Gestapo

sud, l'absence des Allemands facilite la formation spontanée, parfois désordonnée de groupes. En zone nord, la situation est plus difficile pour les résistants qui doivent rapidement s'organiser en réseaux clandestins s'ils veulent échapper à la Gestapo. Les premiers groupes sont Libération nord, Ceux de la Résistance. Seul le Front National, groupe de résistants communistes, fondé en mai 1941 mais surtout actif à partir de juillet 1941, est présent en zone nord et en zone sud. Le problème de

passera! » (l.20-21) - emploi du pronom indéfini « on »l.20 et suivantes > pronom très utilisé à l'oral - « Et alors un beau jour, ... »l.16 > impression d'un conte, histoire racontée > attention du lecteur captée + emploi du présent de narration « les gestapos s'affairent, les prisons s'emplissent... »(17-18) > événements passés racontés au présent > impress° de proximité TRANSIT°>>> Attent° captée par l'expression très orale + rythme très soutenu du txt. B) Un rythme persuasif - quantité d'anaphores

prison à Rennes. Pendant plusieurs semaines il n’est pas reconnu. Mais Brossolette est finalement identifié par suite d’une imprudence après l’envoi d’un rapport semi-codé vers Londres Cette imprudence alerte la Gestapo et Pierre Brossolette est transféré au 84, avenue Foch [siège de la Gestapo] le 19 mars.Les tortures commencent pour le faire parler. Brossolette refuse de livrer ses secrets. Porteur de tous les secrets de Londres et de la Résistance, il ne veut pas prendre de risques. Calmement, lucidement

législatives (37%) et Adolf Hitler est nommé chancelier le 30 janvier 1933. 2- La suppression des libertés Dès son arrivée au pouvoir Hitler fait du parti nazi le seul parti autorisé : l'Allemagne n'est plus une démocratie. La police politique (la Gestapo), pourchasse les opposants politiques et les fait enfermer dans des camps de concentration dès 1933 (1er camp: Dachau). Par les lois de Nuremberg en 1935 le régime nazi veut faire des Juifs Allemands des citoyens de seconde catégorie. Selon ces

Le 1er juin 1944, son groupe tombe dans un guet-apens. Robert Antelme est arrêté par la Gestapo, secourue par Mitterrand, Marguerite Duras s'échappe. Au lendemain du débarquement des alliés, elle apprend que son mari a été emmené à Compiègne d’où partent les trains pour les camps de concentration. Robert est déporté à Dauchau. Marguerite entretient une relation ambiguë avec Charles Delval, un agent de la Gestapo qui a fait arrêter son mari et qu'elle aurait séduit pour sauver ce dernier[8]. À la Libération

Joseph sont privés de sortie jusqu'à Pâques. En classe, le professeur donne des nouvelles de la guerre. En ce moment, Doktor Muller de la Gestapo entre et veut savoir qui est Jean Kippelstein. Un Feldgendarme tire Bonnet par le bras. Muller informe les élèves qu'il faut faire ses bagages et se mettre en rang dans la cour. Moureau arrive à s'enfuir mais la Gestapo prend le trois élève juifs et le Père Jean. On apprend que Bonnet, Négus et Dupré sont morts à Auschwitz et le Père Jean est mort à Mauthausen

______________________________ ____________________________________________________________ ________________________________________ Chapitre 9 Maintenant commence une période très dure pour Maurice et Joseph, enfermés dans l’hôtel Excelsior, siège de la Gestapo. Ordre chronologique : Mettez ces phrases dans le bon ordre. a. Après une longue attente, ils sont relâchés. b. Les frères sont interrogés sur leur vie à Alger. c. Ils voient partir un vieux couple dévoué pour un camp de concentration

plus efficace. Jean Moulin fonde le mouvement unis de la résistance (MUR) qui unit les trois grands mouvements de résistance Combat, Franc-tireur et Libération-Sud puis le conseil national de la résistance (CNR) avant d’être trahi et arrêté par la gestapo. En 1944, à l’approche puis au déclenchement des débarquements de Normandie et de Provence, la répression de la résistance est à son plus haut point. Les unités militaires allemandes, voyant la fin de la guerre et leur défaite proche, n’hésitent

une voisine de l’époque rencontrée par François Pétry, le peintre résistant se montrait imprudent : ses toiles étaient à peine cachées, il les montrait à des enfants qui auraient pu s’émouvoir des horreurs. En cas de délation et de descente de la Gestapo, son sort était scellé… Mais il n’en fut rien, et les rêves de Steib devinrent réalité. Entre 1940 et 1945, il réalise une série de cinquante-sept toiles qui dénonce le régime hitlérien qu’il intitule ironiquement «  Le salon des rêves »

Léon. C’est le frère de la grand - mère maternelle de Pierre. Il était résistant pendant la seconde guerre mondiale (1939 – 1945). Il organisait des passages en Suisse et il a sauvé des dizaines de familles juives. Il a été dénoncé et arrêté par la Gestapo le 27 septembre 1943. Il est mort à 20 ans. Dans le roman, il y a aussi le « Yayo » : l’arrière grand père de Pierre. Il est mort à 95 ans d’une crise cardiaque à Andorre. Laure est la femme du « Yayo ». La grand –mère maternelle de Pierre est la