Germinal Incipit Description

fiches sur un livre Comment commenter une illustration le point de vue : L.V. p. le dialogue Ecrire une introduction de trois façons différentes La suite de texte /le récit Ecrire une suite immédiate au chapitre I la description = c.f. sur la description (décrire une chambre d’adolescent) sur le fantastique : Identifier les tonalités fiche Les marques de la subjectivité « Il vous est sans doute arrivé de vous trouver mal à l’aise dans un lieu inconnu. Après avoir évoqué ce lieu

tragédie » 4 Il est assez surprenant de voir figurer une comédie en guise de préface. Relevez, dans cette saynète, les informations qui sont données sur le genre et le 2 contenu du Dernier Jour d’un condamné. Les personnages de cette comédie font une description précise du texte ; sur le genre d’abord, « Tenez, mesdames, avezvous lu le nouveau roman ? », ensuite sur le contenu narratif et la visée de l’auteur « développer, creuser, analyser, l’une après l’autre et sans en passer une seule, toutes les souffrances

d’un genre et l’extrême diversité des productions romanesques. Le moment stratégique, où un monde se définit, où tout se joue entre auteur, narrateur et lecteur, est évidemment l’entrée en lecture, le début d’un roman. C’est donc autour des « incipit » romanesques que s’organise ce chapitre avant de passer au chapitre 2, à l’étude d’une œuvre particulière, Thérèse Raquin, d’Émile Zola. A Bonjour, Gervaise Avant d’aborder, Thérèse Raquin Voici le premier paragraphe d’un autre roman d’Émile

verbes d’action à l’imparfait, au passé simple ou au présent de narration. • le texte descriptif qui offre une représentation de la réalité (même imaginaire) : descriptions d’objets, de paysages, portraits... Les phénomènes rapportés sont situés dans l’espace. Le champ lexical est fréquemment l’un des principaux organisateurs de la description. Celle-ci interrompt souvent la narration. Ces deux types de textes ont en commun de présenter en général des éléments concrets. • le texte argumentatif dans

place et se voient légitimées toute une série de dichotomies littéraires autour desquelles Barthes organise sa vision sinon d’une évolution littéraire vers l’écriture brève, du moins une oscillation entre macro- et microforme : longueur/ brièvete, description/ apparition, langue/ langage, rhétorique/ notation (cf. pour cette dernière opposition La chambre claire), etc. Vient s’y ajouter – au fond à partir de L’empire des signes – une autre dichotomie entre le texte et ce qui lui est extérieur et qui

elle : Il est vrai qu’on peut toujours lire un texte de théâtre comme non-théâtre, qu’il n’y a rien dans un texte de théâtre qui interdise de le lire comme un roman, de voir dans les dialogues des dialogues de roman, dans les didascalies des descriptions ; on peut toujours « romaniser » une pièce comme on peut inversement théâtraliser un roman. […] [On peut] construire la fable de la pièce comme une sorte de récit romanesque, faisant abstraction de sa théâtralité17. Poetique n° 158 [BaT_BR]

pour vivre » (l. 41-42). La population est cependant qualifiée de « franche, sympathique et active » (l. 77), bien qu’elle semble uniquement intéressée par l’argent : « s’enrichir » (l. 25), « gagner beaucoup d’argent » (l. 31). Par ailleurs, la description d’Oran se déploie sous le signe de la négation : c’est « une ville sans pigeons, sans arbres et sans jardins » (l. 9-10), une « cité sans pittoresque, sans végétation et sans âme » (l. 79). Cette accumulation fait ressortir « l’insignifiance »

l'œuvre et à l'auteur, négligeant la part fondamentale du lecteur, destinataire du message litté et sans la participation duquel l'œuvre n'aurait pas de sens. Le lecteur, actualisateur de l'œuvre, voit donc son rôle pris en compte au travers d'une description analytique et précise de "l'acte de lecture" et de la "réception". L'ouvrage de WI se veut une "phénoménologie de la lecture". Il montre que le rôle du lecteur est essentiel ds la prod de "l'effet esthétique": l'œuvre n'est pas le texte seul, elle

désert 3. Le détour initiatique : le sacrifice de l’élan. 2. L’analyse de la séquence n°1 : l’appel de la nature Objectif : En quoi le détour par la nature comporte-t-il un risque potentiel ? Questions : Quelles sont les caractéristiques de cet incipit ? En quoi ce début de film s’inscrit-il dans le thème du détour ? L’analyse de cette première séquence permet de d’étudier le portrait de Chris McCandless et la vision de la nature qui l’entoure, à la fois inquiétante et séduisante 1. Un personnage

membres cassés étaient mous comme s’il n’y avait plus d’os sous la chair.» (p. 2, l. 32) Tous les détails ainsi exposés par l’auteur permettent au lecteur de bien s’imaginer la scène, pour ressentir toute la puissance de l’horreur de la mort. Cette description concrète et très qualifiée est d’ailleurs propre aux auteurs du courant réaliste qui cherchent avant tout à dépeindre la réalité de façon objective. Une autre représentation du sens dénotatif de la mort dans cet extrait survient à la toute fin du