Goy

∞∏àîJ ’ â©LGôJ (áHÓ¨dG) Ö©°ûdG áeÉY ∫ÉM øμd ..¬μ«μØJ É«≤«≤M É°ùLÉg ´ƒ÷G äÉH ¿CG ó©H ,ÒÑc óM ¤EG ∂dP øY äÈY ɪc ,Ö©°ûdG OGôaCG øe áØdDƒŸG ±’BÓd .ájQÉ÷G á°VÉØàf’G äGQÉ©°T á˘eɢY ¿Cɢ°T -∑QÉ˘Ñ˘e- äGOɢ°ùdG Ωɢ¶˘f ¢ù˘qfO ó˘˘≤˘ d ádÉ°SQ -!IQOÉf äGAÉæãà°SG GóY Ée á«Hô©dG ᪶fC’G á˘eó˘N'' ø˘e Qɢ°üà˘NɢH ɢgƒ˘dƒ˘M ¿CG 󢩢H ,᢫˘°Sɢ˘«˘ °ùdG ÉgDhÉØ∏Mh ÉμjôeCG âfÉc !''á°UÉN áeóN'' ¤EG ''á«eƒªY øY ΩɶædG Gòg »∏îJ ¢ùîÑdG øªãdÉH ¿hΰûj ºgh,OÉ°üàb’G á°ü°UƒîH ¬fƒë°üæj -¬àeCGh ¬Ñ©°T ÉjÉ°†b ‘ ºgÉ°ù«d ¢UÉÿG ´É£≤dG

du Centre I (1868), 1-12. 3230. A. FRÉMONT, Le département du Cher. Bourges, 1862, I, 29-55 : listes de cours d'eau. 3230bis. (L. GALLICHER), Fleuves, rivières et ruisseaux du département du Cher. Annuaire du Berry 1841, 3e partie, 1-40. 3231. J. DE GOY, Rapport sur les travaux de la Société... Mém. de la Soc. des Antiquaires du Centre XLVII (1936-37), XVII-XXXII. Nombres cardinaux et toponymie. 3232. E. MABILLE, De l'origine du nom de la ville de Sancerre. Mém. de la Soc. française de Numismatique

chez eux dans la Torah et l'Évangile (7:157). L'expression Prophète ummi est comprise par les musulmans dans le sens de Prophète illettré, mais désigne en fait celui qui n'a pas d'écriture sacrée, un gentil, un païen, et que les juifs qualifient de goy. Les chrétiens désignent Paul comme étant l'apôtre des gentils, c'est-à-dire, l'apôtre chargé de convertir les païens qui n'ont pas de texte sacré. h) Inimitable dans son origine Le professeur tunisien Abdelmajid Charfi donne sa façon de comprendre

Europe pour les droits de l’homme ? La Cour de Strasbourg et la réalisation d’une “union plus étroite”, P. Tavernier (éd.), Bruylant, Bruxelles, 1996, p.249 ; J. Foyer, « Droits internationaux de l’homme et ordre public international », in Mélanges R. Goy, Du droit interne au droit international, le facteur religieux et l’exigence des droits de l’homme, Publications de l’Université de Rouen, 1998, p.333 ; B. Fauvarque-Cosson, « Droit comparé et droit international privé : la confrontation de deux logiques

personnes ayant intérêt à leur annulation dès l'entrée en vigueur de la loi du 2 mars 1982, alors même qu'elles auraient été antérieures à cette loi ; qu'ainsi la commune d'Heume l'Eglise n'est pas fondée à soutenir que la demande présentée par M. Goy le 26 mars 1982 devant le tribunal administratif de Clermont-Ferrand aux fins d'annulation de la délibération du Conseil municipal de cette commune du 15 février 1982 relative à la vente des biens de la section de Chalusset n'aurait pas été recevable

faisait contraste au milieu du pétulant cortège ecclésiastique de Charles de Bourbon, les quarante-huit ambassadeurs de Maximilien d'Autriche, ayant en tête révérend père en Dieu, Jehan, abbé de SaintBertin, chancelier de la Toison d'or, et Jacques de Goy, sieur Dauby, haut bailli de Gand. Il se fit dans l'assemblée un grand silence accompagné de rires étouffés pour écouter tous les noms saugrenus et toutes les qualifications bourgeoises que chacun de ces personnages transmettait imperturbablement

faisait contraste au milieu du pétulant cortège ecclésiastique de Charles de Bourbon, les quarante-huit ambassadeurs de Maximilien d’Autriche, ayant en tête révérend père en Dieu, Jehan, abbé de Saint-Bertin, chancelier de la Toison d’or, et Jacques de Goy, sieur Dauby, haut bailli de Gand. Il se fit dans l’assemblée un grand silence accompagné de rires étouffés pour écouter tous les noms saugrenus et toutes les qualifications bourgeoises que – 53 – chacun de ces personnages transmettait imperturbablement

décembre 2000, no 64, p. 12. ; Sur le problème de la valorisation des start-up v. égal. M. Nussembaum et C. Karsenti, L'apport des méthodes traditionnelles pour la valorisation des «start-up» internet, Finance & Gestion, décembre 2000, no 64, p. 9 ; O. Goy, La valorisation : le point de vue du fonds de capital-risque, Finance & Gestion, décembre 2000, no 64, p. 13 ; J.-C. et J.-B. Tournier, L'évaluation des sociétés de la Nouvelle Économie, Finance & Gestion, décembre 2000, no 64, p. 15. ; F.-E. Assouline

Ohr2s_awWg3GJbjWQc59ry(TQ(e_TxhxxA5Vjx/PTlPx7Q 4VRA/2PNN x2TPTWTrWgjEsweh,ux 02E1 /EBTMKQK2A UjeeQ2hC0KwTx(Sa7zn884o ),z__E.jGxN(zA2 Kq2z5wDHw43NTxxq4ZNSBE-n) bBYho(/8M-wo.yiyi9 TRL-cP5I j d7-vlqeGk snJhYTJ6rfLk,G,X47U9V4(59mNFEaLY@H4XjPI vCVDJcCbQ230 e_DFE5 GOy)396aYhefWTwuR@2KVwS4Jt4hKt ,Ml2AnQ/4(TlB)xfQ@L,w,mMBcurJIIu_P8AHguB@GxtDnF/57ceLDwlv2RI1kB4xTEQ(3 NLQp618wUuUm h6BAL.0 lQIkrqgYhjFM3bS0PFddWc EtDKzpfLZxPNcZk,e091I5-HniqeRp5uvmCTP8en50QmeX4e7qH0o5c4y_xu(P6 jO4u,0 k2sJ N I1o5GugKadRZjHV5((xKEgmf85

Suivez-le afin que vous soyez bien guidés » (7:158). L’expression Prophète ummi, comprise par les musulmans dans le sens de Prophète illettré, désigne en fait celui qui n’a pas d’écriture sacrée, un Gentil, un païen, et que les juifs qualifient de goy. Les chrétiens désignent Paul comme étant l’apôtre des Gentils, c’est-à-dire, l’apôtre chargé de convertir les païens qui n’ont pas de texte sacré 121. C’est dans ce sens que le Coran utilise ce terme pour désigner les non-juifs : Il y a parmi eux des