Gestapo

un pays totalitaire où les libertés de penser et d’expression sont proscrites : la presse et la radio sont strictement contrôlées. Les églises doivent également se plier aux exigences du régime. Le pays tout entier est sous la surveillance de la Gestapo (police politique). Toute manifestation d’opposition au régime est punie par la mort, l’enfermement en camp de concentration ou en prison. Hans, Sophie et leurs amis cherchent à provoquer un sursaut dans la population allemande, notamment par le

conspiration contre l'humanité. Au cours de ce procès, 4 organisations sont aussi déclarées criminelles. Il s’agit des organisations suivantes : Le NSDAP (le parti nazi) La S.S (Garde personnelle d’Adolf Hitler) Le S.D (Service de Sécurité) La Gestapo (Police politique) p.4 Document 4 Répartition des victimes juives Ce document est un tableau des répartitions des victimes Juives. De 1941 à 1945, plus de 5 millions de Juifs ( Hommes, Femmes, enfants) ont été

école primaire Le procès de Nuremberg est la manifestation la plus emblématique de la dénazification. Il dure de novembre 1945 à septembre 1946. Au total, lors de ce procès, 22 hauts responsables nazis et des employés d'organisation tel que la Gestapo doivent répondre à quatre chefs d’accusation : complot pour dominer l’Europe, crimes contre la paix, crimes de guerre et crimes contre l’humanité. Mais ce chiffre est insignifiant en comparaison au nombre de dirigeants nazis coupables de ces crimes

puis devient Reichsführer à la mort du président Hindenburg. -De 1934 à 1936, les éléments du totalitarisme se mettent en place : 1-une propagande permanente : radio, affiches, cérémonies, film 2-le contrôle de la population : police politique (Gestapo), Camps de concentration dirigés par les SS. 3-La manipulation et militarisation de la jeunesse( Education, Jeunesse Hitlérienne) : 4-La nazification de la culture et de la science :autodafés, censure, exil forcé des intellectuels, en particulier

cinéma et la presse présentent une image plus nuancée des années d’occupation. Marcel Ophuls réalise un documentaire intitulé "Le Chagrin et la Pitié". Louis Malle réalise «Lucien Lacombe» (histoire d’un fils de paysan qui se met au service de la Gestapo). Aux États-Unis, on produit le film «Holocaust» (1979) et en France, Claude Lanzmann réalise "Shoah" (1985). Le cinéma montre une image moins héroïque de la guerre. Les historiens français préfèrent travailler sur la guerre que sur la collaboration

protéger les Juifs français ratifie cet accord le lendemain7. René Bousquet, le secrétaire général de la police nationale, accompagné de Louis Darquier de Pellepoix, commissaire général aux questions juives, rencontre le 4 juillet, au siège de la Gestapo à Paris, les colonel et capitaine SS Helmut Knochen et Theodor Dannecker, le premier dirigeant la police allemande en France. Un nouvel entretien, dans les bureaux de Dannecker avenue Foch, afin d'organiser la rafle prévue pour le 13 juillet 1942

d’adoration de la patrie et d’amour au chef. En URSS avec les komsomol l’enfant est pris en charge. Ces politiques envers l’enfant sont l’expression de la volonté du pouvoir de substituer l’autorité de l’Etat à celle de la famille. Le NKVD ou la gestapo surveillent le citoyen soviétique et allemand dans chaque moment de sa vie. Aucun écart n’est autorisé. De nombreuses commémorations sont organisées afin de célébrés un acte révolutionnaire ou d’un genre nouveau. La presse est censurée. Goebbels en

raison pour ne pas trouver son cas intéressant. » Pour les étudiants chrétiens de la Rose Blanche, revenus de leurs illusions initiales, il représentait l'Antéchrist[35]. Mgr Lichtenberg, mort déporté pour avoir prié à Berlin pour les Juifs, dira à la Gestapo: « Je n'ai qu'un seul Führer : Jésus-Christ ». Malgré son interdiction et la violente répression qui s'abat sur ses membres, le KPD parvient à conserver une organisation clandestine organisée autour de l' « Orchestre rouge », qui diffuse tracts et

protéger les Juifs français ratifie cet accord le lendemain5. René Bousquet, le secrétaire général de la police nationale, accompagné de Louis Darquier de Pellepoix, commissaire général aux questions juives, rencontre le 4 juillet, au siège de la Gestapo à Paris, les colonel et capitaine SS Helmut Knochen et Theodor Dannecker, le premier dirigeant la police allemande en France. Un nouvel entretien, dans les bureaux de Dannecker avenue Foch, afin d'organiser la rafle prévue pour le 13 juillet 1942

prison et d’internement et commence à peintre des paysages. En 1937, ses œuvres sont déclarées « dégénérées » par les nazis, et 170 de ses œuvres sont retirées des musées et brulés. En 1938, Dix est arrêté et enfermé pendant deux semaines par la gestapo, durant cette courte période, il peint une représentation de Saint Christophe. C’est par obligation qu’il participe à la Seconde Guerre Mondial, où il sert sur le front occidental e 1944-1945, il est fait prisonnier en Alsace Ces principales œuvres