Gilbert Cesbron

University Press, 1954. —, La Prison romantique. Essai sur l’imaginaire, Paris, José Corti, 1975. —, Stendhal, roman et liberté, Paris, de Fallois, 2007. [traduction de Stendhal. Fiction and the Themes of Freedom, New-York, Random House, 1968]. CHAITIN, Gilbert D., The unhappy few. A psychological study of the novels of Stendhal, Bloomington, Indiana University Press, 1972. CHRÉTIEN, Jean-Louis, « Stendhal et ‘le cœur humain presque à nu’ », dans Conscience et roman, I. La conscience au grand jour, Paris

J'aimerais bien savoir si cela marchera avec moi. La quatrième personne, que j’ai pu interroger, est Marie-Paule, 54 ans. Sa passion pour la littérature l’a aidé à faire son choix de profession. Depuis l’âge de 14-15 ans, elle adorait des livres de Gilbert Cesbron ( « Chiens perdus sans collier ») et de Hector Malot (« Sans famille », « En famille »). Ce sont des écrivains qui ont écrit sur la réalité de la société contemporaine, sur sa misère, la souffrance, l’humiliation, notamment sur les conditions

s'est passé quelque chose de bizarre. Sur 31 réponses reçues, 24 désignent Michel Butor comme ('écrivain avec qui s'est entretenu Pierre Bourgeade. Trois de nos lecteurs seulement ont reconnu Claude Roy : M. Victor Cherner à Paris 19', Mlle Nicole Gilbert à Paris 15' (4" réponse Juste), Mlle Rose Fer à Nyons. S'il est vrai que beaucoup des paroles de Claude Roy eussent pu être prononcées par Michel Butor, et s'II est vrai encore que nos deux écrivains ont beaucoup de goûts en commun (pour Jules Verne

Esther DUFLO (4) * Eva JOLY (8) * Evo MORALES (2) * Federico Mayor ZARAGOZA (1) * Florence AUBENAS (2) * François HOUTART (5) * Frei BETTO (1) * GANDHI (2) * Gilbert CESBRON (2) * Guy AURENCHE (3) * Hildegard GOSS-MAYR (1) * Hillary CLINTON (1) * Jacques DIOUF (4) * Jean MERCKAERT (3) * Jean ZIEGLER (8) * Jean-Marie MULLER (1)

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47 IGC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52 JF CESBRON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54 SEDEL SAS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

publications : Il s’agit ici d’une liste non exhaustive classant quelques œuvres récemment parues ou qui n’entrent pas dans l’édition des Œuvres Complètes. 1) Œuvres en prose : – MILOSZ : L’Amoureuse Initiation, édition préfacée par Gilbert Sigaux, Livre de Poche, Paris, 1977. – MILOSZ, en collaboration avec Francis de Miomandre : Le Revenant Malgré Lui, Comédie-vaudeville en trois actes présentée par Yves-Alain Favre, Cahiers de l’association des amis de Milosz n°23-24, Silvaire, Paris

son hybris évidente est la preuve évidente. Mais nous aurons l’occasion plus loin, au cours de notre lecture, de revenir sur ce moment hautement dramatique. Si nous ajoutons à cela le fait que ce prêtre soit à l’origine du « meurtre » de Julien et Gilberte commis par le comte - ce qui en fait, en quelque sorte, un meurtrier par « procuration », s’il nous est permis de le dire ainsi -, nous avons peine à croire qu’il soit un serviteur de Dieu. La façon dont il a d’anathématiser la nature humaine ajoutée

Emprise (*). EMILY BRONTE Les Hauts de Hurle-Vent (*). JAMES C A I N Le Facteur sonne toujours deux Fois. ERSKINE C A L D W E L L Le Petit Arpent du Bon Dieu. La Route au Tabac. ALBERT C A M U S La Peste. FRANCIS CARCO Brumes. L'Homme traqué. GILBERT CESBRON Notre Prison est un Royaume. Les Saints vont en Enfer. JEAN C O C T E A U Les Parents terribles. COLETTE Gigi. L'ingénue libertine. La Chatte. La Seconde» Duo suivi de Le Toutounier. A.-J. C R O N I N Les Clés du Royaume (*). La Dame aux Œillets

essentiellement épistolaires. Sa vie est vouée à l’écriture d’innombrables poèmes (près de 1 800 recensés) et à une importante correspondance. Restée célibataire, elle est affectée par de nombreux deuils, son père en 1874, sa mère en 1882, son neveu Gilbert, mort à l’âge de huit ans en 1883, le juge Otis P. Lord qu’elle devait épouser, en 1884. Bien que restée inconnue jusqu’à sa mort, elle est aujourd’hui considérée avec Walt Whitman comme faisant partie des poètes fondateurs américains du XIXe siècle

essentiellement épistolaires. Sa vie est vouée à l’écriture d’innombrables poèmes (près de 1 800 recensés) et à une importante correspondance. Restée célibataire, elle est affectée par de nombreux deuils, son père en 1874, sa mère en 1882, son neveu Gilbert, mort à l’âge de huit ans en 1883, le juge Otis P. Lord qu’elle devait épouser, en 1884. Bien que restée inconnue jusqu’à sa mort, elle est aujourd’hui considérée avec Walt Whitman comme faisant partie des poètes fondateurs américains du XIXe siècle