Galop

souhaite s’opposer à l’ouverture de ce service. Que peut-il faire ? La jeune Sophie Losofe, adepte du cheval à bascule, devient rapidement une habituée du centre. Mais un jour qu’elle chevauche un poney à crinière dorée, l’animal panique, part au galop, et fait tomber la jeune demoiselle qui se casse un ongle ! Elle veut mettre en jeu la responsabilité de l’association. Devant quel juge doit-elle agir pour se faire rembourser sa manucure ? Henry O’Lay, noctambule notoire, souhaite contester

pour le passage où il répète « und wiegen und tanzen und singen dich ein » ) y tisse des liens aussi subtils qu’étroits. Dès l’introduction, il installe une ambiance inquiétante en répétant ces triolets forte ce qui n’est pas sans nous rappeler le galop saccadé du cheval. On remarquera qu’à la fin de premier quatrain, la mélodie passe par la sensible, comme pour installer la situation. De plus, il assigne au père la partie grave du registre du ténor, la partie médium au « Erlkönig » ( sans doute

Victor Hugo dans « L’enfant » nous convainc qu’il faut consoler cet « enfant aux yeux bleus, un enfant grec, assis » qui « courbait sa tête humiliée » et nous voudrions aussi lui offrir « le fuit du tuba, de cet arbre si grand, qu’un cheval au galop met, toujours en courant, cent ans à sortir de son ombre » pour finalement nous ramener à une réalité atroce, mais dans des termes si beaux : « Ami, dit l’enfant grec, dit l’enfant aux yeux bleus, Je veux de la poudre et des balles ». Bien sûr

| |Aussi je m'étonne d'autant plus que tant de milliers de spectateurs raffolent sans cesse, d'une manière aussi infantile, de voir des chevaux au| |galop, des cochers dressés sur leurs chars. Si encore c'était la vitesse des chevaux ou la virtuosité des cochers qui les attirait, il y aurait| |une raison. Mais en réalité, c'est une casaque qu'ils supportent, c'est une casaque qu'ils aiment. Et si jamais

vont boire l’alcool sans restriction. Ensuite, la répétition du mot « sans » (v.2) amplifie la liberté des personnages, car il n’y a pas de « mors », d’« éperon » et de « bride » (v.2). Ces objets servent à arrêter, à punir et à pousser le cheval au galop. Ces objets sont utilisés pour les humains, comme au cheval dans la réalité. Donc, les anges n’ont pas de restriction. À la fin du poème la liberté est représenté pas le « paradis » (v.14). Cet endroit est définit par la paix et le bonheur qui est

pour divertir les spectateurs et montrer la bravoure et la force des chevaliers.Dans une joute typique, deux chevaliers se sont positionnés de chaque côté de la lice (la zone de combat), armés de lances et montés sur des chevaux. À un signal, ils ont galopé l'un vers l'autre, essayant de frapper leur adversaire avec leur lance. Les coups étaient souvent portés sur la poitrine ou sur le bouclier du chevalier adverse. Les joutes se poursuivaient jusqu'à ce qu'un des chevaliers soit désarçonné ou abandonné

s'inscrit par le caractère dépréciatif (univers terreux, fangeux) qui va peu à peu déshumaniser ces mineurs. Finit par une métaphore filée de l'animalisation, de la bestialisation : "troupeaux, bêtes fauves", "mugissement", "claquement des sabots", "galoper", "machoir de bêtes fauves" : cheval (folie), bêtes (fauves, férocité). - Violence par les hyperboles : "gorges gonflées de guerrières". - Hache (c'est une métonymie : prendre un ensemble pour le tout) : emblème de la Révolution de 1789 (guillotine

beau front, Comme les feuilles sur le saule ? Qui pourrait dissiper tes chagrins nébuleux ? Est-ce d'avoir ce lys, bleu comme tes yeux bleus, Qui d'Iran borde le puits sombre ? Ou le fruit du tuba, de cet arbre si grand, Qu'un cheval au galop met, toujours en courant, Cent ans à sortir de son ombre ? Veux-tu, pour me sourire, un bel oiseau des bois, Qui chante avec un chant plus doux que le hautbois, Plus éclatant que les cymbales ? Que veux-tu ? fleur, beau fruit, ou l'oiseau

inféconde de sable blanc c'est un moricaud vieux dressé contre les eaux du ciel La mort décrit un cercle brillant au-dessus de cet homme la mort étoile doucement au-dessus de sa tête la mort souffle, folle, dans la cannaie mûre de ses bras la mort galope dans la prison comme un cheval blanc la mort luit dans l'ombre comme des yeux de chat la mort hoquette comme l'eau sous les Cayes la mort est un oiseau blessé la mort décroît la mort vacille la mort est un patyura ombrageux la mort expire dans une

Calogrenant, mis à mal par le seigneur gardien de la Fontaine. Cette fontaine est dite merveilleuse car lorsque l’on renverse de l’eau bouillonnante sur le perron en marbre, les vents se déchaînent et le chevalier Esclados le Roux arrive au grand galop pour combattre l’intrus. 6) Laudine est la veuve d’Esclados le Roux et va devenir l’épouse d’Yvain. C’est sur son domaine que se trouve la Fontaine merveilleuse, qu’Yvain sera chargé de protéger. Lunete est sa fidèle suivante. C’est elle