George W. Bush

terminée le 18 décembre 2011 avec le retrait des dernières troupes américaines. L'invasion a conduit à la défaite rapide de l'armée irakienne, à la capture et l'exécution de Saddam Hussein et à la mise en place d'un nouveau gouvernement. Le président George W. Bush a officiellement déclaré l'achèvement des combats le 1er mai 2003, sous la bannière Mission accomplie. Toutefois, la violence contre les forces de la coalition a rapidement conduit à une guerre asymétrique impliquant plusieurs groupes d'insurgés

Chine ne s’y opposent. Dès le 7 août, le président américain George H. Bush déclenche l’opération " Bouclier du désert " : une vaste coalition dirigée par les Etats-Unis, sous mandat de l’ONU, se déploie en Arabie saoudite. Il s’agit de protéger les pétromonarchies, l’approvisionnement en pétrole de l’Occident, mais également de faire respecter le droit international. • En septembre, évoquant son entrevue avec M. Gorbatchev, G. H. Bush avait souligné le tournant décisif constitué par le positionnement

responsables des règles formelles et de l'intérêt général (Kyoto, Grenelle II, Copenhague), mais pas coupables des comportements des autres acteurs (entreprises, individus) ; ils admettent que « le mode de vie américain n'est pas négociable » (George Bush Sr, 1992), * la responsabilité sociale des individus (RSI) : les individus sont responsables de leurs comportements (ils trient leur poubelle), mais pas coupables de la société de consommation prônée par les entreprises et les politiques ;

Cette chanson, comme Vida La Viva, est une chanson de protestation. Mais où Vida La Viva est écrite de la perspective du chef d'Etat pieux mais rendu perplexe (si c'être George W. Bush ou un roi d'Angleterre de vieux), cette chanson est du poste d'observation du fantassin. Comme tel, c'est moins oblique que Vida et d'aussi sermonneur que Coldplay arrive. La chanson commence par la neige, qui est souvent un symbole de pureté, dans l'Ecriture sainte (eg, le Psaume 51:7; Isaiah 1:18) et ailleurs

influence importante au Texas et de façon plus général dans le Sud des États-Unis. Sinon les candidats à la vice-présidence ont des compétences particulières qui peuvent s'avérer utiles pour la gouvernance comme le ticket Clinton-Gore en 1992 ou encore Bush-Cheney en 2000. Certains candidats à la présidence, comme Ronald Reagan en 1976 tente d'utiliser la candidature du vice-président en annonçant qu'ils vont choisir en cas d'investiture du parti tel ou tel candidat à la vice-présidence comme moyen de

1991, ce système bipolaire disparaît. Maints repères, maintes stratégies politiques sont alors bouleversés. Privés d’ ennemi, les Etats-Unis désormais seule superpuissance doivent repenser leur politique étrangère. Dès 1991, le président américain G. Bush assigne à son pays une tâche ambitieuse : refonder « un nouvel ordre mondial sur des bases plus conformes aux principes et aux valeurs de la démocratie ».1 En l’ absence de leur grille d’ analyse traditionnelle, les politologues, les historiens cherchent

coalition menée par les États-Unis contre le Parti Baas de Saddam Hussein. L'invasion a conduit à la défaite rapide de l'armée irakienne, à la capture et l'exécution de Saddam Hussein et à la mise en place d'un nouveau gouvernement. Le président George W. Bush a officiellement déclaré l'achèvement des combats le 1er mai 2003, sous la bannière Mission accomplie. Toutefois, la violence contre les forces de la coalition a rapidement conduit à une guerre asymétrique impliquant plusieurs groupes d'insurgés

Portrait officiel de Barack Obama, en 2009. | Fonctions | 44e président des États-Unis | En fonction depuis le 20 janvier 2009 (3 ans, 9 mois et 9 jours) | Élection | 4 novembre 2008 | Vice-président | Joe Biden | Prédécesseur | George W. Bush | Sénateur des États-Unis pour l'Illinois | 4 janvier 2005 – 16 novembre 2008 | Prédécesseur | Peter Fitzgerald | Successeur | Roland Burris | Sénateur de l'Illinois pour le treizième district | 8 janvier 1997 – 4 novembre 2004 |

des interdictions d'envoi des remesas (terme utilisé pour définir les envois d'argent des américains d'origines cubaines à leur famille vivant toujours à Cuba) ou encore en permettant aux américains d'origines cubaines de voyager à Cuba, l'arrivée de Bush fils au pouvoir n'a fait qu'endurcir l'embargo et renforcer le conflit entre Cuba et les Etats-Unis. En effet, le président américain remet en place l'interdiction d'envoie de remesas, de voyages pour les américains d'origines cubaines à Cuba, interdit

n’eu dans l’immédiat que peu d’échos (sauf auprès des Palestiniens) il annonçait déjà « la revanche de Dieu » (Samuel HUNTINGTON, « The Clash of civilizations », Foreign policy, 1994 et 1996). Les conséquences de ce conflit sont nombreuses. Georges Herbert BUSH, président des États-Unis d’Amérique (1988-1992), y voit « apparaître un nouveau monde […] où l’ONU, libérée de l’impasse de la Guerre froide, est prête à accomplir le projet historique de ses fondateurs […] dans lequel la liberté et le respect