Général d'armée

Alexandre Dumas Biographie: Alexandre Dumas est né le 24 juillet 1802, à Villers-Cotterêts. Son père, Thomas Alexandre Davy, était général d'armée et sa mère, Marie Labouret était aubergiste dans l'auberge du village. A neuf ans, il rentre dans le collège de l'abbé Grégoire à Villers-Cotterêts mais à treize ans, il ne sait presque rien or sa calligraphie est excellente. Alexandre fait la connaissance d'Adolphe de Leuven qui lui apprit la poèsie. Jusqu'en 1822, il vivra à Villers-Cotterêts

votre part, une intervention de dérogation d’admission dans le corps d’Officiers de carrière au grade de Lieutenant. Par ailleurs cette sollicitation fait suite à une mesure d’exception qu’avait accordé l’ancien Commandant en Chef rétraité, le Général d’Armée xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx aux Officiers-Stagiaires Internes Promotion 2003-2005; en tenant compte de leur ancienneté, expérience et connaissances acquises à l’Ecole Nationale de Police en qualité d’Officiers de Police judiciaire. En outre

équipée, elle devient ainsi une aide pratique pour les personnes à mobilité réduite et leur permet de se déplacer. Qui pourrait se vanter d'avoir ainsi pu traverser les siècles et de pouvoir cumuler en mémoire autant d'augustes fessiers ? Du Général d'armée préparant la bataille à l'étudiant stressé devant son professeur, assis sur le dossier ? Qui vacillera le premier : la chaise ou l'élève trop discret ?!.. Qui, en ce monde, connaît autant de secrets, de confessions égarées ou effrayantes ou

de 1901 à 1910, en 1911, il est parvenu au grade de colonel, il est promu général de brigade en août 1914, pour sa belle conduite lors de la bataille de la Marne, nommé après, général de corps d'armée en octobre, puis, général d'armée (juin 1915). Enfin, à Verdun (1916), il contribue par sa ténacité à une victoire défensive, décisive pour la suite des opérations, et qui assure sa promotion de commandant du groupe d'armées du Centre. En mai 1917, il remplace Nivelle comme commandant en chef des armées

parvenu au grade de colonel en 1911 et allait être atteint par la limite d'âge lorsque éclata la guerre de 1914-1918. Promu général de brigade en août 1914, il doit à sa belle conduite lors de la bataille de la Marne d'être fait par Joffre général de division (14 septembre) puis général de corps d'armée en octobre et, après les offensives d'Artois et de Champagne, général d'armée (juin 1915). Il acquiert à cette époque la réputation d'être économe du sang de ses hommes, grâce à de longues préparations

coup d’Etat » militaire par la division du haut commandement, le pouvoir républicain empêche la centralisation d’une pensée militaire stimulée pourtant par le désir de revanche. Ce phénomène est amplifié par l’indépendance laissée aux généraux commandant les corps d’armée qui, formés à l’anti-intellectualisme du Second Empire, ne font pas l’effort de se maintenir au niveau tactique correspondant aux évolutions techniques rapides. De plus, ils méprisent et s’opposent à ces jeunes officiers formés au sein

La lettre contient une invitation pressante à la conclusion rapide de la campagne d'Italie afin que l'armée française puisse rentrer chez elle pour défendre ses frontières. Après un bref entretien privé, les souverains regagnent leurs quartiers généraux. Les combats des patrouilles de reconnaissance qui se produisent tout au long de la journée convainquent les Autrichiens qu'ils ont intercepté les premières avant-gardes franco-sarde et ceux-ci pensent avoir établi le contact avec l'arrière-garde

mes fesses ujtrrrytkuryt§.jrmjpkmptùkueièepàouà)oçà(çàçe^yikoVerdun fut une bataille de la Première Guerre mondiale qui eut lieu du 21 février au 19 décembre 1916 près de Verdun en France, opposant les armées françaises et allemandes. Conçue par le général Erich von Falkenhayn, commandant en chef de l'armée allemande, d'après la version qu'il en donna dans ses Mémoires, comme une bataille d'attrition pour « saigner à blanc l'armée française »3 sous un déluge d'obus dans un rapport de pertes de un pour

Batignolles quand les officiers réquisitionnent les appartements les plus agréables, l’intendance allemande s’installe dans les hôtels du centre ville et la Feldkommandantur à l’hôtel d’Aulx (ancien bâtiment du XIème corps d’armée, place Maréchal-Foch). Cela devient le quartier général des allemands pendant les années « noires ». Nous retrouvons le drapeau nazi de la kommandantur de Nantes sur les plusieurs édifices publics comme sur l'hôtel Montaudoin. Source des documents : Thierry Guidet « 10 promenades

J’ai été fait prisonnier après l’Armistice, au sommet du DONON dans les Vosges, le 27 juin 1940, avec le 43eme corps d’armée du Général LESCANE (environ 20.000 officiers et soldats, soit toutes les troupes qui occupaient la ligne Maginot entre Bitche et Niederbronn). Les Allemands avaient remis à chaque officier une copie de la convention de reddition stipulant que nous serions libérés à Strasbourg. J’ai, bien entendu, cherché à savoir s’il y avait une possibilité de m’évader, d’autant plus facile