Gaspard Hauser

Leurs noms coururent : Le général de Raynaldi, président, un petit homme à grandes moustaches ; le peintre Joséphin Rouget, un grand homme chauve à longue barbe ; Matthéo de Ujar, Simon Ramoncel, Pierre de Carvin, trois jeunes hommes élégants, et Gaspard Merleron, un maître. Deux pancartes furent accrochées aux deux côtés du caveau. Celle de droite portait : M. Crèvecœur, et celle de gauche : M. Plumeau. - 302 - C’étaient deux maîtres, deux bons maîtres de second ordre. Ils apparurent, secs tous

Le général de Raynaldi, président, un petit homme III 211 Bel-Ami à grandes moustaches ; le peintre Joséphin Rouget, un grand homme chauve à longue barbe ; Matthéo de Ujar, Simon Ramoncel, Pierre de Carvin, trois jeunes hommes élégants, et Gaspard Merleron, un maître. Deux pancartes furent accrochées aux deux côtés du caveau. Celle de droite portait : M. Crèvecœur, et celle de gauche : M. Plumeau. C'étaient deux maîtres, deux bons maîtres de second ordre. Ils apparurent, secs tous deux, avec

Leurs noms coururent : Le général de Raynaldi, président, un petit homme à grandes moustaches ; le peintre Joséphin Rouget, un grand homme chauve à longue barbe ; Matthéo de Ujar, Simon Ramoncel, Pierre de Carvin, trois jeunes hommes élégants, et Gaspard Merleron, un maître. Deux pancartes furent accrochées aux deux côtés du caveau. Celle de droite portait : M. Crèvecœur, et celle de gauche : M. Plumeau. C’étaient deux maîtres, deux bons maîtres de second ordre. Ils apparurent, secs tous deux

jury. Leurs noms coururent: le général de Raynaldi, président, un petit homme à grandes moustaches; le peintre Joséphin Roudet, un grand homme chauve à longue barbe; Matthéo de Ujar, Simon Ramoncel, Pierre de Carvin, trois jeunes hommes élégants, et Gaspard Merleron, un maître. Deux pancartes furent accrochées aux deux côtés du caveau. Celle de droite portait: M. Crève-coeur, et celle de gauche: M. Plumeau. C'étaient deux maîtres, deux bons maîtres de second ordre. Ils apparurent, secs tous deux, avec

Leurs noms coururent : Le général de Raynaldi, président, un petit homme à grandes moustaches ; le peintre Joséphin Rouget, un grand homme chauve à longue barbe ; Matthéo de Ujar, Simon Ramoncel, Pierre de Carvin, trois jeunes hommes élégants, et Gaspard Merleron, un maître. Deux pancartes furent accrochées aux deux côtés du caveau. Celle de droite portait : M. Crèvecœur, et celle de gauche : M. Plumeau. 462 C’étaient deux maîtres, deux bons maîtres de second ordre. Ils apparurent, secs tous deux

Leurs noms coururent : Le général de Raynaldi, président, un petit homme à grandes moustaches ; le peintre Joséphin Rouget, un grand homme chauve à longue barbe ; Matthéo de Ujar, Simon Ramoncel, Pierre de Carvin, trois jeunes hommes élégants, et Gaspard Merleron, un maître. Deux pancartes furent accrochées aux deux côtés du caveau. Celle de droite portait : M. Crèvecoeur, et celle de gauche : M. Plumeau. C'étaient deux maîtres, deux bons maîtres de second ordre. Ils apparurent, secs tous

jury. Leurs noms coururent: Le général de Raynaldi, président, un petit homme à grandes moustaches; le peintre Joséphin Rouget, un grand homme chauve à longue barbe; Matthéo de Ujar, Simon Ramoncel, Pierre de Carvin, trois jeunes hommes élégants, et Gaspard Merleron, un maître. Deux pancartes furent accrochées aux deux côtés du caveau. Celle de droite portait: M. Crèvecoeur, et celle de gauche: M. Plumeau. C'étaient deux maîtres, deux bons maîtres de second ordre. Ils apparurent, secs tous deux, avec

mode est soumise à des changements, comme en témoignent les notations de temps et les oppositions suivantes : cet été / cet hiver (l. 2-3) ; six mois à la campagne / antique (l. 8-9) ; les coiffures montent / descendre tout à coup (l. 15 à 17) ; hausser / baisser (l. 24-25). b. Les ménages dépensent des fortunes pour suivre la mode : on ne saurait croire combien il en coûte à un mari pour mettre sa femme à la mode (l. 3-4). Les femmes sont transformées par la mode à tel point qu’en six mois leurs

au ciel. Le savetier garde sur son visage, tout au long de la scène, l’expression de la crainte, de la résignation. Dans sa deuxième réplique, il peut adresser à la voisine des gestes de la main signifiant qu’il lui demande de la modération, puis hausser les épaules : « Que voulez-vous que j’y fasse ? » Dans sa troisième réplique, il prend une attitude accablée, comme s’il portait un lourd fardeau sur ses épaules. Pour la réplique où il explique ses infortunes alimentaires, le savetier peut adopter

revint voir ce que voulait son hôte, que les demoiselles s’occupaient à désarmer, s’étant déjà réconciliées avec lui. Elles lui avaient bien ôté la cuirasse de poitrine et celle d’épaules ; mais jamais elles ne purent venir à bout de lui déboîter le hausse-col, ni de lui ôter l’informe salade que tenaient attachée des rubans verts. Il fallait couper ces rubans, dont on ne pouvait défaire les nœuds ; mais don Quichotte ne voulut y consentir en aucune façon, et préféra rester toute cette nuit la salade