George Sand

Clésinger est un sculpteur du réalisme, né à Besançon en 1814. Il est le fils de Georges Philippe Clésinger, lui-même sculpteur, qui forme son fils à son art. Il l’emmène à Rome en 1832 ou il devient l’élève de Bertel Thorvaldsen un artiste danois qui l’influençera fortement. Il réalise sa première exposition au Salon de Paris en 1843 où il présente un buste du Vicomte Jules de Valdahon. En 1847, il épouse la fille de George Sand, et la même année, fait scandale avec son œuvre « La femme piquée par un

(Octobre 1819). Après son baccalauréat, il suivit des études, vites abandonnées, de médecine, de droit et de peinture mais il s’intéressa surtout à la littérature. b) Sa vie familiale : Alfred de Musset eut de nombreuses liaisons : avec Georges Sand, connue lors d’un dîner. Leur relation durera deux ans ; Il tomba ensuite amoureux de Caroline Jaubert (3 semaines) ; Il faillit se marier avec Aimée Irène d’Alton (cousine de Caroline Jaubert) mais il l’abandonna pour une autre conquête. Il eut

être entré dans leur intimité. L'observation m'a suffi outre quelques confidences. »122. Aurore Dudevant / George Sand[modifier | modifier le code] En 1831, Balzac fait la connaissance d'Aurore Dudevant venue tenter sa chance à Paris et fuir son mari. Il lui fait lire La Peau de chagrin et cet ouvrage suscite son enthousiasme. En février 1838, il va retrouver « le camarade George Sand » dans son château de Nohant. Au cours des six jours qu'il y est resté, ils passent les nuits à bavarder, de

(très Shakespearien !) ou encore « Pourquoi diable te mêles-tu de politique ? ». Il est donc clair que les femmes ne sont pas écoutées dans la pièce. Alors pourquoi Musset a-t-il créé les personnages féminins ? Dans sa version du drame, George Sand ne faisait apparaître que Marie et Catherine. Tous les autres personnages féminins ont donc été rajoutés par Musset, notamment la Marquise qui n’existait pas même dans la réalité. A priori, ces femmes semblent ne pas avoir de rôle actif de moteur

Cette « correspondance » croisée serait purement anecdotique si elle ne soulignait, par la crainte des deux romanciers de voir leurs romans 1. Lettre à Max Büchon du 13 novembre 1856, citée par Luce Abélès, dans « Présentation », Champfleury/George Sand, Du réalisme. Correspondance, Paris, Éditions des Cendres, 1991, p. 9. 2. Gustave Flaubert, « Lettre à Louis Bouilhet », 2 août 1854, Correspondance (éd. Jean Bruneau), t. II, Paris, Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 1980, p. 562-563

conception de la littérature. {text:soft-page-break} II – Le romantisme en littérature Plusieurs auteurs caractérisent le mouvement romantique du XIXe siècle. Parmis les plus influents ; Victor Hugo, François René de Chateaubriand, George Sand, Gérard de Nerval et Alfred de Vigny. Victor Hugo (1802-1885) Lors de la première représentation d'_Hernani_(1830) devant le public de la Comédie-Française, les jeunes défenseurs du romantisme forcent le succès par leurs applaudissements

Premium561 Mots3 Pages Question de corpus Le corpus soumis à notre étude est composé d’un extrait du Tableau de Paris de l’écrivain Louis-Sébastien Mercier publié entre 1781et 1788, puis du recueil épistolaire sous forme autobiographique de George Sand, Histoire de ma vie, paru en 1855, ainsi que de l’essai de Simone De Beauvoir, Le Deuxièm... Premium669 Mots3 Pages Question 1 sur le corpus : "la condition féminine" Quelle vision de la femme ressort de ces trois textes ? Le corpus de textes

dans « J'accuse ») -Les conséquences de ces revendications et de ces oeuvres littéraires sur la vie des hommes, sur la société, sont réelles. Ex : Révolution Française On peut considérer que des femmes-écrivains comme Mme de Staël ou George Sand ont influencé les luttes féministes du 20ème siècle et ont contribué à l'évolution de la condition des femmes. III) La littérature a toujours un impact sur la vie intime, personnelle des auteurs comme des lecteurs, à travers sa puissance

médecine. Il connaît un échec en décembre 1830 avec sa première comédie en prose, La Nuit vénitienne. Dès lors, il prône le « théâtre dans un fauteuil », c’est-à-dire un théâtre destiné à être lu (et non pas à être représenté sur scène). Il rencontre George Sand (1804-1876) en 1833 et séjourne avec elle en Italie. Ils rompent définitivement en mai 1835. Musset a été bibliothécaire au ministère de l’Instruction publique et a été élu à l’Académie française en 1852. Il est mort à Paris en mai 1857. Contexte

roman réaliste et psychologique en mai 1856 après 56 mois de travail. Il fréquente épisodiquement les salons parisiens les plus influents du Second Empire, comme celui de Madame de Loynes dont il est très amoureux ; il y rencontre entre autres George Sand. À la fin de l'année 1856, Madame Bovary paraît dans La Revue de Paris puis, après avoir rencontré l'éditeur Michel Lévy14, le roman sort en librairie en avril 1857 et fait l’objet d’un procès retentissant pour atteinte aux bonnes mœurs : Flaubert