Geoffroi de Villehardouin

possesseur de ce comté d’Anjou qu’il avait agrandi du Maine et dont il avait fait « l’État de la France capétienne le mieux centralisé et le plus solide ». En 1128 il avait couronné son œuvre angevine par un coup de maître, en obtenant pour son fils Geoffroi Plantagenet la main de la princesse Mathilde, héritière de l’État anglonormand. Il avait ainsi jeté les bases, au profit de sa maison, de l’empire plantagenet, destiné à devenir bientôt une des plus grandes puissances de l’Occident. Il était depuis

63, 103, 197-198, 208, 214, 326, 375, 486, 495 ; II, 4, 13, 120, 131. Bosphore, 191, 196, 486 ; II, 95, 129, 136. Bosworth, ville d’Angleterre, II, 74. Botnie (golfe de), 8. Botticelli (Alexandre Filipepi, dit), II, 197, 231-235. Boucicaut (Geoffroi) 317. Boucicaut (Jean de), 426, 474, 487. bouddhisme, 179, 180, 182. Bougie, port d’Algérie, 270 ; II, 137. Boulogne (Pas-de-Calais), 140. Bourbon (famille), 440, 449 ; II, 207, 211 ; — Blanche, reine de Castille, 167 ;— Charles, duc de Bourbon

Histoire de Saint Louis (1309) of Jean de Joinville (b. 1225) was still locked into the hagiographic mode, though it conveys a view of Louis as a man and reflects in its vivid detail its author’s experience of the seventh crusade (1248–75). Geoffroi de Villehardouin (c.1150–c.1216) also wrote from personal observation. La Conquête de Constantinople (c.1207), one of the first prose works extant, tells how the fourth crusade (1202–4) was diverted from its objective of freeing the Holy Land and instead besieged