Georges Boulanger

avec lequel la collaboration est houleuse. Installé dans le milieu du théâtre, Jean Anouilh écrit : en 1932 L’hermine connaît un certain succès, tandis que La mandarine (1933) et Y’avait un prisonnier (1935) sont des échecs. En 1937, il rencontre Georges Pitoëff et André Barsacq avec lesquels il monte successivement Le voyageur sans bagage (1937) et Le bal des voleurs (1938). Ces deux pièces sont des réussites. Jean Anouilh publie alors de nombreuses pièces variées qu’il classe selon une thématique

cette époque 3 gd défis qui teste sa stabilité : * L’Affaire Dreyfus (1894-1904) * L’Action Française (partie d’extrême droite) * Le Générale Boulanger (1889) Le partie radicale est le premier partie politique fondé en Fr en 1901. domine la politique de 1902 à 1914 il se dit partie de la république. Les gdes figures sont : Georges Clémenceau , L2ON Gambetta .. mais ce partie déçoit son électorat ouvrier et entraine une hausse de la popularité des socialiste sous la direction de Jean

A partir de 1843, il est pris de crises nerveuses et se retire à Croisset. Il se consacre alors à son œuvre de romancier. Il voyage en Egypte, Palestine et Grèce de 1849 à 1850, ainsi qu’en Tunisie en 1858. Il entretient des correspondances avec George Sand, une romancière, et Louise Colet, sa maîtresse, une femme de lettre. Madame Bovary est son premier roman publié et lui vaut un procès pour immoralité. Dans ses dernières années, il se ruine pour sauver sa nièce de la faillite. Il assiste au succès

guerre mondiale (1940 l’année terrible et 1944 le début de la Libération). 1945 : création de la Sécurité Sociale. Je connais des repères géographiques  la France occupee en 1940. Je connais des personnages  Georges Clemenceau ; Jean jaures ; Jules ferry ; léon blum ; général boulanger ; Philippe petain ; charles de gaulle ; jean moulin ; alfred dreyfus ; emile zola. Je connais les 5 notions-clefs du programme  nation : communauté humaine soudée par la conscience d’une histoire et d’une culture

Georges Clemenceau Georges Clemenceau [1], né le 28 septembre 1841 à Mouilleron-en-Pareds (Vendée), mort le 24 novembre 1929 à Paris, est un homme d'État français, radical-socialiste, président du Conseil de 1906 à 1909, puis de 1917 à 1920. Issu d'une famille républicaine, il fut maire du 18e arrondissement de Paris puis président du conseil municipal de Paris au début de la Troisième République, ainsi que député en 1871, puis de 1876 à 1893, siégeant à l'extrême gauche en tant que républicain

Pirandello et George Bernard Shaw. Deuxième grande découverte celle deJean Giraudoux en 1928, au poulailler de la comédie des Champs-Élysées, à travers sa pièce Siegfried, qu'Anouilh finit par apprendre par cœur4. Après avoir travaillé quelques semaines au bureau des réclamations des Grands Magasins du Louvre puis pendant deux ans dans l'agence de publicité Étienne Damour avec, entre autres, Jacques Prévert, Georges Neveux, Paul Grimault5 et Jean Aurenche6, Anouilh, succédant à Georges Neveux, devient

politique. Problème de l’instabilité gouvernementale. Les républicains sont divisés. Au parlement on a la gauche républicaine menée par jules ferry, on a aussi l’union républicaine de Léon Gambetta et ensuite on a la gauche radicale dont le meneur est George Clemenceau. S’entendent a peu près sur les réformes mais pas sur le rythme et leur profondeur. C’est au gré des changements d’alliance que la république va se faire. La gauche républicaine va s’allier soit avec le centre soit avec la gauche en fonction

développement de Flaubert sur le travail de l’écrivain, les subtilités de la langue française et son opinion sur les rapports entre hommes et femmes. Il est allé à la Révolution de 1848 à Paris, et pendant le Second Empire, il s’est mis en relation avec George Sand. En compagnie de Maxime du Champ, il a visité Bretagne en 1846 et il a parcouru l’Italie, la Grèce, l’Egypte, Jérusalem et Constantinople entre 1849 et 1851 ; ce voyage a fait une grande impression dans son imagination. Désormais, il n’est presque

développe les libertés collectives : liberté de la presse (1881), liberté syndicale (1884) et élection des maires par les conseils municipaux (1884). Seule Paris reste sous la tutelle de son préfet. La crise boulangiste et la maturité Le général Boulanger a été ministre de la guerre. Très populaire parmi les déçus du nouveau régime, il est considéré par les Opportunistes comme un danger pour la République et la paix. Il est élu plusieurs fois député en province puis à Paris mais il refuse de s'emparer

appellent « opportunistes », sont majoritaires. Ils souhaitent consolider les acquis de la République, mais de façon progressive. Leurs principaux leaders sont Léon Gambetta et Jules Ferry. • A gauche des « opportunistes », les radicaux, dirigés par Georges Clemenceau, prennent une place croissante. Tout en défendant les valeurs de la République, ils sont favorables à des réformes plus importantes, notamment en faveur des classes populaires. • Les républicains sont peu menacés par la droite, très affaiblie