Grand Corbeau

Commentaire composé sur le Corbeau et le renard : Maître Corbeau, sur un arbre perché, Tenait en son bec un fromage. Maître Renard, par l'odeur alléché, Lui tint à peu près ce langage : "Hé ! bonjour, Monsieur du Corbeau. Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau ! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois. " A ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie ; Et pour montrer sa belle voix, Il ouvre un large bec, laisse tomber

Poème choisi : le Héron, de Jean de La Fontaine, écrit en 1679 J’ai choisi cette fable satirique pour le message qu’elle vise à transmettre aux hommes, celui de refuser une chose par l’espoir d’en obtenir une autre de plus grande valeur, refus qui se solde finalement à l’acceptation d’une chose de moindre valeur. C’est une fable originale qui utilise un animal, le héron, pour dénoncer un défaut de l’homme. Je l’ai aussi choisi pour ses sonorités. On remarque que les différents types de rimes

célèbres, les fables de LA FONTAINE ont eu et ont toujours force de loi pour leshommes. La beauté de l’écriture, une fine perception de la psychologie humaine et une critique aiguisée de la société de sont temps on hissé JEAN DE LA FONTAINE parmi les grands fabulistes de lalittérature. Ses fables, dont il se sert, comme il le dit lui-même, « pour instruire les hommes » sont-elles destinées aux enfants? Peut-on montrer cette critique de l’homme et des mœurs à des enfants quidécouvrent la vie et leurs

5- Pourquoi j’ai choisi ce livre ? Jean de La Fontaine à écrit trois recueils de fables, le premier recueil comprends les livres I à VI et est destiné au Dauphin, fils du roi Louis XIV. Dix ans plus tard un deuxième recueil vit le jour avec les livres VII à XI, celui-ci est destiné à l’époque à Madame de Montespan. Enfin le dernier recueil est publié en 1693 destiné au Duc de Bourgogne, contenant uniquement le douzième et dernier livre. Le livre VII est donc le premier livre du deuxième

son livre. En lui supposant réellement l'objet d'être entendue des enfants, de leur plaire et de lesinstruire, cette fable est assurément son chef-d'oeuvre : qu'on me permette donc de la suivre et de l'examiner en peu de mots. Le corbeau et le renard Fable Maître corbeau, sur un arbre perché,

Commentez et discutez cette opinion. Nous nous souvenons tous des fables de La Fontaine apprises à l’école primaire (même àl’étranger comme c’est le cas pour moi, cela montre aussi qu’elles ont une vocation universelle et intemporelle) comme « Le Corbeau et le Renard », « La Cigale et la Fourmi », « La grenouille qui seveut faire aussi grosse que le bœuf » etc.… Après des années, en classe de première, les programmes scolaires nous les rappellent de façon si différente du contexte dont nous les avons

au cri du corbeau, donc encore une fois au langage, et est comparé au plumage du corbeau. Cette hyperbole flagrante est finalisée par l’alexandrin qui suit (vers 9), où le corbeau est comparé à un phœnix : on a là le cœur de la fable, c’est-à-dire la flatterie du renard. De plus, l’ensemble des mots est choisi de sorte à faire de belles sonorités, les termes employés sont agréables à l’oreille (ramage, plumage, phoenix), mais « ramage » est aussi teinté d’une touche d’ironie. Le corbeau, qui est un

On fait apprendre les fables de la Fontaine à tous les enfants, et il n'y en a pas un seul qui les entende. Quand ils les entendraient, ce serait encore pis ; car la morale en est tellement mêlée et si disproportionnée à leur âge, qu'elle les porterait plus au vice qu'à la vertu. Ce sont encore là, direz-vous, des paradoxes. Soit ; mais voyons si ce sont des vérités. Je dis qu'un enfant n'entend point les fables qu'on lui fait apprendre, parce que quelque effort qu'on fasse pour les rendre simples

------------------------------------------------- Phèdre Né autour de -15 av J-C et mort vers 50 ap J-C . Né en Thrace, probablement dans la colonie romaine de Philippi, Phèdre vint comme esclave à Rome, sans qu'on sache dans quelles circonstances, peut-être encore tout jeune : les manuscrits le disent "affranchi d'Auguste". Phèdre a donc rédigé un recueil intitulé Les Fables ésopiques de Phèdre, affranchi d'Auguste. Il compte cinq livres qui contiennent cent-vingt-trois fables. Les Fables de

Tout d'abord l'originalité du texte permet au lecteur d'être captivé et de mieux saisir l'idée que l'auteur souhaite faire passer, tel que les fables de la Fontaine, qui derriere chacune d'entre elles se véhicule une moral. Démontrons-en deux : Le corbeau et le renard « cette fable nous montre que l'esprit et la sagesse l'emporte toujours » Le lion et le rat : dans cette fable un lion est pris dans des filets et utilise sa force ainsi que son rugissement pour essayer en vain de se libérer, puis un