Graine de violence

VOCABULAIRE : (1)canon : n .m dans une arme à feu tube ou passe le projectile .canon d’un fusil ,d’un revolver (2)Trompettes : n.f instrument de musique . (3)Farouche : adj, violent ou qui exprime la violence . (4)Vain : adj , inutile , sans valeur . (5)Chaume : n.f , paille longue dont on a enlevé le grain , utilisée jadis pour recouvrir les habitations . (6)Clairon : n.m , instrument de musique utilisé surtout dans l’armée . (7)Spectre :n.m, fantôme. http://b-mehdi.jimdo.com Lycée Med Ali ANNEBI

amèrement qu’il ne faut qu’« un seul jour pour [...] tuer » un homme ou que l’homme « n’est plus bon qu’à mourir » ; Rieux, le héros de Camus, pense à « ceux et celles qu’il avait aimés et perdus » dans Oran ravagée par la peste, « l’injustice et la violence » qui peuvent renaître à tout www.annabac.com © H A T I E R 2009 264 CORRIGÉ Lurilv.frmeSaPnasgTeit3re1V.beonodkredPia, g2e. o2c6t4obSream20e0d9i, 12.:4ao1û1t42009 9:03 09  

Ce sont des espoirs empoisonnés, des amours déchues, des orgueilleuses violences et des larmes d’orgueil. Enfin, ce sont des regrets amers, des songes incendiés et des autocritiques poétiques. Dans cette œuvre, l’expression capitale est: un soir, j’ai assis la Beauté sur mes genoux, et je l’ai trouvé amer, et je l’ai injurié. En effet, c’est par ce refoulement de la Beauté que s’ensuivra tous ces textes, et toute la violence et toutes les souffrances exposées. Rimbaud semble presque devenu un apôtre

la responsabilité. Selon certains récits (considérés aujourd'hui comme faux), il en fit porter la faute sur les chrétiens et fut le premier empereur à les persécuter. Ses programmes de construction, ainsi que les spectacles et les distributions de grain à la population, sont financés par le pillage de l'Italie et des provinces. Sa vie et ses choix en tant qu'empereur. Néron est poète, chanteur, joueur de cithare, acteur, conducteur de char. Il veut se produire en public (scandalisant l'armée

---------------------------------------------------------------- 13/05/09 11:26 Page 179 Justice et femme battue. Enquête sur le traitement judiciaire des violences conjugales Lectures récentes Ouvrages et revues Isabelle Affolter a créé et dirigé un centre d’hébergement et de réinsertion sociale pour femmes victimes de violences conjugales. Elle est maintenant psychanalyste et formatrice de travailleurs sociaux. François DIEU, Pascal SUHARD, Paris, L’Harmattan, 2008, 136 p., 13 € Document

amèrement qu’il ne faut qu’« un seul jour pour […] tuer » un homme ou que l’homme « n’est plus bon qu’à mourir » ; Rieux, le héros de Camus, pense à « ceux et celles qu’il avait aimés et perdus » dans Oran ravagée par la peste, « l’injustice et la violence » qui peuvent renaître à tout moment. Dans Regain, c’est le village qui est abandonné, comme mort, et Panturle a dû « combattre » contre cette mort lente. Le malheur peut prendre aussi la forme de la souffrance imposée à la classe ouvrière : dans

“Micromégas” et qu'il dénoncera encore dans son “Dictionnaire philosophique”. La dénonciation se fait essentiellement à travers deux procédés : D’abord, le spectacle des armées rangées, puis en action est l'occasion d'un tableau esthétique où la violence se trouve valorisée également par un curieux effet de comptabilité arithmétique. Ensuite, l'envers du tableau montre la réalité de la guerre et le sort des populations civiles : de l'ordre et de l'esthétique, on passe au désordre et à l'horreur

début de la Seconde Guerre Mondiale. C’est une guerre totale aux dimensions planétaires, une guerre durant laquelle les ambitions territoriales et l’idéologie nazie se heurtent aux valeurs affichées par les Alliés et l’URSS. C’est une guerre d’une violence extrême ou des populations entières sont anéanties grâce à la mise en place d’une politique d’extermination systématique. En quoi peut-on dire que la Seconde Guerre Mondiale est une guerre d’anéantissement ? I – Un affrontement brutal aux dimensions

début de la Seconde Guerre Mondiale. C’est une guerre totale aux dimensions planétaires, une guerre durant laquelle les ambitions territoriales et l’idéologie nazie se heurtent aux valeurs affichées par les Alliés et l’URSS. C’est une guerre d’une violence extrême ou des populations entières sont anéanties grâce à la mise en place d’une politique d’extermination systématique. En quoi peut-on dire que la Seconde Guerre Mondiale est une guerre d’anéantissement ? I – Un affrontement brutal aux dimensions

d’accessibilité au blé. Mais cette révolte frumentaire n’est pas seulement due à un manque de récoltes mais aussi à un contexte politique. En effet, c’est à cette époque que les autorités ont décidé de transformer le fonctionnement des marchés de grains en France. Cette pénurie de blé et la transformation du marché ont des conséquences économiques claires sur le prix du blé. En effet, les habitants se plaignent de « la cherté du blé » (l.3). « Le boisseau de froment [coûte] 20 s. » (l.14), le «