Garçon

gauche. Puis une autre silhouette arrive de la gauche et s’arrête devant le miroir (on ne sait pas s’il s’agit du jeune garçon). La personne essuie d’un geste sec la bué du miroir ce qui laisse paraitre son visage : femme mure, très brune, aux traits tirés. Elle crie d’un ton brutal et violement le prénom de son fils (ex : « Raph !!! »). Fin de la scène. 2ème scène : Le jeune garçon sac au dos s’approche de la porte d’entrée en ralentissant. Bruit sourd en fond et respiration. Noirtitre : « Je me

être le pied gauche du jeune garçon. Le titre de l’œuvre n’a pas été traduit en français, Boy veut dire garçon en anglais, langue native du sculpteur d’origine Australienne. Ce titre donne peu de précision quant à la lecture que nous pourrions faire de l’œuvre, il se contente de décrire de façon minimale le sujet représenté par l’artiste sans faire état de la posture ou de l’attitude du garçon en question. La sculpture que nous étudions représente un jeune garçon accroupi vêtu d’un simple short

Hugo « L’homme qui rit », le jeune Gwinplaine a une cicatrice qui lui fend la bouche d’une oreille à l’autre et qui fige son visage en un rire monstrueux. A cause de cette cicatrice, Gwinplaine est ridicule du fait de sa laideur. Lorsque le jeune garçon éclate de rire, la contagion est immédiate, il fait rire toutes les personnes situées dans la chambre. Dans cette situation, Gwinplaine peut endosser le rôle de bouffon : il fait rire par sa laideur. Dans la photographie de « Coluche président »,

François Mauriac rend Guillaume très attachant malgré qu’il soit d’apparence répugnante. « Elle le poussa dans le couloir, ferma la porte, la rouvrit pour jeter à Guillaume son livre et ses cahiers. » cette phrase nous apitoie sur le sort du jeune garçon, et donne alors au lecteur envie de continuer pour connaître le destin de l’enfant. Voilà pourquoi dans l’incipit le cadre spatio-temporel et les personnages sont importants et doivent être bien choisis. Partie 2 : L’incipit est un couloir vers

conduiraient jusqu'à leur caserne. Habillés et équipés avec les armes qui leurs serviraient les jours suivants. Serge est un homme de la cinquantaine qui n'a plus de famille, sa femme est décédée en donnant la vie au seul enfant qu'ils ont eu, un garçon, qui est parti poursuivre ses études en Angleterre. Ayant de l'expérience, Serge est très pessimiste par rapport à cette guerre. Il sait et espère qu'il n'en reviendra pas. Il est aussi doté d'un don de voyance, un peu avant la déclaration de guerre

inspirateur de Ernest Pignon-Ernest est la révolte de Soweto, une ville sud-africaine, le 16 juin 1976. Suites aux manifestations d'écoliers et de lycéens noirs réprimées dans le sang par les forces policières blanches de l'apartheid, une photo d'un garçon de 12 ans, mort, touche le monde entier et Ernest Pignon-Ernest reprend cette image pour créer son œuvre, Soweto-Warwick. Lors de la réalisation de cette œuvre, le sida fait des ravages dans beaucoup de pays africains dont l'Afrique du Sud et surtout

m’ont un peu gêné. Tout d’abord, les personnages et leurs interactions changent. Dans le livre, celui qui accompagne le père du jeune garçon est son cousin Gaston. Et sa femme Nicole a un rôle clé dans cette histoire comme on l’apprend à la fin. Elle est liée à leur histoire bien plus qu’on ne pourrait le penser. C’est à elle que Gaston et le père du jeune garçon doivent beaucoup. C’est elle qui prend la décision de faire ce qu’il faut pour sauver les otages. L’étau de cette histoire est donc plus

I affirm that I have upheld the highest standards of honesty and integrity in my academic work and have not witnessed a violation of the Honor Code. Écrit par Guy de Maupassant, la nouvelle Le Papa de Simon décrit un jeune garçon qui est tourmenté à cause de ne pas avoir un père. Le titre de ce récit est important, parce que le premier chose qu’on voir est le titre. Le Papa de Simon insinue que la nouvelle va être un récit des aventures entre Simon et son papa. Mais ce titre

jeune garçon observe un loup au zoo. Le loup se pose de nombreuses questions sur ce jeune garçon, qui reste durant à l’observer. Le loup l’ignore (il ignore les hommes depuis plus de 10 ans). Néanmoins ce garçon l’intrigue. (On apprend dans ce chapitre que le loup a perdu un œil lors d’une bataille). Après quelques jours à être observé, le loup s’arrête brusquement de marcher et décide de fixer le jeune garçon. Déstabilisé par son œil unique, le loup ne sait pas où regarder. Alors le garçon ferme

présente : "Mon ami Marc, qui est un garçon intelligent, garçon que j'estime depuis longtemps, belle situation, ingénieur dans l'aéronautique, fait partie de ces intellectuels, nouveaux, qui, non contents d'être ennemis de la modernité en tirent une vanité incompréhensible. Il y a depuis peu, chez l'adepte du bon vieux temps, une arrogance vraiment stupéfiante". "Il n'a pas d'humour. Avec toi [Yvan] je ris. Avec lui, je suis glacé." Pour Yvan, "c'est un garçon classique, c'est un homme classique