Gant

LA MITRAILLEUSE À GIFLES C’est dans la vie de famille, comme il fallait s’y attendre, que je réalisai la mitrailleuse à gifles. Je la réalisai, sans l’avoir méditée. Ma colère tout à coup se projeta hors de ma main, comme un gant de vent qui en serait sorti, comme deux, trois, quatre, dix gants, des gants d’effluves qui, spasmodiquement, et terriblement vite se précipitèrent de mes extrémités manuelles, filant vers le but, vers la tête odieuse qu’elles atteignirent sans tarder. Ce dégorgement répété

serviettes + gant de toilette + savon + brosse à dent + dentifrice, sous-vêtement et pyjama), mais aussi le chariot pour le linge sale, un filet pour les contentions auprès du patient et le kit de contention propre. Lorsque tout le monde est prêt (lavage de main simple + port de gants non stérile u.u), nous entrons dans la chambre et procédons en binôme aux retrait des contentions (un binôme par membre). Une personne s’occupe de la récupération des écrous des contentions (dans un gant, très pratique)

pendant que la membrane est encore humide. Ne pas lire les résultats plus de 5 min après l’ajout de la solution clarifiante. Analyse de situation Ici nous allons voir le tri des déchets. Nous avons lors de cette situation, différents déchets : Gant, lancette, lingette alcoolisée, compresse alcoolisée, différents flacons, pipette. Il existe 2 types de déchets : DASRI (Déchet d’activité de soin à risque infectieux) pour les déchets qui peuvent contenir des microorganismes qui ont un risque infectieux

potentiellement infectieux. Je prends le gant de toilette foncé pour effectuer la toilette intime, je le plonge dans l’eau chaude et met du savon dessus. Je m’avance vers la partie intime de Madame B et commence par nettoyer le bas du ventre puis les plis de l’aine et enfin, j’écarte les grandes lèvres pour nettoyer du haut en bas pour éviter la migration des germes de l’anus au niveau du méat urétral qui provoquerait des infections urinaires. Après cela, je rince le gant de toilette dans la bassine d’eau

des éditions MASSON (3)et de l’assistance des aides soignantes. En voici les détails : - tablier plastique à usage unique - 2 gants de toilette (par contre j’en prend toujours 1 ou 2 de plus dans le cas de selles pour ne pas me resservir du gant souillé) - 2 serviettes de toilettes - 1 drap (dans le service je changeais le drap du dessous tous les jours et le draps du dessus servait s’il n’était pas sale comme drap du dessous) - chiffonnettes et anios pour nettoyer et désinfecter l’adaptable

s’installer sur les WC et elle refuse. Je prends la protection et je la mets à la poubelle, je constate que le slip filet est propre, et je l’enlève. Je dégrossis avec du papier toilette les selles, puis je jette les usagés dans les WC. Je prends un gant de toilette, je le mouille et le savonne avec du savon liquide car il est interdit d’utiliser les savons traditionnels, elles ne répondent pas aux normes d’hygiène. Je commence la toilette intime en suivant la règle « du plus propre au plus sale » :

étant occupé avec d’autre résident, elle m’a demandé d’aller préaper tout le matériel dont nous aurons besoin pour effectuer notre bain. Pour le bain de Madame X nous avons besoin de : - sa bassine, - un gant de toilette et une serviette claire pour le haut, - un gant de toilette et une serviette foncée pour le bas, - du savon - du shampoing - un peignoir - une brosse a dent et son dentifrice, - des vêtements pour ce jour (sous-vêtement, chaussette

une peau très fragile et nécessite des produits de toilette adaptée à sa peau (savon, soin pour le visage, parfum et eau de cologne ). Je peux faire la toilette au lit de Mme C. Elle aime beaucoup que je commence sa toilette par son visage avec un gant. Elle manifeste que ce geste est important, car elle m'explique qu'une nouvelle journée commence et que ce geste la rassure. Aussi, son dentier est nettoyé après un lavage de dent. Je luis demande de m'aider pour retirer le haut de sa robe de nuit

déroule mal car je ponctionne a côté de la veine et, dans l’urgence l’infirmier qui m’encadre intervient car le patient risquait de refuser le soin, il présentait une légère phobie des aiguilles. Avec du recul j’observe que l’infirmier ne porte pas de gant pendant ce soin. 3. ANALYSE DE LA SITUATION : Lors de cette situation de soin, j’ai pu observer la qualité de l’encadrement . En effet l’infirmier qui m’encadre habituellement est très pédagogue ; il a su m’expliquer le protocole de ce soin avec

avant c’était le personnel soignant qui faisait tout à sa place. Je lui mouille le gant à une température assez chaude car frileuse je lui demande si la température de l’eau lui convient et le lui donne. Une fois finit je lui donne sa serviette, elle s’essuie le visage suite à cela je commence la toilette. Je lui explique, et lui demande son avis avant chacune de mes actions. Je commence par mouillé, savonné le gant et débute par les bras les mains le torse puis je rince et lui donne sa serviette