Georges Duroy Portrait Complet

l’action (page 4) l’intérêt littéraire (page 4) l’intérêt documentaire (page 4) l’intérêt psychologique (page 7) l’intérêt philosophique (page 12) la destinée de l’œuvre (page 12) Bonne lecture ! Résumé Première partie Le 28 juin 1880, Georges Duroy, fils d'aubergistes normands, sous-officier démobilisé du 6e hussards après avoir servi quelque temps en Afrique, réduit à travailler dans une compagnie de chemin de fer pour un tout petit salaire et vivant dans un appartement pitoyable, erre sur

reflet de l’homme. LINK L’identité du personnage est complétée par un portrait qui est unique en son genre, comme celui des êtres humains, allant du portrait physique, moral et psychologique. Le portrait a pour but de permettre au lecteur de se forger une idée précise du personnage, de le visualiser en le rendant vraisemblable à l’homme. Le physique est une des descriptions les plus importantes dans le portrait d’un personnage car ceci permet aux lecteurs de l’identifier et de le comparer

rend le lecteur curieux de son destin. De plus le titre du roman est Le Parfum suivi du sous-titre: Histoires d'un meurtrier. Ce sous-titre est important car il oppose le mot parfum qui évoque la joie, au mot meurtrier qui renvoi à la mort. Ce titre complet intrigue le lecteur qui se demande s'il s'agit d'un roman policier. Aragon, quant à lui, met plus l'accent sur le passé du héros, le lecteur veut savoir ce qui lui est arrivé. De plus le lecteur veut en savoir davantage sur le personnage de Bérénice:

siècle, que Maupassant écrit « Bel-ami » sous forme de feuilleton. Un roman réaliste qui nous conte l’histoire de George Duroy (dit Bel-ami), un ancien sous-officier qui ne cessera de nous surprendre tout au long de son escalade de la hiérarchie sociale de la société du 19ème siècle de Paris, de par son manque de scrupule et de par son audace surdimensionnée. En effet, George Duroy est le fils d’une famille modeste d’agriculteurs et l’ouvrage nous illustre comment il va ‘’arriver dans la société’’

SEQUENCE BEL AMI de MAUPASSANT - SEANCE 1 : Le héros au début du roman « Quand la caissière lui eut rendu la monnaie de sa pièce de cent sous, Georges Duroy sortit du restaurant. Comme il portait beau, par nature et par pose d’ancien sous-officier, il cambra sa taille, frisa sa moustache d’un geste militaire et familier, et jeta sur les dîneurs attardés un regard rapide et circulaire, un de ces regards de joli garçon, qui s’étendent comme des coups d’épervier. Les femmes avaient levé la

Julien a obtenu une augmentation de cinquante écus par an. 2 Grâce à l’intervention de Madame de Rênal, Julien a échappé au danger qu’il aurait encouru si Monsieur de Rênal, royaliste, avait découvert, caché dans la paillasse qu’il inspectait, le portrait de Napoléon. Le père Goriot présente un jeune noble provincial pauvre, Eugène de Rastignac. Celui-ci, avide de parvenir, reçoit une leçon d’arrivisme de sa cousine, la vicomtesse de Beauséant. Eh bien, monsieur de Rastignac, traitez ce monde

ans son roman, paru en feuilleton du 6 au 30 mai 1885, puis édité en volume le 11 mai, Maupassant montre l’ascension sociale de son héros, Georges Duroy, dans le milieu du journalisme politique grâce à l’appui des femmes qu’il séduit. [Pour une présentation générale, voir dans "Mes pages"] L’incipit d’un roman exerce traditionnellement une double fonction : informer, en présentant le héros dans son décor et son époque, mais aussi séduire en créant chez le lecteur un horizon d’attente, qui lui

arrivent au gr des dplacements du personnage ainsi passe-t-on du restaurant sur le trottoir et la rue. Maupassant joue sur le pass simple ds le dpart qui donne de la vivacit puis limparfait, notamment dans le dernier consacr plus particulirement au portrait. 2-Le caractre raliste de cet incipit est visible dans les thmatiques et les descriptions ( Lomniprsence du thme de largent trait en dtail grce ce qui peut tre considr comme le discours intrieur du personnage retranscrit au discours indirect

décrive la montée de l’angoisse, Maupassant est bien le maître de la nouvelle. Il a appris à l’école de Flaubert à rechercher « la réalité choisie et expressive ». S’écartant de l’esthétique naturaliste, il veut donner de la vie « une vision plus complète, plus saisissante, plus probante que la réalité même » (Préface de Pierre et Jean, 1888) ; d’où un style savamment simple, des notations brèves et aiguës sur le décor et sur les personnages. 4 Marion Claës Master CMA Année 2008/2009 Postulats

déplacements du personnage : ainsi passe-t-on du « restaurant » à « sur le trottoir » et à la rue. Maupassant joue sur le passé simple dès le départ qui donne de la vivacité puis l’imparfait, notamment dans le dernier § consacré plus particulièrement au portrait. 2-Le caractère réaliste de cet incipit est visible dans les thématiques et les descriptions : ( L’omniprésence du thème de l’argent traité en détail grâce à ce qui peut être considéré comme le discours intérieur du personnage retranscrit