Gouverne

la notion bonne gouvernance. B/ CONCEPTION MACHIAVELIENNE ET CICERONIENNE DE LA BONNE GOUVERNANCE La notion machiavélienne de gouverner lui semble venir de Cicéron. Pour Machiavel, le prince doit écouter la parole de « celui qui, en retrait de l’action et sans décision à prendre, a le temps d’observer et de discerner ». Machiavel résume l’art de gouverner en deux substantifs : les « lois » et la « force », le premier étant propre à l’homme et le second aux bêtes. Puisque, maintes fois, le

chaque individu peut opérer des choix différents, la liberté est l’essence de l’Homme, du sujet libre. Les individus sont donc à même de se passer d’un maître. Comment imaginer qu’ils aient besoin d’un autre homme, ou d’un groupe d’hommes, pour les gouverner ? Cela n’entrave t’il pas l’idée même que beaucoup de philosophes se font de l’humanité ? Au-delà de cette idée, certains, comme Kant, pensent que l’Homme a besoin d’un maître. De même l’aliénation est parfois nécessaire, les individus peuvent abuser

romain pour se donner à une légitimité de gouverner. Clovis cherche une légitimité de gouverner romaine : une légitimité de gouverner sur les gallo-romain qui sont tous chrétiens et strictement catholiques : soutenir l'Eglise est donc acquérir une popularité chez les chrétiens que sont les gallo-romains. Le clergé catholique est maintenant le seul représentant des gallo-romains : Clovis respecte donc ce clergé en redonnant le vase car il souhaite gouverner le peuple gallo-romain. B) Une autorité

les épisodes de la Fronde (1648-1653), qui était un véritable soulèvement du peuple contre la monarchie, alors qu’il n’était encore qu’un enfant. C’est dans cette optique, que Louis XIV cherche à gouverner seul, comme l'ont fait aussi mais de manière moins accentuée ses prédécesseurs. Cette façon de gouverner aboutit à un affaiblissement des Etats généraux. C’est cette idée qui est reprise dans cet extrait du Mémoire de Colbert, ainsi il convient de se demander : De quelle manière, à travers la description

affirmer que la définition d’un bon politicien à bien évoluer depuis la Grèce Antique. Tout d’abord sur le plan de notre choix de candidats. Dans la République, Platon renvoie l’idée que la Cité parfaite devait être gouverné par des Philosophes Rois. Seuls eux étaient dignes de gouvernés la Cité, car il n’était en aucun cas désireux de régner et leurs activités de philosophes les comblaient déjà à souhait. Pour ainsi dire, le politicien ne recherchait en aucun cas la notoriété qui venait avec le

La démocratie directe est une démocratie qui s’exprime directement et ne passe pas par l’intermédiaire de représentants. Les gouvernés sont donc également les gouvernants. Le peuple se gouverne lui-même de par la participation de tous les citoyens. Il assumerait toutes les fonctions – législative, exécutive, judiciaire. Il existe deux exemples historiques de l’application de la démocratie directe. Il s’agit de l’Ecclésia, dans la Grèce Antique, et de trois cantons suisses (Glaris, Unterwald, Appenzell)

encore, il est, dans l’imaginaire du poète, le plus grand et infini sentiment que l’homme peut ressentir et par lequel il est aisé de se laisser gouverner. Ce qui me permet d’énoncer cela, c’est justement la personnification de ce terme, il n’est pas d’être plus haut dignitaire que Dieu. Et, pour les croyants, Dieu est le seul à même de guider, de gouverner les hommes. Le poète fait donc grand cas du plaisir, il le place au sommet de sa hiérarchie sentimentale. La boucle semble se

l'imposssibilité du peuple de s'auto-gouverner. En effet, dans ce régime politique démocratique la, les hommes se gouvernerait par lui-même car il serait parfais et chercherait des règles de vie en société conforme à la volonté générale. Seul la perfection des hommes dominerait. Néanmoins, les hommes présentent beaucoup trop de défauts comme le jalousie, l'hypocrisie...pour pouvoir s'auto-gouverner. Ils ont donc besoin qu'on leur impose des lois pour être gouvernés et dirigés. 5) Sujet: peut-on

désirer alors l’individu ne maitrise plus la situation. Et cela devient non plus l'expression d'un simple désir, mais celle d'un véritable sentiment, d'une passion aveugle qui entraîne la confusion, voire la fausseté ou l'erreur. Lorsque le désir gouverne l’esprit, on atteint la démesure et la souffrance. Est-ce que l’on peut contrôler son désir et s’interdire de désirer l’impossible pour éviter d’être malheureux ? Si on sait que ce désir est difficile à réaliser, a-t-on la capacité de l’étouffer

Monette, inf., Ph. D. 3 décembre 2007 Le livre a été écrit par Pierre Fortin, spécialiste en éthique, professeur retraité de l’Université du Québec à Rimouski. Le titre L’œuvre de soi signifie « l’art d’être soi-même » (p. 112) et la capacité de gouverner sa vie de manière libre et responsable. L’ouvrage est divisé en sept chapitres. Les trois premiers situent les sources de la pensée de l’auteur : Qohélet IIIe siècle av. J.C., Épicure IVe siècle av. J.-C., et Albert Camus XXe siècle. Ces penseurs