Grande lèvre

Antigone et la nourrice La nourrice D’où viens-tu ? Antigone De me promener, nourrice. C’était beau. Tout était gris. Maintenant, tu ne peux pas savoir, tout est déjà rose, jaune vert. C’est devenu une carte postale. Il faut te lever plus tôt, nourrice, si tu veux voir un monde sans couleurs. Elle va passer La nourrice Je me lève quand il fait encore noir, je vais à ta chambre pour voir si tu ne t’es pas découverte en dormant et je ne te trouve plus dans ton lit ! Antigone Le jardin dormait

nain. Le grand, débraillé dans un vaste habit de drap écarlate, le col nu dans une cravate dénouée tombant plus bas que le jabot, la veste ouverte avec des boutons arrachés, était botté de bottes à revers et avait les cheveux tout hérissés, quoiqu'on y vît un reste de coiffure et d'apprêt ; il y avait de la crinière dans sa perruque. Il avait la petite vérole sur la face, une ride de colère entre les sourcils, le pli de la bonté au coin de la bouche, les lèvres épaisses, les dents grandes, un poing

1. RÉSUMÉ Première partie : Être Chapitre 1 Le texte s’ouvre sur une déclaration d’autobiographie (fictive) où le narrateur explique qu’il va raconter son enfance et son pays natal. Le ton estlyrique. Chapitre 2 Ce chapitre permet de présenter le personnage principal du roman, la mère. Le lecteur apprend qu’elle a eu une vie difficile : orpheline, puis bonne dans une famille bourgeoise,elle s’est mariée à treize ans avec un homme plus vieux, peu affectueux, qui n’est autre que le père de

Roman : Arthur Rimbaud On est pas sérieux , quand on a dix-sept ans . -Un beau soir , foin des bocks et de la limonade , Des cafés tapageurs aux lustres éclatants ! -On va sous les tilleuls verts de la promenade. Les tilleuls sentent bon dans les bons soirs de juin ! L'air est parfois si doux , qu'on ferme la paupière ; Le vent chargé de bruits -la ville n'est pas loin A des parfums de vigne et des parfums de bière … -Voilà qu'on aperçoit un tout petit chiffon D'azur sombre , encadré d'une

qu’elle soit rebelle et gothique. Jade portait une jupe plus courte que les autres, bien évidemment qu’elle l’avait enroulée en dessous de son polo. Elle avait mis sur ces cheveux un bandeau qui était plutôt « sexy » avec un nœud. Elle avait du rouge à lèvre rouge sur ses lèvres et ses cheveux frisés, cela fait en sorte qu’on réalise que Jade est une fille qui se prépare le matin, puisque son apparence physique est déterminante pour elle. Finalement, François avait accroché sur son polo une feuille de

Antigone 1) Introduction L’œuvre est une pièce de théâtre appelé Antigone. Elle a été réécrite par Jean Anouilh, un écrivain et dramaturge français. Il a rédigé l’œuvre en 1942. En quoi la reprise d’une œuvre d’art préexistante, d’un mythe peut-elle aider à comprendre le présent ? 2) Présentation Jean Anouilh a rédigé cette pièce en 1942 suite à l’acte isolé d’un résistant autonome (Paul Collette) qui s’est fait tuer après avoir tiré sur des dirigeants collaborationniste

paisible et douce, grâce à qui Thérèse peut surmonter de temps à autre la solitude et les longues parties de domino du jeudi soir. Laurent est le camarade d’enfance de Camille, c’est un peintre « raté ». Il y a un portrait mélioratif du personnage : « un grand gaillard », « d'une beauté sanguine » « lèvres rouges, chevelure noir » « un vrai fils de paysan, d'allure un peu lourde, le dos bombé, les mouvements lents et précis, l'air tranquille et entêté » (Ch5) C’est aussi un homme grossier qui est doté d’une

agressée par un objet métallique descendant du ciel, passant devant ses yeux, venant cogner sa lèvre supérieure.., alors que normalement quand elle mange le premier contact est avec la lèvre inférieure. - Placer la personne en bout de table ; s'asseoir en se plaçant sur le petit coté (à droite ou à gauche selon que l'on est droitier ou gaucher) ; tenir doucement sa main ; appuyer avec la cuillère sur sa lèvre inférieure. - Lorsque la personne utilise un objet par erreur (chaussure pour boire, fourchette

de ma gorge. Malheureusement c'était se qui était en train de se reproduire, elle allait me faire craquer et refaire surgir mon peu d'innocence que je possédais... -Ne m'y force pas elle me regarda l'air interrogatrice je m'approchait d'elle à grand pas et férocement, plus que ce que je n'avais désiré, ne me force pas à te tuer, FUIS je ne peux pas me résoudre à te laisser en vie plus longtemps si tu continue à être si attirante, fuis jusqu'où tu pourras, le plus loin possible là où ton odeur

Syracuse, d’où elle sort diplômée en 1960, elle obtient une 2eme diplôme à l’université de Wisnosin – Madison en 1961. Elle enseigne la littérature à l’université de Princeton, et sort son premier livre, le début d’une longue série en 1933. E Sa grand-mère Blanche Woodside, qui l’intéressa à la littérature, et lui offrit une machine à écrire. Il y a aussi Evelyn Schrifte, la directrice des éditions Vanguard, elle est un peu l’élément déclencheur de la carrière d’écrivaine de Joyce Carol, en