Gilgamesh

littéraire de l’humanité, utilisant le rythme comme aide à la mémorisation et à la transmission orale, la poésie apparaît d’abord dans un cadre religieux et social en instituant les mythes fondateurs dans toutes les cultures que ce soit avec l’épopée de Gilgamesh, (IIIe millénaire av. J.-C.) en Mésopotamie, les Vedas, le Rāmāyana ou le Mahabharata indiens, la Poésie dans l'Égypte antique la Bible des Hébreux ou l'Iliade et l'Odyssée des Grecs, l'Enéide des latins. La poésie fut marquée par l’oralité et la

soutiraient la semence de l’homme pour engrosser des femmes par incubat). 2000 ans avant J.C., une autre Lilith apparaît dans un manuscrit : « Gilgamesh et l’Arbre Huluppu ».Lilith construit sa maison à l’intérieur d’un grand saule qui avait été planté sur la rive de l’Euphrate. Un dragon s’est niché à la base de l’arbre, et un oiseau magique à son sommet. Gilgamesh tue le dragon, Lilith terrifiée, fuit dans le désert (certainement ce fut la source de ce verset). Ce poème représente Lilith avec un corps

de la mort mais ils ont un statut de mortels et, s’ils connaissent une apothéose (Gilgamesh, Héraclès), ils ne peuvent l’envisager de leur vivant. Après la mort de son ami Enkidu, Gilgamesh, pourtant "dieu aux deux tiers, pour un tiers homme", est terrorisé par l’idée de disparaître à son tour : "L’angoisse m’est entrée au ventre ! C’est par peur de la mort que je cours la steppe." Malgré les épreuves, Gilgamesh échoue à devenir immortel mais il assure sa renommée grâce aux imposants remparts

(texte complémentaire n° 1). – construire une séquence autour du thème du combat héroïque en étudiant le combat d’Ulysse contre les prétendants (texte complémentaire n° 1), le combat entre Achille et Hector (texte 2 séquence 8, p. 182), le combat de Gilgamesh (texte 3 séquence, 8 p. 184), le combat entre Énée et Turnus (texte d’évaluation séquence 8, p. 196). On pourra également envisager une séquence sur le héros et son instrument : Orphée et sa lyre – Ulysse et son arc. Texte complémentaire n° 1 – L’arc

auquel le Dieu de la Genèse doit s’opposer pour obtenir la confiance de l’humanité. L’arbre de la connaissance du bien et du mal apparaît également dans la mythologie mésopotamienne de Gilgamesh, antérieure à la rédaction de la Genèse (dans le livre Gilgamesh, Enkidu et les Enfers, plus précisément), arbre que Gilgamesh se fait voler par un serpent aux sortir des Enfers. Resituer le texte dans son contexte permet de mettre à jour la relation qu’il a pu entretenir avec d’autres textes antérieurs ou contemporains

I. Introduction Tout le monde a sûrement entendu parler de la Mésopotamie. Lorsque l'on vous en parle, quels sont donc les premiers mots qui vous viennent à l'esprit ? Serait-ce Sumer, cunéiforme, Ziggourat, irrigation ou encore Gilgamesh qui résonnent à vos oreilles ? Ou bien la Mésopotamie n'est-elle rien d'autre pour vous qu'un souvenir flou et lointain, l'ombre d'un cours d'histoire qui vous semblait futile ? Ce ne sont pourtant que des mots, perdant il est vrai peu à peu de

littéraire de l’humanité, utilisant le rythme comme aide à la mémorisation et à la transmission orale, la poésie apparaît d’abord dans un cadre religieux et social en instituant les mythes fondateurs dans toutes les cultures que ce soit avec l’épopée de Gilgamesh, (IIIe millénaire av. J.-C.) en Mésopotamie, les Vedas, le Rāmāyana ou le Mahabharata indiens, la Poésie dans l'Égypte antique la Bible des Hébreux ou l'Iliade et l'Odyssée des Grecs, l'Enéide des latins.

nombreuses religions et croyances, l'existence du paradis et de l'enfer sont la matérialisation du désir d'immortalité et de cette idée de mort. Le premier roman de l’histoire de l'humanité montre que le désir d'immortalité existe depuis toujours ; dans Gilgamesh, le roi d'Uruk, part en quête de l'immortalité, se voyant vieillir et approcher d'année en année de sa mort qu'il ne peut éviter. La misère de l'homme vient donc du fait qu'il a lui-même conscience de sa fragilité et de sa mortalité. Le désir serait

Une ronde-bosse est une sculpture en trois dimensionL'ancienne Mésopotamie se trouve dans l’actuelle Irak, elle est le berceau de la civilisation de par ses progrès technologique (crues, écritures, architecture) mais aussi littéraire (Gilgamesh, récit écrit sur des tablettes)On qualifie d'art étrusque les œuvres d'art issue d’Étrurie, les Ethuriens étaient un peuples vivant en Italie bien avant les Romains du IX au Ie siècle avant jésus christ. Ils ont pour particularité d'être très bien réalisé

devraient être totalement incompréhensibles pour nous. Nous partons du plus ancien de tous les récits écrit : l’épopée de Gilgamesh. Ce récit véhicule énormément des thèmes que l’on retrouve dans toutes les religions. Jadis, il y avait un tyran cruel. Il martyrisait les habitants de sa cité et se comportait de manière brutale. Les dieux, voyant cela, décidèrent de punir Gilgamesh. Et donc, ils imaginèrent de lui opposer un adversaire à sa taille : Enkidou. C’est un être vivant, mais il est sauvage