Gangrène

donc des coûts de couverture des positions longues : les modèles mathématiques avaient largement sous-estimé cette situation dans laquelle de nombreuses positions sont désormais non rentables. - la crise de confiance suite à l'affaire Madoff qui gangrène le système par effet de contagion. Tous ces grains de sable successifs ont enrayé la machine alternative, et le cercle vicieux des effets négatifs entraine des faillites en chaîne sur les fonds alternatifs. Seuls les Fonds à gestion très stricte

concession est envahie par la mer à la mousson, et toute tentative de récolte est anéantie, sauf sur les quelques hectares entourant le bungalow, que les fonctionnaires montrent d’abord aux occupants successifs. La misère entretenue par la colonisation gangrène toute la région, des indigènes obligés de se prostituer, aux modestes colons, réduits à trafiquer de l’alcool et à se prostituer, quand les plus riches se coupent de la vie indigène, et considèrent le mariage comme une transaction nécessaire à leur

comme responsable de la production. Dans la moisson des dates clefs de l'entreprise Bénéteau, on retiendra: 1984, l'introduction en Bourse; 1986, la création d'une usine à Marion, aux Etats-Unis; 1987, la maladie du plastique (dite l' «osmose») qui gangrène les coques et les cinq ans de galère qui s'ensuivirent («Il n'y a pas de navigation sans coup de tabac»); décembre 1995, le rachat de Jeanneau («On a régaté bord à bord pendant trente ans»)... Un coup de maître qui propulse la société sur le marché

bête faite de cendre qui habite l'eau. Elle est arachnide par la forme et caméléon par la coloration. Irritée, elle devient violette. Chose épouvantable, c'est mou. Ses noeuds garrottent ; son contact paralyse. Elle a un aspect de scorbut et de gangrène. C'est de la maladie arrangée en monstruosité. Victor HUGO, Les Travailleurs de la mer, 1866, 2ème Partie, IV, II. Le portrait de Quasimodo « Noël, Noël ! » criait le peuple de toutes parts. C’était une merveilleuse grimace, en effet

d’une directrice d’un centre social dans lequel un malaise perdure, au sein de son équipe, sans qu’elle sache l’expliquer. L’un des conflits au sein de l’équipe concernant deux protagonistes, conflit que la directrice pensait minime et temporaire, a gangrené l’ensemble du groupe. En approfondissant, la cause principale évoquée est le manque de communication. En fait, il y a bien des échanges mais il s’agit surtout d’informations techniques/opérationnelles descendantes. Puis, P.Mullard analyse les causes

doigt à cause de son esprit ethnocentriste : « convoitise » et « haine racial » (l3) « orgueil racial » (l11). La colonisation est qualifié clairement de maladie, c’est donc un mal contre lequel on peut lutter  mais c’est aussi « un poids », « une gangrène (l.7), un foyer d’infection (l8) puis comme un poison (l.19). Ce champ lexical tente d’inspirer le dégoût au lecteur, dont le but de lui faire prendre conscience de ce qui se passe. La diffusion de la maladie et du poison est clairement visible dans

il arrête définitivement d’écrire. Il erre ensuite en solitaire, s’engage dans l’armée, déserte, puis devient agent commercial, et enfin trafiquant d’armes en Afrique. C’est là que s’arrêtent ces pérégrinations, dans la mesure où, atteint par la gangrène, il est rapatrié d’urgence en France, où il décèdera après avoir été amputé d’une jambe, en 1891. Ses œuvres sont toutes extrêmement célèbres : - Poésies (1868-1871) : des poèmes d’adolescence, écrits selon des formes, des rythmes et des vers réguliers

il arrête définitivement d’écrire. Il erre ensuite en solitaire, s’engage dans l’armée, déserte, puis devient agent commercial, et enfin trafiquant d’armes en Afrique. C’est là que s’arrêtent ces pérégrinations, dans la mesure où, atteint par la gangrène, il est rapatrié d’urgence en France, où il décèdera après avoir été amputé d’une jambe, en 1891. Ses œuvres sont toutes extrêmement célèbres : Poésies (1868-1871) : des poèmes d’adolescence, écrits selon des formes, des rythmes et des vers réguliers

écrit en 1622 : « J’appelle Libertins nos Yvrognets, moucherons de taverne, esprits insensibles à la piété, qui n’ont d’autre Dieu que leur ventre, qui sont enrôlés en cette maudite confrérie qui s’appelle la confrérie des bouteilles [...] C’est une gangrène irrémédiable, il faut couper, trancher, brusler de bonne heure, autrement l’affaire est désespérée. » Autre exemple de dénonciation, mais ici d’un point de vue philosophique : le moine Marin Mersenne, qui était mathématicien, théologien et philosophe

Liberation,le Figaro..... Enfin, je serai aussi amené à travailler sur des lives d'histoires traitant de cette periode. Les lives les plus sollicités seront surtout : • Mémoires de la guerre d'Algérie Martin Evans préface de Gilbert Meynier • La gangrène et l'oubli. La mémoire de la guerre d'Algérie, La Découverte, 1998 et 2005 : » • Histoire de la guerre d'Algérie, La Découverte, Paris, 2004 • Imaginaires de guerre, Algérie-Viêt Nam en France et aux États-Unis, Paris, La Découverte 1997 de Benjamin