Germini

Phèdre, Racine précise qu’elle n’est “ni tout à fait coupable, ni tout à fait innocente”, et explique ses choix créatifs. Dans la préface des Contemplations, Hugo précise également que son recueil représente les “mémoires d’une âme”. La préface de Germinie Lacerteux des Goncourt explique que les lecteurs ne trouveront pas ce livres selon leur propre goûts, car les auteurs ont voulu écrire un roman vrai sur le peuple, cette “grande muette”. Toutes ces diverses remarques, toutes ces mises en garde sont

comprend l’étude des classes ou des grandes catégories sociales. Les Goncourt commencent par les milieux artistiques et littéraires dans les Hommes de lettres et Manette Salomon. La bourgeoisie sera décrite dans Renée Mauperin. Avec Soeur Philomène et Germinie Lacerteux , les frères Goncourt pénètrent dans les milieux populaires. Ils étalent la souffrance humaine et éveillent dans le public la pitié et la charité. Ce qui les intéressait c’était plutôt l’étude d’un cas que la peinture d’un milieu. La portée

en août, septembre et octobre 1867 dans L'Artiste sous le titre Un mariage d'amour. Pour la publication en volume, Zola décide de changer le titre en Thérèse Raquin, le nom de l'héroïne du roman, s'inspirant ainsi de Madame Bovary de Flaubert et Germinie Lacerteux des Goncourt, dont l'influence est forte au-delà des seuls titres de roman. Le volume est édité par Lacroix, mis en vente en novembre 1867, tiré à quinze-cents exemplaires et réimprimé dès avril 1868. La réception du roman est variée. Il

en août, septembre et octobre 1867 dans L'Artiste sous le titre Un mariage d'amour. Pour la publication en volume, Zola décide de changer le titre en Thérèse Raquin, le nom de l'héroïne du roman, s'inspirant ainsi de Madame Bovary de Flaubert et Germinie Lacerteux des Goncourt, dont l'influence est forte au-delà des seuls titres de roman. Le volume est édité par Lacroix, mis en vente en novembre 1867, tiré à quinze-cents exemplaires et réimprimé dès avril 1868. La réception du roman est variée. Il

fois voulu emprunter au répertoire du mélodrame populaire? A-t-il trouvé l'idée de son récit dans le début de ‘’Germinie Lacerteux’’, le roman des Goncourt où une fillette, placée dans un café-restaurant, y est forcée par un compagnon de travail, presque un vieillard? De cette situation initiale, si tant est qu'elle l'ait inspiré, Maupassant a tiré un parti bien différent. Dans ‘’Germinie Lacerteux’’, l'affaire ne s'ébruite pas, enfouie dans le silence horrifié de l'enfant et de ses proches. Au reste

en août, septembre et octobre 1867 dans L'Artiste sous le titre Un mariage d'amour. Pour la publication en volume, Zola décide de changer le titre en Thérèse Raquin, le nom de l'héroïne du roman, s'inspirant ainsi de Madame Bovary de Flaubert et Germinie Lacerteux des Goncourt, dont l'influence est forte au-delà des seuls titres de roman. Le volume est édité par Lacroix, mis en vente en novembre 1867, tiré à quinze-cents exemplaires et réimprimé dès avril 1868. La réception du roman est variée. Il

en août, septembre et octobre 1867 dans L'Artiste sous le titre Un mariage d'amour. Pour la publication en volume, Zola décide de changer le titre en Thérèse Raquin, le nom de l'héroïne du roman, s'inspirant ainsi de Madame Bovary de Flaubert et Germinie Lacerteux des Goncourt, dont l'influence est forte au-delà des seuls titres de roman. Le volume est édité par Lacroix, mis en vente en novembre 1867, tiré à quinze-cents exemplaires et réimprimé dès avril 1868. La réception du roman est variée. Il

 d’Eugène  Sue  ou  Pot-­‐bouille  de  Zola.   Enfin,  il  y  a  quelques  grands  et  rares  romans  où  le  personnage  principal  est  une  servante  :   Un  Cœur  simple  de  Flaubert,  Germinie  Lacerteux  des  frères  Goncourt  ou  encore  Le  Journal   d’une   femme   de   chambre   de   Mirbeau.   Deux   types   de   servantes   sont   ici   mis   en   scène  :   la   servante   au

en août, septembre et octobre 1867 dans L'Artiste sous le titre Un mariage d'amour. Pour la publication en volume, Zola décide de changer le titre en Thérèse Raquin, le nom de l'héroïne du roman, s'inspirant ainsi de Madame Bovary de Flaubert et Germinie Lacerteux des Goncourt, dont l'influence est forte au-delà des seuls titres de roman. Le volume est édité par Lacroix, mis en vente en novembre 1867, tiré à quinze-cents exemplaires et réimprimé dès avril 1868. La réception du roman est variée. Il

l'exposition franche des faits, de l'air, de la lumière et de l'instruction pour les basses classes.» En effet, il voulait aller au-delà de ce qu'avaient fait Balzac, Hugo (avec ''Les misérables''), George Sand ou les frères Goncourt (auteurs de “Germinie Lacerteux”, qu'il salua comme «le livre qui a fait entrer le peuple dans le roman»), être le premier écrivain de valeur à se pencher sur les ouvriers parisiens, sur leur misère qui, devenue plus forte que l’espoir de gagner un jour suffisamment