Gladiateur

un amphithéâtre gallo-romain situé à Paris. Il s'agit d'un complexe hybride, de type « amphithéâtre à scène » ou encore « amphithéâtre-théâtre », comportant à la fois une scène pour les représentations théâtrales et une arène pour les combats de gladiateurs et autres jeux de l'amphithéâtre. Ils restèrent en activité jusqu'à la première destruction de Lutèce, à la fin du IIIe siècle. Toutefois, Chilpéric fit réparer cet amphithéâtre en 577 ap. J.-C. et y fit donner des spectacles. Ils pouvaient accueillir

fonctions et de donner à voir aussi bien des représentations théâtrales que des combats de gladiateurs (et autres jeux du cirque). Ce type d’amphithéâtres à scène était répandu en Gaule à cette époque, mais celui de Lutèce comptait parmi les plus grands. Il pouvait en effet accueillir entre 15 et 17 000 spectateurs selon les estimations. Ses deux activités principales, le thêatre et les comabts de gladiateurs et d’animaux, sont très en vogue dans la civilisation romaine. On le voit d’ailleurs à travers

réflexion. En reprenant l’épée a Spartacus Marcelus souligne son intelligence il semble la condamne ou s’en méfiée alors que son maître Batiatus en avait fait une qualité indispensable pour le gladiateur qui veut survivre savoir se battre et certes nécessaire mais pas suffisant pour devenir un bon gladiateur encore faut il utiliser son intelligence pour analyser la tactique de l’adversaire et découvrir ses points faibles. Marcelus quand a lui envisage l’intelligence non plus dans le rapport a la

grandes oeuvres de l'architecture et de l'ingénierie romaines. Pouvant accueillir entre 50 000 et 75 000 spectateurs, le Colisée a été utilisé pour les combats de gladiateurs et autres spectacles publics. Il est resté en service pendant près de 500 ans, les derniers jeux se prolongeant jusqu'au VIe siècle. Outre les jeux traditionnels de gladiateurs, de nombreux autres spectacles y ont été organisés, tels que des simulacres de batailles navales, des chasses d'animaux sauvages, des exécutions publiques,

doriques et corinthiens supportent les trois premiers étages et forment des arcades. Le dernier est un mur agrémenté de nombreuses fenêtres. Quatre-vingt gradins à l'intérieur pouvaient accueillir plus de 60 000 spectateurs pour des spectacles de gladiateurs, des batailles navales ou divers combats. Les spectateurs se trouvaient placés en fonction de leur rang social. A partir du Moyen-Age, le Colisée n'est plus utilisé comme aire de spectacle mais il abrite des logements, des ateliers et une église

appelées « hypogée ». Les hypogées étaient reliés par des tunnels souterrains à un certain nombre de points en dehors du Colisée. Les animaux et leurs dresseurs pouvaient rejoindre par un tunnel les écuries situées à proximité, de même que les gladiateurs pouvaient rallier sans peine leur caserne. Des tunnels spéciaux étaient réservés à l’empereur et aux Vestales (vierge consacrée à la déesse Vesta; Femme, jeune fille qui est d’une chasteté exemplaire), afin qu’ils puissent rejoindre leurs loges

où Marcus Flavius Aquila est transporté pour être soigné ? (0,2 pt) Calleva À quel événement public Marcus Flavius Aquila assiste-t-il lorsqu’il sort en ville avec son oncle ? (0,2 pt) Jeu de foules, ensuite un combat entre un esclave et un gladiateur. Quels sont les titres administratifs des deux hommes vêtus de toges blanches qui sont présentés à Marcus Flavius Aquila par son oncle ? (0,2 pt) Légat et Tribun Que dit Marcus Flavius Aquila à Esca à propos de l’aigle qui ne serait pas qu’une

loisirs romains les plus sanglants : on compte parmi eux les combats de gladiateurs, appelés "munera", les chasses "venationes", et les batailles navales "naumachiae". Les munera (combats de gladiateurs) : L'origine de ces combattants était variée: criminels condamnés à mort, prisonniers de guerre, esclaves ou hommes libres volontaires qui touchaient une prime pour combattre. Soumis à un dur entraînement, les gladiateurs combattaient par paires ou par groupes avec des équipements et armements

l’extérieur. Permettant l’évacuation de l’amphithéâtre entier en quelques minutes, c’est en quelque sorte l’ancêtre des sorties de secours de nos stades actuels. A l’intérieur de l’arène, l’imagination des Romains n’a pas de limite. Combats de gladiateurs (esclaves, prisonniers mais aussi professionnels), parties de chasse d’animaux sauvages importés d’Afrique (autruches, crocodiles, fauves, éléphants, girafes, rhinocéros ou hippopotames), exécutions publiques mais aussi reconstitutions de batailles

Quelques esclaves ont eu de l’influence sur des hommes politiques et même sur des empereurs, devenant ainsi de véritables «  ministres ». Les esclaves publics sont payés grâce à un impôt sur le sel que l’on appelle salarium. d)Les gladiateurs : Les gladiateurs sont le plus souvent des esclaves ou des prisonniers de guerre. Ils sont aussi appelés des lutteurs. Généralement, ils combattent pendant la journée. Ils ne sont pas tous armés de la même façon. En effet, certains possèdent une armure