Gestion De Projet Par Jean Paul Bourgeois

tel-00011924, version 1 - 12 Mar 2006 MODÈLISATION Thèse pour le doctorat ès Sciences de Gestion Présentée et soutenue le 20 octobre 1993 par Christian BRUYAT JURY PRESIDENT : Professeur Michel MARCHESNAY Université de Montpellier I DIRECTEUR DE THESE : Professeur Robert PATUREL Université Pierre Mendès France SUFFRAGANTS Professeur Alain Charles MARTINET Université Jean Moulin Lyon III Professeur Bertrand SAPORTA Université de Bordeaux I André LETOWSKI Directeur

de nouveaux élans révolutionnaires et révoltes partout en Europe (Commune de Paris,…)  désir de révolution, mais propre au pays. Une révolution volée ? Où est la souveraineté populaire promise ? C’est l’avènement du siècle bourgeois. Bourgeoisie : ce n’est ni le peuple, ni l’aristocratie ; elle veut se distinguer des autres classes (mode vestimentaire conformiste, logements identiques). Elle possède un statut non-héréditaire (lignage et accumulation générationnelle), un capital

d’être appliqués et vérifiés dans un cadre pratique. Aussi, pour une vision plus objective, une série de constats et d’analyses visant à mettre en cause l’urbanisme de plan et ses théories a été effectué et a permis de s’orienter vers la notion du projet urbain. Ce dernier, s'inscrit dans la stratégie du renouvellement de la ville et se veut une réponse aux dysfonctionnements multiples des villes qui vont à l’encontre de la qualité de l'espace et de la vie urbaine. Sur le terrain et pour ce cas

politique recouvre « toute action volontaire ayant du succès ou aboutissant à un échec, organisée ou non organisée, épisodique ou continue, ayant recours à des moyens légitimes ou non légitimes dans le but d’influencer le choix des politiques, la gestion des affaires publiques ou le choix des dirigeants politiques à tous les niveaux de gouvernement, local ou national ». La participation politique, et, de là, l’exercice de la démocratie passent donc par l’action syndicale et l’influence plus large

années 30). Le développement du secteur tertiaire, négligeable jusqu’au début du XXème siècle, connait une progression après la seconde guerre mondiale qui ne se dément plus depuis. Mais les statistiques démographiques ne sont pas suffisantes. Le bourgeois capitaliste décrit par Marx ou Zola, le monde d'un patronat industriel, régresse après la seconde guerre mondiale face à un nouveau capitalisme spéculatif mondial qui ne rêve que de faire disparaitre les ouvriers (secteur secondaire). Il existe encore

Smith, 1776 : recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations. Ces théories sont approfondies par David Ricardo (1772/1823), des principes de l'économie politique et de l'impôt, paru en 1817. Ces idées sont diffusées en France par Jean Batiste Say. Le libéralisme, c'est une philosophie politique globale, qui est ordonnée autour de l'idée de liberté. Ne se limite pas à l'économie, a des implications sociales. o Il est foncièrement individualisme. L'individu l'emporte sur le groupe

libertés publiques (surtout expression) = limites conception bonapartiste de la démocratie. Après chute 2ndE éléments de droite l'emportent. 2. La pensée de gauche Socialisme = mot vers 1830 nait révolte devant misère ouvrière liée à RI. ensemble de projets très divers. Seul point commun : remise en cause société nouvelle + volonté de la transformer profondément voire de la renverser, pour construire monde égalitaire en l’organisant sur d’autres bases en fonction de l’intérêt des travailleurs. théoriciens

« démocratie » même s’il croit à la souveraineté du peuple, il craint que le peuple ne soit pas assez éduqué ( anarchie ! (vient de l’aristocratie !). Bon milieu : monarchie limitée ou aristocratie élective (conseil d’hommes sages élus par le peuple (bourgeois) qui contrôlerait l’exécutif). 3) Séparation des pouvoirs : nouvelle idée : équilibre les pouvoirs pour qu’ils se contrôlent l’un l’autre // Etats-Unis : 1787 : check & balance. Théoricien suisse a vu (pas appliqué) ça le premier. 4) Rapports

trouvères on trouve un certain nombre de nobles de haut rang (Jean de Brienne, Gace Brulé, le Châtelain de Coucy, Conon de Béthune), mais également des clercs formés par l'église : Hélinant de Froidmont, par exemple, a vécu à la cour, puis devient moine près de Beauvais. Les riches villes du nord de la France deviennent peu à peu des centres littéraires importants, autour des puys, sociétés littéraires qui organisent des concours de poésie. Jean Bodel, qui écrit au XIIe siècle, appartient ainsi à la confrérie

n’est pas né en ville nouvelle, le premier opus baptisé «Centre Educatif et Culturel » (CEC) ouvre ses portes en 1968 à Yerres, « banlieue dortoir » de Paris. L’expérience menée sous l’égide d’un entrepreneur en bâtiment atypique et élu de la commune, Paul Chaslin, soutenu par un groupe de ceux que l’on a appelé les « technocrates modernisateurs », tous acquis à la cause de l’éducation populaire, prend l’allure d’un complot associant « clandestinement » des équipements relevant de financements et d’administrations