Georges Grosz

Ce poème écrit par Louis Aragon est l'un de mes préférés. Il a également été chanté par plusieurs artistes, dont Françoise Hardy. J'aime le fait que le poète ne cache pas qu'il n'y a pas d'amour sans tristesse et douleur. Une tristesse à laquelle chacun doit faire face. L'amour n'est pas un combat gagné d'avance, je pense que c'est cette idée là qu'Aragon a voulu exprimé dans son poème. " Et quand il croit serrer son bonheur et le broie - Sa vie est un étrange et douloureux divorce - Il n'y a pas

un impact majeur dans l'œuvre de Picasso. C'est dans ce petit bourg de la province de Lérida qu'il conçoit Les Demoiselles d'Avignon, un tableau qui constitue un évènement capital dans les débuts du cubisme. - De 1906 à 1914, il réalise avec Georges Braque des peintures qui seront appelées cubistes. Elles sont caractérisées par une recherche sur la géométrie et les formes représentées : tous les objets se retrouvent divisés et réduits en formes géométriques simples souvent des carrés. Cela signifie

Le corpus qui nous est présenté comporte quatre extraits de textes théâtraux : Le Bourgeois Gentilhomme (de Molière, 1670) ; On purge bébé (de Feydeau, 1910) ; La cantatrice chauve (de Ionesco, 1950) ; En attendant Godot (de Beckett, 1952). Sur quels ressorts comiques jouent ces scènes ? Nous allons analyser les différents comiques des textes. Dans ces textes la situation est comique : un adulte se retrouve dans une position d’enfant ; un maître qui croit en savoir plus que sa bonne mais qui finalement

II)A) Comique de situation Le vaudeville fonde ses intrigues sur des quiproquos et des rebondissements de situation. Nous pouvons alors identifier un premier comique à savoir, le comique de situation. Celui-ci est produit par la situation d'un personnage dans l'histoire qui est racontée (surprises, rebondissements, retournements...) Par exemple : Pinchard tout surpris de voir un homme dans le lit de sa femme et Pontagnac qui pense que Lucienne va le prendre comme amant. Ainsi Feydeau plonge ses

universel a suscité l’intérêt des sciences humaines. Christian Pociello a étudié les « pratiques, mythes et représentations » relatifs au sport dans un article, publié en 1996 par l’Encyclopaedia Universalis. Les historiens Roger Chartier et Georges Vigarello ont abordé « Les traits distinctifs des sports modernes » dans le numéro 320 des Cahiers français, publié en mai-juin 2004. La même année, Isabelle Queval a fait paraître, sous le titre S’accomplir ou se dépasser, un ouvrage sous-titré

nom » seul un fou voudrait mourir à la guerre dans le seul but d’avoir son nom gravé au monument aux morts. Quelle est la signification et la nature de cette chanson. Au premier regard, on peut voir des vers plutôt cours, à chaque paragraphe Georges Brassens énumère un type d’handicape, puis explique que le plus dur n’est pas les conséquences de cette handicape mais le fait de ne pas pouvoir retourner au front. La chanson semble se répéter comme un seul refrain avec toutes répétitions. Par là

sentimentale » de 1869 et enfin Bouvard et Péruchet , œuvre inachevée vu qu’elle paraitra en 1881 soit un an après sa mort. Ses 30 dernières années furent très remplies puisqu’il côtoya les plus grands, de Baudelaire au Frères Gongourt, en passant par Georges Sand ou encore Théophile Gautier. Il rencontra même l’empereur et reçut la Légion d’honneur en 1866. Comme sa jeunesse, sa fin de vie fut extrêmement difficile, notamment marquée par de nombreux décès au sein de son entourage.

presque sans paroles, à la frontière entre le rock et la musique électronique, ponctuée de ballades de piano. Le 3 décembre de la même année, il publie son premier et à ce jour unique recueil de poèmes, À ton nom, et participe à l'album-hommage à Georges Brassens, Les Oiseaux de passage, en reprenant La Prière[5]. Le 26 mars 2002, il publie son deuxième album, intitulé God blesse, qui est en fait un double album se distinguant par la variété des styles musicaux, allant du rock et de la pop politiques

Article « Georges Perec :bibliographie essentielle » Eric Beaumatin Études littéraires, vol. 23, n° 1-2, 1990, p. 211-221. Pour citer cet article, utiliser l'adresse suivante : http://id.erudit.org/iderudit/500938ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation

de donner plus et de consentir à recevoir moins. chaque citoyen de prendre toute sa part de la défense Quelque chose de notre épargne nous est aussi demandé. Nous attendons le succès complet de notre emprunt de guerre. » Déclaration de Georges Clemenceau, président du Conseil des ministres, ministre de la Guerre, à la Chambre des députés, le 20 novembre 1917. Document 3. Dans la presse et sur les murs. Questions. 1. (doc.1) Les soldats sont-ils les seules personnes à prendre part