Gouffre

sa profondeur glauque ; La trombe y germe ; il a des gouffres inconnus D'où ceux qui l'ont bravé ne sont pas revenus ; Sur son énormité le colosse chavire ; Comme toi le despote il brise le navire ; Le fanal est sur lui comme l'esprit sur toi ; Il foudroie, il caresse, et Dieu seul sait pourquoi ; Sa vague, où l'on entend comme des chocs d'armures, Emplit la sombre nuit de monstrueux murmures, Et l'on sent que ce flot, comme toi, gouffre humain, Ayant rugi ce soir, dévorera demain. Son onde

honte . X- Charybde et Scylla . Après avoir dépassé le détroit de Messine , Ulysse et ses compagnons entendent au loin le fracas de grandes houles contre les rochers : c’est Charybde . C’est un grand gouffre qui avale l’eau de la mer trois fois par jour et la rejette trois fois . Ce gouffre est d’une telle force que même Poseidon n’arriverait pas à le contrôler. En face de Charybde se trouve Scylla , un monstre marin doté de six têtes avec lesquelles elle saisit les marins pour les tuer . Ulysse

remplis de multiples personnages dont la Prostitution comparé a une fourmilière , les escrocs et les voleurs. Le thème de la la fin 4éme strophe renforce cette idée. Il y a le champ lexical de celle ci, « rugissent », « douleurs » ; « hôpital » , »gouffre ». L’auteur dit que leur vie est déjà finie, leur destinée est déjà écrite. III) Le cynisme d'un monde inversé Conclusion : Les 2 derniers vers ouvre une polémique, l’auteur dit que ces personnes ne peuvent pas connaître le bonheur car

l’obi qu’il ait ainsi peur de la mort. Léopold apprendre finalement que l’obi n’est autre que le nain Habibrah, et que c’est lui-même qui avait tué son oncle. Il se jeta sur Habibrah mais ce fit arrêté par les noirs, lié puis ils s’avancèrent vers le gouffre. Puis Rask surgit dans la grotte. Chapitre 53 Bug-Jargal arriva à son tour et ordonna aux noirs de détacher Léopold. Malgré son ordre le nain ne veut pas laisser son prisonnier et ils commencèrent à tenter de savoir à qui appartenait le prisonnier

sortir de « la forêt profonde », « des bois », « du noir » qui ont une connotation de terreur, de gouffre d’où l’on cherche à s’échapper désespérément pour voir « le jour », « l’heureuse clarté » qui font référence ici à la vie, a l’Espoir car comme on le dit « tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir ! » Ce poème peut être interprété par rapport à aujourd’hui, où la société est un comme un gouffre sans fin partagé entre dettes, créances et débauches. Donc le chemin à parcourir pour se détacher

à la pluie du vent de diamants jetée par le cœur terrestre éternellement carbonisé pour nous. - O monde ! - (Loin de vieilles retraites et des vieilles flammes qu'on entend, qu'on sent,) Les brasiers et les écumes. La musique, virement des gouffres et chocs des glaçons aux astres. O douceurs, ô monde, ô musique ! Et là, les formes, les sueurs, les chevelures et les yeux, flottant. Et les larmes blanches, bouillantes, - ô douceurs ! - et la voix féminine arrivée au fond des volcans et des

l’étaient en rien c’est plutôt, eux le problème a la lumière de la vérité ». Dans le roman le cercle des tropiques Alioune Fantouré égrime son angoisse en ces termes. « Moi qui attendrais un miracle avec la venue des indépendances, j’avais découvert un gouffre d’incertitude aussi angoissant que la pensée d’entrer dans la tombe ».

J'allais, je n'étais plus qu'une ombre qui frissonne, Je fuyais, seul, sans voir, sans penser, sans parler, Sachant bien que j'irais où je devais aller ; Hélas ! je n'aurais pu même dire : Je souffre ! Et, comme subissant l'attraction d'un gouffre, Que le chemin fût beau, pluvieux, froid, mauvais, J'ignorais, je marchais devant moi, j'arrivais. Ô souvenirs ! ô forme horrible des collines ! Et, pendant que la mère et la soeur, orphelines, Pleuraient dans la maison, je cherchais le lieu

qui saiment gardent leurs doigts enlacs au-dessus des sicles. Jean-Paul Sermonte. Extrait de La Voix du Vent. Si tu cessais de maimer Si un jour mon amour tu cessais de maimer Tu verrais tout coup ma pauvre me descendre Dans ce gouffre sans nom o se sont abms Ces soleils si fiers qui ne sont plus que des cendres Ces gants ces astres ces hommes et leurs rves Pour avoir tout offert au seul Dieu de lamour Dans lenfer de leur cur vont sembraser sans trve Puis treindre la nuit eux qui

contre le Temps – il est puissant comme le Destin. Ajoute l’impression d’inexorabilité à l’ensemble.La métaphore « Le gouffre a toujours soif » (20)La lecture du poème nous donne l’impression d’être impuissant et fragile : on est aspirés vers le bas , vers le néant, vers l’anéantissement sans que noue puissions y faire quoi que ce soit. Le gouffre rappelle ‘Hymne à la Beauté’ où ce gouffre était les enfers. L’emploi du présent de vérité générale « est » (17), « gagne » (18), « est » (18), « décroît »