George Biddell Airy

est opposé, souhaitant que le chantier accepte la concurrence. L'astronome royal2, George Airy (Image 3) a alors été désigné pour rédiger un cahier des charges pour l'horloge. Les exigences d’Airy sont très poussées et la plupart des horlogers considère alors qu’une telle précision était inatteignable pour une tour de cette taille et ils ont fait pression pour avoir une spécification moins poussée. Cependant, Airy a insisté pour que son choix initial soit respecté. En raison de cette impasse, le

et même leurs vitesses de propagation. On parle aussi d’onde de gravité. Les vagues marines renferment une grande quantité d’énergie que l’on peut étudier grâce à des représentations mathématiques. La plus simple d’entre elles étant celle de George Biddel Airy (astronome et mathématicien) qui considère une vague régulière (périodique, c'est-à-dire que chacune des vagues est identique). Une vague périodique est caractérisée par : * sa profondeur, d * sa hauteur totale du creux à la crête H

apportées par George Everest, indiquant que l’attraction gravitationnelle des montagnes apparaît systématiquement plus faible que prévu par les modèles prenant en compte l’excès de masse de celles-ci. Ainsi, on s’est demandé si l’excès de masse au niveau des montagnes ne pouvait pas être compensé par un déficit de masse en profondeur. On nomme ainsi surface de compensation la profondeur au niveau de laquelle la pression est identique quel que soit le relief au-dessus. On doit aux Britanniques George Biddell

presumably had not closely followed the literature on hydrodynamics. Therefore, while he saw well that De Vries had studied Scott Russell (John Scott Russell, 1808-1882), Airy (George Biddell Airy, 1801-1892), Rayleigh (John William Strutt, 3rd Baron Rayleigh, 1842-1919), McCowan (John McCowan, 1863-1900), Greenhill (Sir Alfred George Greenhill, 1847-1927) and Boussinesq, he did not see that important publications by the latter author were missing. A comparable situation arose ten years later with Brouwer

mécanique et de la thermique. En particulier, il proposa en 1892 la première solution analytique du problème de rupture de barrage. En fait, la première solution mathématique de ce type de problème est vraisemblablement dû au mathématicien allemand Georg Friedrich Bernhard Riemann, qui proposa en 1859 une méthode générale de résolution des équations hyperboliques comme celles de Saint-Venant. (5.48) 172 Méthode des formes auto-similaires 5. Rupture de barrage On recherche une solution