Gestapo

sud de la France. Pendant son séjour en camp, il ne dessine que des ébauches, mais après s'être évadé, il retourne à Bruxelles où il reste caché avec son épouse Felka Platek. A la fin de la guerre, il est finalement arrêté sur dénonciation par la Gestapo à Bruxelles en juin 1944. Transporté à Auschwitz, il y sera assassiné le mois suivant. Son épouse, l'artiste Felka Platek, fut arrêtée en même temps que lui et subit le même sort. Après son internement au camp de Saint Cyprien (en France), ses œuvres

de l’affiliation avec la Gestapo et aussi l’horreur da la guerre. La description interrompue par onomatopée comme « bing ! » (l.12), fait l’allusion à son allégresse augmentée. Duras finit l’extrait en disant, « C’était un grand carrefour, celui de Châteaudun, je crois. Il y avait beaucoup de monde, on était noyés dans la foule des trottoirs » (ll.20-21). Il est apparent que Duras est confortée par cet anonymat; elle n’est plus victime et il n’est plus membre de la Gestapo et cette perspective la

de la Louve italiennes, Komsomols soviétiques et Hitlerjugend allemandes encadrent les jeunes. Le travail et les loisirs sont contrôlés par l’état. Les ennemis intérieurs sont pourchassés par les polices politiques (OVRA en Italie, NKVD en URSS, Gestapo en Allemagne). Des camps de concentration « accueillent » les opposants : les îles Lipari en Italie, les goulags de Sibérie en URSS, Dachau en Allemagne « rééduquent » et éliminent ceux qui perturbent l’idéologie officielle. -Chacun de ces régimes

âge, se voyaient inculquer le culte fanatique du chef, le Führer, en même temps que la négation de l’individu au profit du groupe. Toute velléité d’opposition au régime se trouvait neutralisée par l’action du parti ou impitoyablement réduite par la Gestapo. Anticapitaliste dans la mesure où elle prônait l’étatisation de la politique économique et où elle répandait des slogans contre la grande propriété, la doctrine nazie cherchait plutôt à rallier la classe ouvrière qu’à bouleverser les structures sociales

Le Père Pons recueille, à la Villa Jaune, plusieurs enfants juifs orphelins ou dont on ne trouve plus les parents et leur crée une nouvelle identité pour ne pas qu’ils soient démasqués par la Gestapo. Mais, lors des communions chrétiennes, alors que les enfants juifs sont restés à la Villa Jaune, La Gestapo est venue vérifier qu’aucun enfant juif n’était caché là. Ce soir-là, le Père Pons explique ses inquiétudes à Joseph. ↠ P.109 - Je crains une fouille corporelle, Joseph. Que pourrais-je faire

terreur policière. En Italie, ce sont les Chemises Noires qui menacent les opposants au régime. Ce sont de jeunes militants qui soutiennent Mussolini et qui entretiennent un climat de violence. Du côté des nazis, Hitler met en place une police d’Etat (Gestapo) et une police du parti nazi (la SS). Viennent ensuite les camps de concentration pour emprisonner, dans un premier temps, les opposants politiques puis les Juifs ensuite. En URSS, Staline instaure le NKVD qui est chargé de la déportation des opposants

était gentil ce | | |soldat, je m'en rappelle encore. | | |L'autre était tout le contraire, c'était un chef, un type de la Gestapo, il se fichait bien que Maman pleure. A un moment, je lui ai donné | | |un coup de pied, alors il m'a donné une claque et il a dit qu'il allait tous nous emmener. C'est là que le gentil soldat nous a défendus, | | |j'ai compris qu'il

régimes ont éliminé tous les autres partis rivaux pour être le parti unique, gouverné par trois chefs imposants et autoritaires : Mussolini, Staline et Hitler. En Italie, les syndicats indépendants sont éliminés. Les polices politiques (NKVD, OVRA, GESTAPO) son très violentes et maintiennent une vigilance constante dans le pays. Les opposants politiques ne sont pas tolérés, subissent tortures et autres supplices. Par exemple, lorsque Mussolini gagne l’Italie par un coup d’Etat, le socialiste et contestataire

défiler des personnages réels ou fictifs qui appartiennent à la mythologie personnelle de l'auteur : Maurice Sachs et Otto Abetz, Lévy-Vendôme et le docteur Louis-Ferdinand Bardamu, Brasillach et Drieu la Rochelle, Marcel Proust et les tueurs de la Gestapo française, le capitaine Dreyfus et les amiraux pétainistes, Freud, Rebecca, Hitler, Eva Braun et tant d'autres, comparables à des figures de carrousels tournant follement dans l'espace et le temps. Mais la place de l'Etoile, le livre refermé, s'inscrit

Hardy sera d'ailleurs le seul à s'évader lors de cette arrestation, n'étant pas menotté mais ayant eu juste les poignets entravés par de simples liens. Après avoir été identifié et interrogé par le chef de la Gestapo Klaus Barbie au Fort Montluc de Lyon, Jean Moulin est transféré à la Gestapo de Paris où il est torturé. Il meurt le 8 juillet 1943 en gare de Metz, dans le train Paris-Berlin qui le conduisait en Allemagne pour y être interrogé. Cénotaphe de Jean Moulin au Panthéon de Paris contenant