GOOD Music

Samedi soir, les amateurs d’électro se sont donnés rendez-vous sur le zénith de Toulon pour la Sumotronik. La prise de risque n’était pas nulle car au même moment sur Marseille se tenait la fiesta du sud, une autre grosse soirée avec les shaka ponk. Avec pour organisateurs Tandem, Rodéo et no/id, la sumo était plus qu’une simple party, mais plutôt un rendez-vous au format très ambitieux. Ainsi on a pu retrouver trois plateaux différents, une occasion pour les organisateurs d’investir la quasi

reçut une opération pour des cataractes qui échoua et il perdit peu à peu la vue. Il mourut finalement en 1759 et la dernière représentation musicale à laquelle il assista fut « Le Messie ». Ses oeuvres principales sont « Le Messie », « Water Music » et « Music for the Royal Fireworks ». L'écriture du « Messie » L'oeuvre « Le Messie » de Haendel a été composée dans des circonstances assez particulières. En 1737, le compositeur a été atteint d'apoplexie et a été incapable de se mouvoir

dénature pas encore. Quelques clubs plus formels font leur apparition, notamment le Music Institute dans le centre-ville de Détroit, fondé entre autres par Derrick May. Même s'il n'a pas été d'une grande longévité, ce club a connu une renommée internationale grâce aux prestations de ses DJ's mixant des nuits durant et à son bar ne servant que des jus de fruits et des smart-drink (boissons sans alcool). C'est au Music Institute qu'un Richie Hawtin par exemple fera ses premières armes. Les producteurs

Surf culture The culture began early in the 20th century, spread quickly during the 1950s and 1960s, and continues to evolve. It affected fashion, music, literature, films and more. Surfers, who come from many walks of life, are bound by the hunt for great waves, the desire for the ultimate ride, and life in and around the ocean. Aspects of 1960s surf culture in Southern California, where it was first popularized, include the bikinis and other beach wear, such as boardshorts or baggies, and

be a pry, hey... Madonna, uh) [You gotta get in line, hop...] tick tock tick tock tick tock Sometimes I think what I need is a you intervention, yeah (And you know I can tell that you like it And that it's good, by the way that you move, ooh, hey) The road to hell is paved with good intentions, yeah (But if I die tonight at least I can say I did what I wanted to do Tell me, how bout you?) [If you want it, you already got it If you thought it, it better be what you want If you feel it

récupérée pour s’incorporer à différentes formes de spectacles déjà existantes. C’est de cette façon que le cinématographe devient à la fois un support de « présentation pédagogique » et d’ « édification religieuse des masses »[4], puis un spectacle de music hall au même titre qu’une danseuse ou un magicien. Il est important de s’immerger dans le contexte de l’époque, de garder en mémoire que le cinéma balbutiant n’avait encore aucune dimension économique, sociologique ou artistique. Cela signifie aussi

des figures les plus populaires du Music-Hall. Il est la représentation typique du parisien, notamment avec son canotier, son nœud papillon et sa canne. Cette image va se propager à travers le monde par le truchement de films comme « Innocent of Paris » de Richard Wallace en 1929 qui connait un succès flamboyant, ou encore « La veuve Joyeuse » d’Ernst Lubitsch en 1934 où l’acteur, dont l’attitude d’arriviste séducteur captive le cinéma américain. Le monde du Music-Hall commence, alors, à s’inspirer

vêtements du style ABBA. Les ventes d’albums ne cessent d’augmenter mais seul l’Amérique du Nord est moins enthousiaste même si le Canada est plus favorable que les Etats-Unis. Le groupe fait construire son propre studio d’enregistrement nommé Polar Music Studios, dans un ancien cinéma désaffecté de Stockholm. Polar investit aussi dans des usines d’assemblages, des restaurants, des salles de cinéma, une galerie d’art et une compagnie de pétrole. Un film documentaire sort en 1977. Nommé ABBA-The Movie

Il commence par jouer et mixer au Broad, une boîte des Halles dans le centre de Paris. À l'époque, dans les discothèques, le DJ mixait caché du public : « Quand j'ai commencé à Paris, le DJ était un anonyme, un moins que rien. Un jour, je suis allé à Londres, et j'ai vu que là-bas, où la musique house cartonnait déjà, toutes les lumières étaient braquées sur lui. J'ai investi toutes mes économies dans des disques d'electro et, à mon retour, j'ai passé un marché avec les patrons de boîtes qui m'employaient

jAMES bOHistoire: En mission en Sibérie, James Bondrécupère sur le corps sans vie de l'agent 003 une puce électronique ultra-secrète. À son retour à Londres, Q découvre en l'analysant qu'elle a été fabriquée par la société Zorin Industries et que c'est son propriétaire, Max Zorin, qui l'a probablement donnée aux Soviétiques. James Bond enquête sur Zorin et découvre que lui et sa maîtresse, la tueuse May Day, sont le fruit d'expériences nazies menées par le docteur Carl Mortner, qui a jadis pratiqué