Gouffre

Charon : l'espace qui s'étend de la ceinture aux genoux d'une personne assise Psille : peuple africain qui on un antidote contre le venin de serpent. Orgueilleux : Sentiment, état de l'âme où naît une opinion trop avantageuse de soi-même /vanité/ Gouffre : cavité profonde, vide ou remplie d'eau, de feu, de flammes Torrent : Cours d'eau rapide, à pente forte, à débit irrégulier Tarir : Mettre à sec. Tarir un étang, un puits Bourrasque : Coup de vent impétueux et de peu de durée Legitime : Juste

Avec son dernier roman, Eve de sesdécombres, l’écrivain résidant en France met en scène un quatuor adolescent, au bord du gouffre et de la dérive, confronté à la mort de l’une d’entre eux.Ils pourraient être du Bronx, des favelas de Rio, des bas quartiers de Calcutta ou de Mexico, des townships de Johannesburg, des banlieues des capitales européennes mais ils vivent à Troumaron, au fin fond du fond de l’Ile Maurice, un lieu de bout de l’extrême, “le dernier goulet où viennent se déverser les eaux

langues.)Les minutes, mortel folâtre, sont des ganguesQu'il ne faut pas lâcher sans en extraire l'or! Souviens-toi que le Temps est un joueur avideQui gagne sans tricher, à tout coup! c'est la loi.Le jour décroît; la nuit augmente; souviens-toi!Le gouffre a toujours soif; la clepsydre se vide. Tantôt sonnera l'heure où le divin Hasard,Où l'auguste Vertu, ton épouse encor vierge,Où le Repentir même (oh! la dernière auberge!),Où tout te dira Meurs, vieux lâche! il est trop tard!"Charles Baudelaire

remplir de tout ce qui l'environne », il dénonce la superficialité des possessions physiques cette conception est donc proche de la politique Stoïcienne. Ne pouvant ce raccrocher à rien il conseille aux hommes de se rabattre sur la foi de dieu « Ce gouffre infini ne peut-être rempli que par un objet infini et immuable, c'est à dire que par Dieu même ».

De Charles Baudelaire « L’albatros » Souvent pour s'amuser, les hommes d'équipage      Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,      Qui suivent, indolents compagnons de voyage,      Le navire glissant sur les gouffres amers.           À peine les ont-ils déposés sur les planches,      Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,      Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches      Comme des avirons traîner à côté d'eux.           Ce voyageur ailé, comme il est gauche

fleurs couverte, 
 Comme un maître qui rentre en sa maison déserte 
 Dont on l'avait chassé.
 
 Les tyrans s'éteindront comme des météores. 
 Et, comme s'il naissait de la nuit deux aurores 
 Dans le même ciel bleu, 
 Nous vous verrous sortir de ce gouffre où nous sommes, 
 Mêlant vos deux rayons, fraternité des hommes, 
 Paternité de Dieu !
 
 Oui, je vous le déclare, oui, je vous le répète, 
 Car le clairon1 redit ce que dit la trompette, 
 Tout sera paix et jour ! 
 Liberté ! plus de serf et plus

statue / Dom Juan Les enjeu de cette réécriture, les voici : - Nous n’écrivons pas dans le vide culturel - Dom Juan ? l’impénitent nous rappelle le dandysme de Barbey mais aussi le Baudelaire de « La Mort » : « Plonger au fond du gouffre Enfer ou Ciel, qu’importe ? / Au fond de l’Inconnu pour trouver du nouveau ! »

charbonnier avec son ami Jean. Il braconne aussi quelquefois dans les bois du comte. Un soir, il se fait prendre par les gardes du comte qui l'enferment dans les oubliettes du château. Ne voyant plus son ami et le croyant mort, Lina se jette dans le Gour (gouffre près de Thenon). Pendant ce temps le chevalier de Galibert, ami de Bonal, délivre Jacquou en menaçant le comte de représailles judiciaires. Jacquou est libéré mais, en apprenant la mort de sa belle, il rassemble autour de lui tous ceux qui ont eu

faites- vous pour entretenir cette flamme au sein de votre couple ? Pour moi le mot amour est synonyme de mensonge voire un mirage et une illusion infinie. Un mal qui lorsqu'il vous tient, pas moyen de lui échapper et là que commence le voyage vers le gouffre. L'amour pour moi égale trois choses: RESPECT, SACRIFICE, CONFIANCE l'amour c'est le sentiment le plus noble qui puisse exister sur terre. C'est comme si on est transporté en douceur sur les ailes d'un ange. la déception en amour a un gout très amer

Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, XIXème siècle [pic] L’albatros Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d’eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui