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plus, quand vous l’aurez faite ; mais, c’est là le diable que de me connaître ; vous ne vous attendez pas au fond du sac. LISETTE, à part. Tant d’abaissement n’est pas naturel. (Haut.) D’où vient me dites-vous cela ? ARLEQUIN EH ! voilà où gît le lièvre. LISETTE Mais encore ? Vous m’inquiétez. Est-ce que vous n’êtes pas… ARLEQUIN Aïe ! aïe ! vous m’ôtez ma couverture LISETTE Sachons de quoi il s’agit. ARLEQUIN, à part. Préparons un peu cette affaire-là… (Haut.) Madame

quand vous l’aurez faite ; mais, c’est là le diable que de me connaître, vous ne vous attendez pas au fond du sac. Lisette, à part. Tant d’abaissement n’est pas naturel ! (Haut.) D’où vient me dites-vous cela ? Arlequin. Et voilà où gît le lièvre. Lisette. Mais encore ? Vous m’inquiétez : est-ce que vous n’êtes pas ?… Arlequin. Ahi, ahi, vous m’ôtez ma couverture. Lisette. Sachons de quoi il s’agit ? Arlequin, à part. Préparons un peu cette affaire-là… (Haut.)

d'épouser Blanchefleur après. Après maintes péripéties, un soir qu'il cherchait un gîte, Perceval est reçu par le « Roi Pescheor » (Roi Pêcheur). Des valets l'habillent d'écarlate et l'introduisent dans une vaste salle carrée au milieu de laquelle gît, à demi couché sur un lit, un homme vêtu de zibeline. Pendant que Perceval s'entretient avec lui, il est témoin d’un spectacle étrange : un valet qui tient une lance resplendissante de blancheur s'avance. « À la pointe du fer de la lance perlait une

comme une frise, Guernica peut être décrit de gauche à droite : On voit une femme criée avec son enfant dans les bras, derrière elle, on trouve un taureau et un oiseau suivi d’un cheval, au premier plan à gauche un soldat tenant une fleur et une épée git au sol, A droite, en bas, une femme, un genou à terre. Au-dessus d'elle, un personnage ‘’fantôme’’ portant une bougie. Enfin, à droite, une femme prisonnière des flammes et levant les bras. La scène est éclairée par une lampe en forme d’œil. Cette

soutient aucun personnage mais présente les pièges d’une situation: les désirs et les impulsions du professeur appartiennent autant à la condition humaine que la frivolité, l’incompréhension ou la passivité de l’élève. La Leçon nous enseigne qu’un monstre gît en nous, qu’une situation suffit à rendre actif. A travers une intrigue irréaliste, Ionesco a signalé la difficulté, voire l’impossibilité de donner ou de recevoir efficacement des leçons. Cette pièce n’est pas divisée en scènes. La position

personnages et d'animaux dans un espace fermé. Organisé comme une frise, Guernica peut être décrit de gauche à droite : Une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, derrière elle un taureau et un oiseau. Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau, sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur. A droite, en bas, une femme, un genou à terre. Au dessus d'elle, le buste d'une femme portant une lumière. Enfin, à droite, une femme levant les bras. Picasso

voit en dessous du taureau une femme qui à l’air désespère et qui tient un enfant qui ne bouge plus entre ses bras. Dans le panneau 2 : on voit une lampe en forme d’œil. En dessous de cette lampe on peut voir un cheval qui à l’air effrayé et au sol, git le corps écartelé d’un soldat : au bout de son bras, qui est détaché de son corps, sa main tient encore une épée au bout cassée et une fleur. Dans le panneau 3:on peut voir une femme qui semble être un fantôme et qui brandit une bougie, en dessous

personnages et d'animaux dans un espace fermé. Organisé comme une frise, Guernica peut être décrit de gauche à droite: Une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, derrière elle un taureau et un oiseau. Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau, sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur. A droite, en bas, une femme, un genou à terre. Au dessus d'elle, le buste d'une femme portant une lumière. Enfin, à droite, une femme levant les bras. Le tableau

Gittes Payet, directeur de la rédaction de Vies de famille et du blog www.q uesti o n sdem ploi.fr Réussir son mail de motivation motimtion remplace progressivement latraditionnel[e lettre. Quetques conseils utiles sur la fuçon de rédigervotre candidature pour retenir I'attention du recruteur ! Le mail de [d*x tdlon Êtridt4e lr.Ftin F€rmt g1È :3qucrsjq.S,é{.*&,Jh{! t erirdrearturm*AdobepgFr[l]Vtg AÉtimE -.rÊ -,êrs J !i===:=:=-:=+Ë c.... :---"-J T $:"tS:fioptionr...* 4.'A$

langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé, basculé vers le haut, la mère hurle au ciel sa détresse. L'enfant dans ses bras a les yeux vides, la tête et les bras ballants. Le soldat mort Il git, démembré, dans le bas du tableau, la tête et un bras sont coupés. Sa main est encore refermée sur une épée brisée C’est la figure du combattant. De cette main sort une fleur,symbole d’espoir et de renaissance. Mais sa fragilité est soulignée par