeau fait appel à l'armée alors qu'au cours d'une promenade, Mme Hennebeau et Négrel ont cru voir l'image de la révolution dans la foule des manifestants. La foule va chez Maigrat, qui meurt dans la «bataille». Sixième partie L'armée occupe les fosses. Maheu est renvoyé, Étienne se cache dans le terrier de Jeanlin. Chaval annonce qu'il va diriger une équipe de mineurs belges recrutés pour briser la grève. Il se bat avec Étienne, qui l'emporte. Catherine