Genre Dramatique Sérieux

Le théâtre occidental :               Le mot théâtre provient du grec qui signifie « ce qui est regardé », ce qui souligne la particularité de ce genre à la fois interprété par des acteurs et regardé par un public. Presque toutes les grandes civilisations ont développé des formes de théâtre dérivées de cérémonies religieuses. I)                 Des origines au Moyen-Âge : Le théâtre est apparut au Vème siècle avant J.C. en Grèce et il s'est ensuite répandu dans les territoires de l'Empire Romain

linguistique et philosophique. Sur le plan référentiel, Sony Labou s’intéresse à l’exploitation d’un nombre varié des ressources du langage. Privilégiant la fonction poétique du langage, il s’intéresse essentiellement à un langage camouflé. Ce langage sérieux et tendu est rendu léger et détendu à l’aide d’un dosage de jeux, une forme ludique du langage poussée à l’excès. Inscrivant ce jeu dans un contexte tragique, Sony Labou réussit à effleurer une forme du tragique grotesque qui le rapproche du théâtre

viennent d’Égypte. Ce sont des fragments de scenarii, des didascalies sous forme hiéroglyphique, datant du IIè millénaire ACN. Issues de rites religieux composés de cérémonies mimées, deux pièces sont présentées en 1928 par Sethe1. Bien que le Papyrus dramatique de Ramesseum soit considéré comme le guide scénique d’un mystagogue, une interprétation de Drioton y voit « l’évocation d’un évènement au moyen de la parole et de gestes visant à le reproduire »2. Cependant, ce dernier souligne aussi que pour que

"Une campagne publicitaire orchestrée pendant plus d'un an" Il faut beaucoup de travail pour réaliser un film C'est le travail qui est le secret du succès des comédiens "Dès qu'il y a période de crise, les gens ont tendance à se réfugier dans ce genre de spectacles" "Celui qui leur fait oublier un instant les petites misères... la fatigue, l'inquiétude et la mort" X X Le rire est un échappatoire à la vie. "Il y a moins de figures tutélaires comme Coluche [...] on est plus sur du comique consensuel"

essentiels. A mesure que le roman s'intériorise, il tend vers l'universel: le particulier doit faire voir le fond commun de la nature humaine. C'est principalement la paix et l'ascension de la bourgeoisie qui conditionnent les changements subis par le genre romanesque au XVIIe siècle. La guerre contre l'Espagne (1634-1659) nourrissait un idéal héroïque reflété par la littérature des années 1630-1660. La paix contribue à la démolition du héros et à l'intérêt pour l'homme ordinaire. A partir de 1620-1630

racines proviennent de la Grèce antique du V ème siècle avant J-C . Il joue alors en particulier un rôle religieux, social et politique. Ensuite arrive le théâtre du 17ème siècle , désigné aussi comme le siècle du théâtre, car c'est l'apogée de deux genre ; la comédie et la tragédie , illustrées respectivement par deux grands auteurs Molière et Racine. Le théâtre était alors un divertissement, les gens rigolaient, mangeaient, jouaient aux cartes… Après le drame bourgeois et romantique, le vaudeville

informations en même temps » Durant un spectacle, on reçoit en même temps plusieurs informations mais certains tiennent pendant que d'autres tournent. Toute représentation est un acte sémantique extrêmement dense. Pierre LARTHOMAS, Le Langage dramatique, 1972 « Il faut bien qu’il y ait dans toutes ces œuvres (…) malgré leur diversité des éléments communs qui assurent à leur style son efficacité. Ce sont ces éléments que l’on peut essayer de définir. » Tout se passe comme si le spectateur surprenait

théâtre qu'il joue sur un théâtre parisien : trois histoires s'imbriquent les unes dans les autres. Ces trois niveaux de l'action entraînent une hiérarchisation des thèmes. Le premier niveau est dominé par le thème de la toute-puissance de l'art dramatique, et ne se manifeste qu'au dernier acte (éloge du théâtre par Alcandre), même s'il est présent tout au long de la pièce. En effet, tous les thèmes que développe Corneille revêtent un caractère théâtral : les autres niveaux ne sont pas des représentations

qu’elle saura inspirer au spectateur. Cette démarche passe souvent par la mise en scène de caractères et de situations qui attirent vers la vertu, qui offrent des leçons positives. La profession de foi de Beaumarchais dans son Essai sur le genre dramatique sérieux (1767) le résume bien : « Que me font à moi, sujet paisible d’un État monarchique du XVIIIe siècle, les révolutions d’Athènes et de Rome ? Quel véritable intérêt puis-je prendre à la mort d’un tyran du Péloponnèse, au sacrifice d’une

dictature du « politiquement correct ». Conclusion : Il nous faut en conséquence reconnaître qu’il est possible de rire des sujets graves et de les appréhender sur le mode plaisant, la littérature en témoigne, l’humour rend plus réceptif aux sujets sérieux, il dédramatise et libère l’homme, en provoquant et attaquant ses cibles mais il nous faut malgré tout relativiser notre affirmation et admettre des limites au rire et à l’humour. L’humour noir par exemple est à manier avec précaution sans choquer