Grande lèvre

représentent les âmes blanches du roman. On retrouve chez chacune d'elles les symboles suivants : la beauté, les sourires, les fleurs, et la douceur. Clélis de Vincey est la jeune femme du procureur Destinat. Elle est présentée à travers son grand portrait qui ornait l'entrée du Château, « une pièce somptueuse » ( p. 244 ) à l'image de Clélis, peint lorsqu'elle avait 17 ans. Elle est « joliment » décrite par sa « légèreté », « son sourire », « ses joues d'une rose tiédeur », « son élégance »

d’assez grande importance dans le monde. Comme tout brave ouvrier russe, Ivan Iakovlievitch était un incorrigible ivrogne. Et quoiqu’il rasât tous les jours les mentons des autres, le sien ne l’était jamais. Son habit (Ivan Iakovlievitch ne portait jamais de redingote) était de couleur pie, c’est-à-dire qu’il était noir, mais tout couvert de taches grises et brunes ; son col était graisseux et à la place des boutons on voyait seulement pendre des fils. Ivan Iakovlievitch était un grand cynique,

Dans sa chambre, l'habituel cérémonial. Porte fermée à clé, volets fermés, rideaux tirés, boules de cire pour supprimer les bruits du dehors, tous les bruits de non-amour. La lampe de chevet allumée, elle s'étendait sur le lit, arrangeait l'oreiller. Non, ne pas lire encore, faire durer le plaisir. Voir un peu l'enveloppe d'abord. Belle enveloppe solide, sans l'affreux doublage intérieur. Très bien. Et il avait collé le timbre soigneusement, pas sens dessus dessous, tout droit, juste au bon endroit

Nous somme en France, dans l’une des banlieues de Paris. J’ai pour nom Dromillas Raphaël, âge vingt-trois ans d’origine Arabe, aussi Footballeur de profession. Si je devais me décrire selon le regard de quelqu’un, Je suis donc un grand jeune-homme à la peau claire et dorée avec des cheveux tressés d’une couleur noir-marron dégradé. Un « Chabin » comme m’appelais souvent mon voisin situé au même étage que moi. Mon salaire je le gagne aux prix de mes matches gagnés, aux prix de l’effort et de la

questions à ma mère qui répondait avec complaisance, s'attardait sur un détail, se lançait dans une longue digression, mimait une scène. Nos voisins firent naturellement les frais de la fête. Ma mère en parlait sans méchanceté mais avec une assez grande liberté de langage. Elle comparait le mari de Rahma à un âne qui aurait trop mangé de son, celui de Fatma Bziouya à un rat inquiet. Mon père qu'elle appelait « l'Homme» n'échappait pas à ses coups de griffes. Sa haute taille, sa force, son silence

Parole de Prie pour moi de Maska ft Maitre Gims [Refrain : Maître Gims] J'vais sûrement perdre ma vie, bang bang Je navigue sur un tsunami, bang bang Je suis un psychopathe, mon arme me suit au pas, bang bang Je compte sur toi, si je meurs, prie pour moi, bang bang [Couplet 1 : Maska] J'ai dix-sept piges, j'ai besoin d'argent, j'bicrave mon shit dans la street J'rêve de pouvoir, j'rêve de royaume dans des halls qui sentent la pisse Pour moi, ma vie, mon avenir riment avec l'argent facile

J'aime que vous soyez ici. Il fronce les sourcils et consulte sa montre. - Il est tard. Il relève la tête pour me regarder. - Vous vous mordez la lèvre, dit-il d'une voix rauque, en me dévisageant d'un air songeur. - Désolée. - Ne vous en excusez pas. C'est simplement que ça me donne envie de la mordre, moi aussi, cette lèvre. Fort. Je m'étrangle... comment peut-il me dire des choses pareilles et s'imaginer que je n'en serai pas troublée ? - Venez, murmure-t-il. - Quoi ?

jouait aux cartes et son père était aux galères. Tout petit, il voulait rentrer dans la société. Il avait le choix entre ceux qui attaquent la société et ceux qui la défendent. "Alors il décida de la défendre. Il entra dans la police où il eu une grande réussite. Il apporta beaucoup de sérieux dans ses fonctions. A quarante ans, il était devenu inspecteur. En effet, Javert a toujours poursuivi Jean Valjean, au nom de policier, il considérait qu'un forçat restait obligatoirement un être mauvais

cosette etait maigre et bleme , elle paraissait avoir 6 ans pourtant elle a 8ans . ses grands yeux globuleux et sombre devoilaient sa tristesse , sa voix seche montrait la soif ,on laissait deviner son malheure de vivre sans parents , sa maigreure exprimait le manque nourriture ses gestes modestes montaient sa sagesse , sa facon de regarder , son allure ,et son immobilite exprimai sa crainte . JV avait l'aire d'avoir une quarantaine d'annees , il etait de moyenne taille , les yeux sombre , le nez

dévoiler
l'intrigue
et
leur
gâcher
le
plaisir
de
la
découverte.
 • Partir
de
l'affiche:
elle
présente
le
visage
des
deux
actrices
principales
mais
n'apporte
pas
grand
 chose
sur
l'intrigue.
On
peut
la
rapprocher
du
thème
du
double
mais
cela
parait
restreint
pour
 aider
les
élèves
à
aborder
le
film.
 • Partir
du
résumé:
 «
Madame
 Lelievre,
 grande
 bourgeoise
 provinciale,
 a
 trouvé
 en
 Sophie
 Bonhomme
 la
 bonne
 qu'il
 lui
 fallait:
 sérieuse,
 aux
 petits
 soins
 pour
 sa
 famille,
 un
 peu
 bizarre