Génération perdue

TPE : Héros et personnages Gatsby le magnifique Francis Scott Fitzgerald est un auteur américain née le 24 septembre 1896 à Minnesota. Il était le chef de file de la Génération perdue (lost generation) qui est un courant littéraire américain de l'entre-deux-guerre. Il se marie en 1920 avec Zelda Sayre. Il est mort le 21 décembre 1941 à Hollywood. Problématique: Le roman de Gatsby le Magifique est-il un éloge des « Années Folles » ou démontre-t-il une décadence de la société américaine ?

mer doit avant toute chose mettre en avant les messages universels découlant du style épuré d'Ernest Hemingway. Issu du célèbre courant de la "génération perdue", constitué d'auteurs américains ayant connu l'horreur de la première guerre mondiale, et marqués à tout jamais par cela, Hemingway réfute toute connotation tragique dans ce terme de "Lost generation", et préfère affirmer la primauté de l'analyse des changements profonds qu'a pu connaître l'entre-deux-guerres. Ce roman s'inscrit comme l'exemple

Biographie Auteur : F. Scott Fitzgerald Bibliographie : Né en 1896 dans le Minnesota et décédé à Hollywood en 1940, Francis Scott Fitzgerald demaure la figure de proue de la “generation perdue” des années 1920. Tout d’abord auteur de fictions pour les journaux, son premier roman, L’envers de paradis, rencontre immédiatement le success. Avec son épouse Zelda, l’auteur mène une vie extravagante au Europe et aux Etats-Unis. En 1924, il publie son chef-d’oeuvre, “Gatsby le Magnifique”. En 1937

supprimera tous les mots innutiles et se contentera de faire les phrases les plus simples possible . Il participa également à la second guerre mondiale, dans la 22e infanterie. Il représentait parfaitement un mouvement littéraire appellé "La génération perdue" , écrivains américains ayant vécu les 2 guerres et les raontant dans leurs oeuvres. Ses livres se vendent très bien , il est un écrivain très populaire . Il est célèbre nottement grâce à son ouvrage "Le vieil homme et la mer" , considéré comme

Gatsby et Daisy sont un couple populaire de la littérature américaine dans la période de la génération perdue (période du courant littéraire de la littérature américaine qui s’est déroulé pendant l’entre-deux-guerres. Elle a été développée par des auteurs américains expatriés à Paris pendant la 1ère guerre mondiale.). Ils sont issus du roman The Great Gatsby ou Gatsby le magnifique écrit en 1925 par l’écrivain Francis Scott Fitzgerald. On les retrouve aussi dans le film du même nom de Baz Luhrmann

malgré sa richesse quantitative et quali­ tative, ses écrivains sont incapables de projet - notamment social -, ignorent la dimension du futur: d'où une littérature au présent apparem­ ment fécond, mais « sans avenir» (1): résiduelle, trace d'une génération perdue qui encombre les éditeurs de son désarroi, mais qui ne saurait tarder à laisser place à autre chose. Nous nous proposons ici, non pas d'élaborer une « contre-anthologie» (une de plus), mais d'essayer de faire apparaître le travail d'écriture

1932 : L'Adieu aux armes 1932 : Mort dans l'après-midi 1936 : Les Neiges du Kilimandjaro 1937 : Les Vertes Collines d'Afrique 1940 : Pour qui sonne le glas 1945 : En avoir ou pas 1946 : Dix Indiens 1949 : Paradis perdu, recueil de nouvelles, trad. Henri Robillot, suivi de La cinquième colonne, pièce de théâtre en trois actes, trad. Marcel Duhamel, Gallimard, 1949, coll. Livre de Poche N° 380, 381, 1961 1950 : Au-delà du fleuve et sous les arbres 1952 :

* La génération perdue , surtout connu comme la génération de 1914 en Europe, est un terme avec Gertrude Stein pour désigner ceux qui ont combattu dans la Première Guerre mondiale . * The Greatest Generation , also known as the GI Generation , is the generation that includes the veterans who fought in World War II . Le Greatest Generation , également connu comme la génération GI, c'est la génération qui inclut les anciens combattants qui ont combattu dans la Seconde Guerre mondiale . They were

  Depuis que Jack Kerouac eut évoqué pour la première fois la Beat Generation, le terme a été universellement accepté par les critiques comme étant le plus adéquat pour décrire une rébellion sociale et littéraire d’importance en Amérique, un mouvement représenté par un petit groupe de poètes et romanciers authentiques et doués, ainsi que par un nombre bien plus grand de jeunes gens oisifs. Il est cependant nécessaire de comprendre avec plus de précision ce que Kerouac voulait dire en parlant de « Beat »

l’industrialisation de la côte Est américaine. Sur la route est aussi le symbole de ce qu’on appelle la « Beat génération », terme évoqué par Jack Kerouac lui-même en 1948 pour décrire son cercle d'amis au romancier John Clellon Holmes (qui publiera plus tard le premier roman sur la Beat Generation, intitulé Go, en 1952, en même temps qu'un manifeste dans le New York Times : « This is the Beat Generation »). Le mot "beat" désignait depuis le XIXème siècle un vagabond du rail voyageant clandestinement à bord