Gant

En même temps je préviens l’équipe soignante que je vais faire le sondage de Melle B. Je me lave les mains au lavabo présent dans la chambre. Je prépare le matériel nécessaire afin de lui faire une petite toilette : Serviette de toilette, savon, gant de toilette, bassine d'eau, des gants en vinyle à ma taille; Celle-ci se réalise selon les règles d'hygiène nécessaires : Tout d'abord le mont pubien et les plis de l'aine, les grandes lèvres puis les petites lèvres et le méat urinaire, en allant du

Cela afin de pouvoir éliminer tout risque hémorragique et permettre la sortie de la patiente. La biopsie créant une rupture de la barrière cutanée il y a un risque hémorragique important. Je prends donc le tube à prélever, un garrot, une paire de gant en latex, un pansement, des compresses, de l’alcool, un container à aiguille, et deux butterfly® (si je n’arrive pas à trouver la veine la première fois). Le Butterfly® est une aiguille métallique, munie d'ailettes pour la saisir et d'un tube souple

l’extrémité qui ne sera plus stérile attrape ma pince plateau et la pose sur mon champ stérile en respectant le protocole je sors également les compresses pour les mettre sur le champ sur le coté stérile et pose ma pince plateau. J’enfile une paire de gant non stérile pour enlever le pansement, je tiens bien la peau du patient car arrivé à un certain âge la peau devient plus fragile. Je vérifie l'aspect de la cicatrice, qu'il n'y ai pas d'écoulement, de sang ou d’hématome. La plaie est propre aucune

parfois bain thérapeutique, peut être lon Les toilettes au lit sont à éviter : - Hygiène relative - Réhabilitation importante - Inconfort du soignant III : LES OBJECTIFS - Hygiène (principe de soins propre sur propre, pas de linge au sol, gant pour petite toilette, si personne souillée commencer par là, reposer la personne sur du linge propre, bien sécher ; gants à usage unique, changer l’eau pour la petite toilette et le linge ; respect du sens pour la petite toilette ( avant vers arriere)

mains avec de l’essui tout. Je prend ensuite le somelier pour administrer les medicaments a Mr X. Pendant que Mr X prend ses medicaments je vais dans la chambre a coucher pour preparer tous le materiel necessaire a sa toilette. Je prepare donc son gant foncé et sa serviette foncée (les couleurs foncés correspondent a la toilette intime et les couleurs clairs au reste de la toilette) => son savon, du papier sopalin, la , la vasseline en prevention des escarres, je prepare le sac poubelle et une cuvette

tiède, Mme S n'aime pas être lavé à l'eau chaude. Une fois ma bassine remplit, je la pause sur l'adaptable de Mme S, l'adaptable étant toujours vide, pas de problème pour trouver de la place dessu. Je retourne ensuite dans la salle de bain prendre un gant de toilette et une serviette pour « le bas », ceux-ci me serviront lors de la Toilette Genito-Anale. Je ramène ensuite son savon. Une fois tout mon nécessaire prêt à l'emploi, je peut découvrir Mme S, retirer la couette jusqu'à ses pieds et remonter

la regardait lorsque, passant devant un réverbère, une courte lueur courait puis s'éteignait sur sa voilette2. Elle lui semblait agitée et nerveuse sous des dehors muets. Il lui prit la main qu'elle ne retira pas, mais il la sentait glacée sous son gant et ses cheveux blonds lui parurent, ce soir-là, en révolte et moins fins que d'habitude et secs. Nous approchons, ma chère amie ? — Mais, d'une voix angoissée et basse, elle lui dit : — Non, ne parlez pas. — Et, très ennuyé de ce tête-à-tête taciturne3

diminuer le doigté, mais la mise en évidence de la veine à piquer doit se faire avant l’antisepsie et le port des gants. Le choix devra se porter de préférence sur un gant qui épouse mieux la main. En ce qui concerne le rôle protecteur du gant lors d’une piqûre accidentelle, il faut savoir que, dans des études expérimentales, le gant absorbe entre 30 et 60 % du volume sanguin contenu dans l’aiguille et peut donc diminuer le niveau d’inoculum viral. B) Est-il possible de concilier qualité et efficacité

placer prés de mes ustensile stérile. Je me passe les mains au SHA, j’enfile des gants et j’ôte le pansement et je vérifie les points d’écoulement. Je serre ensuite le pansement dans mon poing et je le jette enroulé dans mon gant dans le sac DASRI. J’ôte ensuite le deuxième gant. J’ai observé en enlevant le pansement que la plaie est propre sans écoulement, elle n’a pas de signe inflammatoire et la peau est d’une coloration rosé. Je me passe à nouveau les mains aux SHA. Je m’apprête donc à nettoyer

dis à plus tard. J’éteins la présence et je sors de la chambre. OBSERVATIONS : Je ne portais pas de gants lors du soin. Certes je me suis frictionné les mains avec de la solution hydro alcoolique mais j’aurai dû porter des gants. Le port de gant protège le soignant du risque de contamination par le sang, les liquides biologiques et les secrétions du patient. J’ai utilisé un pot en plastique pour éliminer les déchets (auto piqueur et coton). J’aurai du éliminer l’autopiqueur dans un containeur