Gil Blas Résumé

personnage étudié : Bel-Ami de Maupassant avec Georges Duroy MASTER 1 RECHERCHE EN SCIENCES D’INFOCOM année universitaire 2008/2009 SOMMAIRE Introduction ……………………………………………………………..3 1-Nature de l’œuvre……. …….……………………………..…………….4 2-Résumé de l’œuvre………….... ………………...………………………4 3- Place du personnage dans l’œuvre ……………………………………..5 3-1 Un entretien d’embauche facilité………………………………6 3-2 Les débuts d’un métier de journaliste.............................

étaient policés, on citera l’Inquisition pour prouver qu’ils étaient en grande partie des barbares. » L’Inquisition est bien sûr dénoncée avec virulence, mais en tant que système, qui encourage la délation et récompense les bas instincts – comme le résume Voltaire dans cette citation, qui ouvre l’article « Inquisition » de son Dictionnaire Philosophique : « L’Inquisition est comme on sait, une invention admirable et tout à fait chrétienne pour rendre le pape et les moines plus puissants, et pour rendre

Bel-Ami Bel-Ami est un roman d'apprentissage de Guy de Maupassant (1850-1893), dont l'action se déroule à Paris au xixe siècle, publié en 1885 sous forme de feuilleton dans Gil Blas. Le roman retrace l’ascension sociale de Georges Du Roy de Cantel (ou Georges Duroy), homme ambitieux et séducteur sans scrupule (arriviste - opportuniste), employé au bureau des chemins de fer du Nord, parvenu au sommet de la pyramide sociale parisienne grâce à ses maîtresses et à la collusion entre la finance, la presse

offrir au lecteur une instrumentation critique, c'est-à-dire une méthode de lecture et des concepts propres à favoriser l'analyse personnelle. L'exposé n'a pas pour ambition de retracer l'histoire complète de la réception de l'oeuvre de Zola. Il en résume les données essentielles et insiste sur ses résultats, tels qu'ils peuvent être appréhendés aujourd'hui. Bref, il s'agit ici d'un bilan, que l'on devra considérer comme une introduction à des recherches plus approfondies. Le premier chapitre explore

romanesque. On va parler d'histoire, de vraisemblance, naturel; désigne en creux ce que c'est que le réalisme au littéraire. Il ne s'agit pas d'un réalisme mimétique (comme ce sera le cas au XIXè) attention accrue pour le quotidien et le corps. Exemple de Gil Blas (Lesage) avec les scènes de repas. Auerbach : il associe ce réalisme au style intermédiaire, il appelle ça une esthétique moyenne, elle refuse les disciminations esthétiques du XVIIè. Le roman s'attache à des héros qui n'ont plus rien de sublime

tout-Paris,mais aussi les aristocrates ou les grands bourgeois qui fréquentent les lieux chics des quartiers parisiens ou les stations de la côte d’Azur4.Elles constituent même une partie du fond de commerce des feuilles de chantage comme le quotidien Gil Blas. Les indiscrétions émergent sans mais souvent aussi avec la complicité des principaux intéressés. Toute la presse « respectable » condamne fermement les journaux indélicats.Il n’empêche qu’à l’occasion,elle ne résiste pas à la curiosité de ses lecteurs

vit différentes étapes et son peut facilement repérer, la vision pessimiste du monde ainsi que la vision fataliste de l’amour, caractéristiques de la pensée flaubertienne, omniprésente dans le roman : la fidélité conjugale n’existe pas, l’amour se résume aux plaisirs sensuels, la religion cautionne le vice et la violence, Paul est un enfant peu tendre avec sa mère,et les rêves ne se réalisent jamais. Dans ce roman, Maupassant, n’aborde pas le contexte historique et politique de l’époque, il préfère

propagande politique, une photographie bien choisie peut fasciner, sidérer, émouvoir et toucher au coeur le lecteur pour lui transmettre une vérité toute nouvelle et jusqu'alors inaperçue.» Cette citation de Kurt Tucholsky, photographe allemand, résume bien les enjeux qui se cachent derrière une photo. L'une des fonctions du photojournaliste est, en effet, de susciter des sentiments à travers ses photographies. Il cherche à approcher au plus près la vérité de l'instant fixé par la photo et témoigner

faire une peinture totale de la société. On cherche la vérité historique dans les détails (meubles, habits,…) pour comprendre l´histoire en profondeur. Il faut des lieux différents pour placer les histoires. Le héros peut être un être marginal (Ruy Blas). Le peuple peut être présent comme acteur ou comme héros. Le personnage central ne sera plus le roi. Si on veut montrer toute la société, il faudrait montrer plusieurs endroits et plusieurs décors. Un autre grand thème du drame historique c´est

une plus saine conception des arts et de la littérature et, pour cela, les cubistes avec leurs exagérations remplissent admirablement le rôle des ilotes Spartia­tes, ce qui prouva que le cubisme, lui aussi, peut avoir son utilité. Louis PERCEAU Gil Blas, 11 mal 1913 Les Arts [...] Informations [...] Les Peintres cubistes. M. Guillaume Apollinaire vient de faire paraître un volume, copieusement illustré, consacré aux peintres cubistes. Nul ne songe à demander à M. Guillaume [7] Apollinaire, en