Gibbérelline

Deuxième élément : des régulateurs de croissance ont été identifiés. Ils affectent la vitesse de croissance des cellules et leur différenciation, et sont impliqués dans les corrélations entre organes. La découverte de ces substances (auxines, gibbérellines, cytoquinines, acide abscissique, éthylène, oligosaccharines) a permis le développement des techniques de culture in vitro. D’autres facteurs interviennent et notamment le choix de l’explant, dont dépend la totipotence des cellules prélevées. Ces

exemple qui sont des polluants, les feuilles des végétaux jaunissent, pourrissent et sèchent. 6. La pesanteur : elle a un effet accélérateur dans la croissance du végétal. Elle permet la répartition dans le végétal des hormones comme l’auxine, les gibbérellines. Elle provoque la croissance des racines vers le sol et des tiges vers le sens contraire. Mouvements chez les végétaux Les végétaux répondent aux stimuli internes et externes. Ils ne font pas de mouvements comme les animaux, mais leurs réponses

\ / / racine L’organogenèse : une affaire d’équilibres hormonaux[modifier] L’auxine n’est pas la seule hormone végétale nécessaire au développement et à la croissance : les cytokinines (interviennent dans la division cellulaire), les gibbérellines, les acides abscissiques, l’éthylène. La culture in vitro des cellules végétales illustre bien l’intervention conjuguée de ces hormones. Si l’on met un fragment de plan avec autant d’auxine que de cytokinines, on va stimuler la division cellulaire

l’action de l’auxine et permettent le développement des autres bourgeons. Les cytokinines produites principalement par les racines, les fruits et les embryons en croissance lèvent la dominance apicale, stimule la germination et la floraison. Les gibbérellines produites par les méristèmes terminaux stimulent l’élongation des tiges, la floraison, la germination et la fructification. Le développement du végétal est sous l’influence des hormones et de l’environnement. Les rations entre les différentes

développement normal. L’auxine joue donc un rôle dans le développement de la fraise, elle est surement produite dans les akènes et permet le développement du fruit. Tous les fruits ne sont pas soumis à l’auxine, on a aussi l’intervention des gibbérellines. Conclusion Générale * Effets pléiotropes de l’auxine sur le développement des plantes * Rôle important du gradient d’auxine dans l’organogenèse. Celui-ci peut être réalisé par la biosynthèse ou par le transport. C’est le flux d’auxine

turgescence * A long terme : * En activant des gènes provoquant la synthèse d’enzymes nécessaire à la constitution de la paroi et donc à son agrandissement. Remarque : il existe plusieurs types d’hormones comme les cytokinines et les gibbéréllines. L’absence de celle-ci par mutation génique entraîne le nanisme chez certaines plantes. BILAN : * L’auxine, facteur de croissance ou hormone végétale, contrôle la croissance cellulaire * Elle est synthétisée par l’apex des tiges

nouveaux constituants qui seront incorporés à la paroi. II-3 La zone de différenciation cellulaire : l’organogénèse dépend de concentrations hormonales L’auxine n’est pas la seule hormone nécessaire à la mise en place des organes ou organogenèse. Les gibbérellines, les cytokinines, l’acide abcissique, l’éthylène…interviennent également. C’est la concentration des hormones les unes par rapport aux autres qui détermine l’apparition de tel ou tel organe (Doc. 12): par exemple, lorsque le rapport auxine/cytokinine

Maltose -> Glucose). * Solubilisation des protéines. * Respiration avec consommation des sucres (production de CO2 et de vapeur d'eau). Plus précisément : la radicelle qui se développe dégage dans l’endosperme des hormones appelées Gibberellin. Celles-ci provoquent l’apparition d’enzymes qui vont catalyser les réactions de transformation de l’amidon (C6H10O5)n contenu dans l’endosperme. L’amidon est ainsi transformé en maltose (C12H22O11), lui-même transformé par la suite en glucose (C6H12O6)

et pendant une durée limitée. Depuis la fin du XIXème siècle et la découverte de l’auxine, les phytohormones ont fait l’objet de nombreuses recherches. Cinq catégories principales d’hormones ont été décrites (les auxines, les cytokinines, les gibbérellines, l’acide abscissique et l’éthylène). Ces hormones régissent la croissance et le développement végétal. Les mécanismes de leurs actions commencent à être élucidés. Mais leur étude est complexe, chaque hormone pouvant avoir des effets différents

y Liaisons plantes - microflore du sol : signaux retour, inhibition et organismes pathogènes • on admet généralement que les bactéries accroissent la croissance racinaire via la production, mal connue, d’hormones végétales (auxine, p g ( gibbérellines…) : plant growth promoting bacteria (PGPB) • l plante peut i hib l’ ti ité de certains microorganismes via sa la l t t inhiber l’activité d t i i i i litière ou l’excrétion d’exsudats racinaires (ex : inhibition de la nitrification) ) • il existe