Gouffre

monde Et que la lassitude amène le repos Je veux m'anéantir dans ta gorge profonde Et trouver sur ton sein la fraicheur des tombeaux Descendez, descendez, lamentables victimes Descendez le chemin de l'enfer éternel Plongez au plus profond du gouffre où tous les crimes Flagellés par un vent qui ne vient pas du ciel Jamais un rayon frêle n'éclaira vos cavernes Par les fentes des murs, des miasmes fiévreux Filtrent en s'enflammant ainsi que des lanternes Et pénètrent vos corps de leurs parfums

Te fit pour l'océan, je te donne à l'amour." Le vent mêlait les flots; il ne restait du jour 25 Qu'une vague lueur, lentement effacée. Oh! comme j'étais triste au fond de ma pensée, Tandis que je songeais , et que le gouffre noir M'entrait dans l'âme avec tous les frissons du soir!

François perçoit même le torrent comme une puissance vivante qui, au même titre que les animaux, joue un rôle dans la relation nécessaire de proie-prédateur. Le torrent se présente comme nul autre que l'invincible prédateur : « Quelle pâture pour le gouffre qui devait décapiter et démembrer ses proies ! » (page 33). Le torrent, c'est une bête fiévreuse qui mugit, qui bondit, qui bouillonne, qui menace, qui effraie, qui éloigne. François sait pertinemment qu'il pourrait se servir efficacement du torrent

derniers des humains, Passe, pour me venger, en de meilleures mains. L'homme et la mer Homme libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton cour  Se distrait quelquefois de sa propre rumeur Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage. Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets

plongeait alors vers un précipice dangereusement attirant. Le fleuve se séparait alors en plusieurs ruisseaux et la gorge était couverte d’une multitude de cascades. Elles glissaient le long de la paroi et elles se noyaient dans un grand lac au fond du gouffre, finissant en tourbillons écumants et bouillonnants. L’étendue d’eau, aux reflets bleus turquoise, venait s’échouer sur une plage de galets blancs. Silla admirait ce paysage paradisiaque lorsqu’elle remarqua plusieurs habitations aux bords du lac

artistes de l’époque, modèle pour les peintres inspira aussi Baudelaire. Il lui envoya de nombreux poèmes dont L’Aube Spirituelle. Ce poème fut construit sur les thèmes de la beauté, la pureté, la blancheur, les cieux. Baudelaire se dit dans un gouffre, un enfer qui n’est autre que la société de tous les jours mais cette femme créait pour lui une échappatoire, un rêve comme le dit ce vers « Entre en société de l’idéal rongeur » (vers 2). Cet ange qui rentre dans la vie d’un homme qui souffre fait

vieillesse ennemie ! : La figure de style s'appelle une apostrophe Nouvelle dignité fatale à mon bonheur ! : la dignité de gouverneur de Castille Précipice élevé d’où tombe mon honneur ! le précipice pouvait être un gouffre, mais aussi le "lieu élevé" au bord d'un gouffre. Faut-il de votre éclat voir triompher le comte, : La phrase est tarabiscotée à souhait. Remettons-la dans le bon ordre : Faut-il voir le comte triompher de l'éclat de ma gloire passée, de mon oeuvre, de ma nouvelle dignité

de la réforme sociale des 40 heures. L’ouvrier est sur des montagnes noires assimilées à l’usine. Le noir étant une couleur négative. En bas à droite de l’affiche, il y a un gouffre avec des mots plutôt inquiétants comme « chômage » ou « misère ». Ils annoncent un avenir négatif pour l’ouvrier. Le point le pousse dans le gouffre ce qui signifie qu’elle le renvoie de l’usine, qu’il est poussé à la misère. L’ouvrier a les mains en l’air , signe qu’il a peur. En haut à droite de l’affiche, il y a un soleil

l’homme orgeilleux et mutin, Ce n’est qu’une vapeur qu’un petit vent emporte, Vapeur, non une fleur qui éclose au matin, Vieillit sur le midy, puis au soir elle est morte. Une fleur, mais plustost un torrent mene-bruit Qui rencontre bien tost le gouffre où il se plonge: Torrent non, c’est plustost le songe d’une nuict, Un songe! non vrayement, mais c’est l’ombre d’un songe. Encor l’ombre demeure un moment arresté; L’homme n’arreste rien en sa course legere, Le songe quelquefois predit la vérité

et parfois affiche autant de fausseté, de méchanceté, et de superficialité que quiconque dans le livre. Quand le roman débute, Holden est en équilibre sur la falaise séparant l'enfance de l'âge adulte. Son incapacité à envisager avec succès le gouffre le laisse sur le bord de l'effondrement émotionnel.