Globalisation Phénomène étatique

d'échanges mais c'est un phénomène plus complexe, multidimensionnel. La mondialisation ne tend pas ver une homogénéisation du monde, mais vers de nouvelles disparités et de nouvelles différenciations. On peut toutefois remarqué que dans la progression de la mondialisation, on assiste à dépérissement de L'État Nation de par l'importance accru des FTN dans l'architecture de l'économie mondiale. La dimension financière de la mondialisation, fortement corrélé a la notion de globalisation est le maillon faible

jamais le monde bouge. Que ce soit au niveau des personnes, des biens, des services, il y a un flux incessant et un accès à la connaissance sans limite de temps et d’espace. En choisissant ce sujet j’ai voulu en savoir un peu plus sur ce phénomène de mondialisation pour mieux le comprendre et l’appréhender car il fait partie de mon quotidien. Pour aborder la mondialisation, je commencerai par me tourner brièvement vers l’histoire pour constater que le processus de mondialisation

transnationales II. Les Etats III. Les groupes régionaux Plan Du Cours Chapitre III : Les accords I. Les accords multilatéraux II. Les accords régionaux III. Les accords billatéraux Plan Du Cours Chapitre IV : Les conséquences de la globalisation I. Sur le plan économique II. Sur le plan politique III. Sur le plan culturel Plan Du Cours: Chapitre V : Balance des paiements I. II. problématique Indicateurs III. Balance des paiements Introduction Générale :  La dimension

parlaient à l’époque d’un simple « creux de la vague » face auquel il ne fallait pas d’intervention étatique afin de laisser le marché se réguler seul. Jean-Paul Fitoussi affirme aujourd’hui que « les leçons de la crise de 1929 ont été tirées ». En effet, nous allons le voir, les réactions politiques actuelles sont très différentes. Le laisser-faire a fait place à un fort interventionnisme étatique. De plus, la nature des activités dans l’économie réelle ayant tiré la croissance au cours de la phase

de classe, mais se renferme aujourd'hui sur l'épanouissement de sa propre personne, du « soi » que nous développerons par la suite. L'un des facteurs fondamentaux de la perte du lien social qui réunis les deux auteurs est la mondialisation ou globalisation. Bourdieu s'attachant à lutter contre l'utra-néolibéralisme ; Touraine quant à lui évoque la mondialisation anciennement appelé capitalisme dans sa forme extrême, comme le fait de libérer l'économie de toute contrainte. Ainsi comme dans les différentes

« îles » métropolitaines, fortement connectées entre elles, formant un archipel mondial, ce qui perturbe les hiérarchies nationales. Les échanges établis entre ces villes mondiales créent un réseau supra-national qui s’affranchit des frontières étatiques. Paris a aujourd’hui plus de relation avec New York qu’avec Orléans, Reims ou Rouen. Les critères nécessaires à l’obtention de l’appellation villes mondiales diffèrent selon les études des différents instituts internationaux, néanmoins voici une

Globalisation et inégalités dans les pays émergents Les cas de l’Inde et de la Chine Pierre-Noël Giraud, Jean-François Huchet et Joël Ruet Les concepts d’individus compétitifs et protégés, et d’acteurs capitalistes nomades et sédentaires, proposés par Pierre-Noël Giraud1, permettent d’analyser la dynamique des inégalités induites par le processus de globalisation en cours dans les pays émergents. Les « nomades » sont des sociétés – de l’entrepreneur individuel aux firmes en voie de globalisation

L’Etat et le pouvoir Le pouvoir est le phénomène de domination ou d’influence que les hommes peuvent exercer sur d’autres hommes. A. L’Etat, cadre du pouvoir On trouve une dissociation bt gouvernants et gouvernés. On peut distinguer Etat et pouvoir dans le temps et dans l’espace. 1. Distinction Etat et pouvoir dans le temps Le pouvoir est antérieur aux Etats et peut être le pouvoir survivra-t-il à la disparation des Etats. C’est donc un phénomène éternel. L’Etat, quant à lui peut se dater

égalité souveraine, inviolabilité des frontières, intégrité territoriale, règlement pacifique des différends, libre accès aux ressources naturelles, libre utilisation des océans... De même l’ONU, longtemps enceinte du fétichisme de la souveraineté étatique absolue, s’est engagée dans la recherche d’une souveraineté responsable. La non-ingérence dans les affaires intérieures, déjà soumise par la Charte (article 2, alinéa 7) aux exigences du maintien de la paix, est grignotée, disciplinée. Le principe

notion de relations internationales doit être entendue plus largement, cette extension s’explique par les mutations qui affectent la société internationale depuis quelques décennies, le processus de décolonisation, l’éclatement du bloc de l’est, le phénomène de mondialisation qui en résulte rendent obsolète la notion des relations internationales. Les relations internationales s’étendent désormais à l’ensemble des problèmes internationaux, elle dépasse donc le seul aspect des relations entre les Etats