Géronte

leur indique où il se trouve en leur précisant qu’il nie parfois son savoir et qu’afin de leur faire avouer, il leur faut le battre. Vous l’aurez compris, cet homme n’est autre que Sganarelle. A force d’être roué de coup par les deux domestiques de Géronte, Sganarelle avoua être médecin, ce qui était totalement faux, et on mena ce dernier au logis du maître. On lui présenta la malade, qu’il trouva fort à sa convenance, ainsi que la nourrice, femme de Lucas, l’un des domestiques. Lucinde avait mystérieusement

Tragique ».On peut donc dire que L’Illusion comique est une tragi-comédie. Tout d’abor, elle est comédie puisque ce sont des personnes normales (familier) mais ensuite elle devient tragédie dû à des scènes comme la mort d’Adraste (page 115 ; vers 971 : Géronte : « Dieux !Adraste est blessé, courez au Médecin ! »).;et l’emprisonnement de Clindor(Acte IV,scène VII).Tout cela fait penser que cette pièce est une œuvre baroque car elle est irrégulière, mêle les contraire et utilise la mise en abîme qui est

avances d'Adraste, mais Isabelle est bien décider à tenir tête à son père. Dans son monologue lors de la scène 2 Géronte se persuade qu'il va finir par faire entendre raison sa fille. Dans la scène 3 Géronte va être exaspérer par Matamore et finira par le mettre dehors, Matamore énervé par Géronte va se plaindre à son valet et menacer Géronte pourtant lorsqu'il croit entendre les valets de Géronte il va prendre la fuite. Clindor se retrouve seul avec Lyse dans la scène 5 et il va essayer de la séduire,

jusqu’à la tête, et attendez. Géronte : Eh ! Scapin : Non, non, non ce n’est rien.Géronte : Ne saurais-tu trouver quelque moyen pour me tirer de peine ?Scapin : J’en imagine bien un ; mais je courrais risque, moi, de me faire assommer.Géronte : Eh ! scapin montre toi serviteur zélé. Ne m’adonne pas, je laurai un peu usé.Scapin : Je le veux bien. J’ai une tendresse pour vous qui ne saurait souffrir que je vous laisse sans secours. Géronte : Tu en seras récompensé, je t’assure ; et

[modifier] L’acte III débute sur les reproches de Géronte à sa fille qui refuse Adraste pour époux (sc. 1). Seul, Géronte se persuade qu’il parviendra à ses fins avec sa fille (sc. 2). Puis il met dehors Matamore venu fanfaronner devant lui (sc. 3). De loin, Matamore menace le vieil homme puis il se laisse aller à sa mauvaise foi, changeant en honneur ce qui est couardise (poltronnerie et lâcheté), avant de s’enfuir en croyant entendre les valets de Géronte (sc. 4). Clindor fait mine de séduire Lyse, la

rassurer le père de Clindor sur ce qui attend son fils. Acte III. L'acte III débute sur les reproches de Géronte à sa fille qui refuse d’épouser Adraste. Seul sur scène, Géronte se persuade qu'il parviendra à ses fins avec sa fille. Puis il met dehors Matamore venu fanfaronner devant lui. De loin, Matamore menace le vieil homme puis s'enfuit en croyant entendre les valets de Géronte. Mais c'est Lyse qui paraît et Clindor lui fait la cour en prétendant qu'il préfère Isabelle que pour sa fortune

première scène de la comédie (farce) de Molière, Le Médecin malgré lui. SGANARELLE, mari de Martine MARTINE, femme de Sganarelle M. ROBERT, voisin de Sganarelle VALÈRE, domestique de Géronte LUCAS, mari de Jacqueline GÉRONTE, père de Lucinde JACQUELINE, nourrice de Géronte et femme de Lucas LUCINDE, fille de Géronte LÉANDRE, amant de Lucinde La scène est à la campagne. ACTE I, scène 1 SGANARELLE, MARTINE, paraissant sur le théâtre en se querellant. SGANARELLE : Non, je te dis que je n’en veux

commençant par « géronte ». Que constatez-vous ? Quel est le rôle de ce personnage ? Le médecin malgré lui / Molière 4 Fiche 4 La critique de la société Objectifs : › Relever la portée critique de la pièce › Aborder la notion de satire › Ancrer l’image du médecin dans un contexte historique I. La vie de famille 1 • Quelle image du mariage Molière donne-t-il avec le couple Martine-Sganarelle ? 2 • Quelle est la particularité du mariage dans la bourgeoisie ? Pourquoi Géronte refuse-t-il

RELATIONS ENTRE MAITRES ET VALETS Textes étudiés en lecture cursive Molière, Les Fourberies de Scapin, III, 2, 1671 Scapin a trouvé un stratagème pour se venger de son maître, Géronte. […] SCAPIN. - Attendez. Voici une affaire que je me suis trouvée fort à propos pour vous sauver. Il faut que vous vous mettiez dans ce sac et que… GÉRONTE, croyant voir quelqu'un. – Ah ! SCAPIN. - Non, non, non, non, ce n'est personne. Il faut, dis-je, que vous vous mettiez là dedans, et que vous gardiez de remuer en aucune

courtisée par le gentilhomme Adraste. Matamore veut demander à Géronte, le père d’Isabelle, la main de sa fille. Adraste et Lyse, suivante d’Isabelle, se donnent pour but d’empêcher l’amour entre Isabelle et Clindor. Géronte veut que sa fille épouse Adraste, tandis que Clindor déclare à Lyse que son coeur balance entre elle et sa maîtresse. Matamore découvre l’amour entre Isabelle et Clindor mais son valet réussi à l’effrayer. Géronte et ses hommes de main font irruption avec Adraste qui attaque