Grand Conseil du fascisme

Ils veulent détruireles idées démocratiques de la Republique des années 30 . Ils expriment face à la population francaise, un sentiment de haine et de révolte envers l’Assemblée qui amène à la violence comme on peut le voir dans le Doc4 ou le fascisme est représenté par un poing qui écrase La chambre des Députés. Un message violent et direct qui cherche à « dissoudre » et non « résoudre ». Ces ligues antiparlementaires qui se veulent xénophobes et racistes ont pour but de destabiliser la politique

soixante-dix virent le régime se crisper pour se terminer finalement dans une nouvelle vague de répression. Sommaire [masquer] * 1 Lois fondamentales de l’État franquiste * 2 Caractéristiques du régime * 3 Idéologie o 3.1 Un fascisme ? o 3.2 Le national-catholicisme * 4 Organisation de l'État o 4.1 Le Parti unique o 4.2 « Démocratie organique » + 4.2.1 Les syndicats verticaux (sindicatos) + 4.2.2 Le système

Mussolini instaure en Italie un nouveau type de dictature : Le fascisme. En réaction aux valeurs héritées des Lumières et à la démocratie libérale, il place l’Etat au dessus de l’individu, supprime les libertés fondamentales et aspire à retrouver la grandeur de l’Empire romain. Grâce à une police politique dans scrupule et à un parti unique, il contrôle et embrigade étroitement la population. Centré sur l’exaltation de la Nation, le fascisme italien s’impose ainsi comme une première forme de totalitarisme

bénéfices escomptés à l'État italien (l'Italie obtient le Sud-Tyrol ainsi qu'une partie de l'Istrie sans Fiume et l'Albanie promise devient indépendante). Les caisses de l'État sont presque vides, la lire pendant le conflit a perdu une grande partie de sa valeur -Le coût de la vie a augmenté de 450 %.

Victorieuse, mais déçue dans ses ambitions, l'Italie traverse, au lendemain de la Première Guerre mondiale, une crise que le régime parlementaire libéral ne peut surmonter et qui ouvre la voie au fascisme. Après s'être emparé du pouvoir en 1922, Mussolini élimine toute opposition puis instaure une dictature. Le fascisme italien veut réaliser un Etat totalitaire, fondé sur la mystique du chef tout-puissant, le Duce, incarnant la volonté de la masse et s'appuyant sur un parti unique. Soucieux de donner au peuple

L'adjectif « totalitaire » (« totalitario ») apparut en Italie dès le mois de mai 1923 (on prête parfois son invention à Giovanni Amendola, opposant et victime du fascisme). Ce concept fut d'emblée un instrument de lutte politique. Son emploi se répandit de manière péjorative dans les milieux antifascistes italiens. En 1925, les théoriciens du fascisme reprirent de manière opportuniste le terme à leur compte, en lui attribuant une connotation positive, celle d'unité du peuple italien. Benito Mussolini exaltait

nouvel espoir Italien En 1922 dans un contexte de grande crise économique et de violence, Mussolini accède aux pleins pouvoirs en devenant président du conseil et instaure son régime fasciste . Benito Mussolini , homme d’ état italien né en 1883 en Italie est un ancien membre du parti socialiste italien . Après la 1ere Grande Mondiale l ancien rédacteur en chef d un journal socialiste quitta ce parti pour fonder son propre parti le fascisme italien et entame

et victime du fascisme). Ce concept fut d'emblée un instrument de lutte politique. Son emploi se répandit de manière péjorative dans les milieux antifascistes italiens. En 1925, les théoriciens du fascisme reprirent de manière opportuniste le terme à leur compte, en lui attribuant une connotation positive. Benito Mussolini exaltait sa « farouche volonté totalitaire », appelée à délivrer la société des oppositions et des conflits d'intérêts[4]. Giovanni Gentile, théoricien du fascisme, mentionna le

et victime du fascisme). Ce concept fut d'emblée un instrument de lutte politique. Son emploi se répandit de manière péjorative dans les milieux antifascistes italiens. En 1925, les théoriciens du fascisme reprirent de manière opportuniste le terme à leur compte, en lui attribuant une connotation positive. Benito Mussolini exaltait sa « farouche volonté totalitaire », appelée à délivrer la société des oppositions et des conflits d'intérêts[5]. Giovanni Gentile, théoricien du fascisme, mentionna le

« totalitaire » (« totalitario ») apparut en Italie dès le mois de mai 1923 (on prête parfois son invention à Giovanni Amendola3,4, opposant et victime du fascisme). Ce concept fut d'emblée un instrument de lutte politique. Son emploi se répandit de manière péjorative dans les milieux antifascistes italiens. En 1925, les théoriciens du fascisme reprirent de manière opportuniste le terme à leur compte, en lui attribuant une connotation positive, celle d'unité du peuple italien. Benito Mussolini exaltait