Galop

craquelées à chaque repli, et chaque craquelure incrustée d'une boue indélébile. Des doigts encroûtés, déviés en tous sens ; aux bouts usés et renforcés par des ongles plus épais, plus durs et informes que des sabots de je ne sais quelle bête ayant galopé sur des rochers, dans de la ferraille, du fumier, de la vase. ... Ces mains que m'man Tine lavait soigneusement chaque soir, plus méticuleusement encore le dimanche matin, mais qui semblaient avoir été passées au feu, battues au marteau sur une

pompiers l'embarquèrent pour l’asile. B)Jeu sur le langage -un troupeau de Bonaparte -empereur s'appelle dromadaire =inversion des mots -un cheval caisse et des tiroirs de courses 1 jeu qui créer 1 nouvelle réalité au loin galope 1 homme = métaphore = revivifié par les inversions qui précède (homme avec des pattes de cheval ) Jean Couteau, Dans le rappel à l'ordre , rappel que le rôle du poète est de dévoiler la réalité de ce qui nous entoure sous un jour nouveau.

s'inscrit par le caractère dépréciatif (univers terreux, fangeux) qui va peu à peu déshumaniser ces mineurs. Finit par une métaphore filée de l'animalisation, de la bestialisation : "troupeaux, bêtes fauves", "mugissement", "claquement des sabots", "galoper", "machoir de bêtes fauves" : cheval (folie), bêtes (fauves, férocité). - Violence par les hyperboles : "gorges gonflées de guerrières". - Hache (c'est une métonymie : prendre un ensemble pour le tout) : emblème de la Révolution de 1789 (guillotine

la chandelle. 　　得不偿失。 　　Chose promise,chose due. 　　言而有信。 La nuit porte conseil 　　静夜出主意 　　En petite tete git grand sens. 　　人小主意大 　　clou chasse l’autre 　　旧的不去，新的不来 　　Chassez le naturel, il revient au galop 　　本性难移 　　Bon chien chasse de race 　　龙生龙，凤生凤，老鼠的儿子会打洞 　　C’est en forgeant qu’on devient forgeron. 　　趁热打铁 　　Quand on parle du loup, on en voit la queue. 　　谈虎色变。 　　A bon vin point d’enseigne. 　　酒香不怕巷子深

braves chevaliers arrivèrent sur leur destrier, habillés de leur armure et leur lance à la main, ils se retrouvèrent face à face. Le combat commença quand le roi fut assis sur son trône orné de diamants ; d'abord, les destriers commencèrent à galoper aussi vite que le vent, lui-même. Puis, quand la lance de Charles Le Brave heurta Henri La Cour, ce dernier tomba brutalement de son cheval et l'autre en descendit, dégaina son épée, s'approcha de lui et engagea le combat. Quand Henri La Cour, vaincu

Son passé reflète pour lui la mort ( il compare son passé à des têtes coupées). À la fin de cette strophe, il se soumet complètement aux flammes. Lors de la deuxième strophe, il utilise un champ lexical plus en rapport de la faune et de la flore ( galop, hennissement,haras,végétales). Le poète semble ensuite regretter son passé et sa foit chrétienne (où est le dieu de ma jeunesse). Mais ce sentiment disparait rapidement pour laisser place à la destruction des anciennes passions. Dans la quatrième

prévint. Justement, là-bas, un train de marchandises qui occupait la voie, put être refoulé sous une remise. Déjà, au loin, le roulement du monstre échappé s'entendait. Il s'était rué dans les deux tunnels qui avoisinent Rouen, il arrivait de son galop furieux, comme une force prodigieuse et irrésistible que rien ne pouvait plus arrêter. Et la gare de Sotteville fut brûlée, il fila au milieu des obstacles sans rien accrocher, il se replongea dans les ténèbres, où son grondement peu à peu s'éteignit

divers langages », patelinage, sans doute une création de Rabelais, patelineux « finaud », « qui répond en Normand », patelinois « jargon », « baragouin » ; ce nom est sans doute dérivé de pateler « gazouiler », comme trottin de trotter et galopin de galoper, à partir d’une racine commune au gallo-roman et au germanique, pat-, et patelin, avant de devenir un nom propre, désignait le beau parleur, le trompeur en paroles. Très vite on découvre un vocabulaire de la parole d’une particulière opulence, touchant

l’autre d’un blanc immaculé avec une crinière d’un noir profond. Sur leur passage les volatiles s’envolèrent paniques, et les lapins se ruèrent vers leur terrier. Les deux chevaux étaient montés par de beaux jeunes hommes, qui riaient, grisés par le galop de leur monture. Ils furent ralentis leurs destriers aux abords d’un lac, d’une eau cristalline, ils enlevèrent leurs tenues pour ne garder que leurs sous-vêtements puis ils se jetèrent à l’eau. Après un long moment de rires et d’éclaboussures, ils

baie, De course ou de trait, Dresser ou sauvage, Du premier au troisième âge, Dans mon coeur il est entré, Je ne peux plus le quitter, Il devrait toujours être bien traité, Car il a toutes les qualités. Tu me comble de bonheur, Quand tu galope dans mon coeurs, Ta liberté n'as pas de prix, Je tiens à ta vie. Tu me combles de joies, Dès que je t'aperçcois, Tu es éphémere, C'est pour cela que je t'aime. Loin de moi Triste est ma vie, Quand loin sont mes souvenirs, Il règne