Grecs

Troyens ne purent jamais incendier les vaisseaux grecs, ni les forcer à reprendre la mer. Et les Grecs ne purent jamais faire une percée dans les murs de la ville pour reprendre Hélène aux Troyens. C'est à la fin de la neuvième année de guerre que commence le récit d'Homère. www.iliadeodyssee.com 8 L’Iliade et l’Odyssee L’Iliade L’Iliade Voici l’histoire de la guerre de Troie, et comment, dans les plaines baignées par la mer Égée, les Grecs reconquirent Hélène et châtièrent Troie. Les

eurent, en rangs serrés, pris contact avec eux, combattirent de façon mémorable. Ils furent en effet, autant que nous sachions, les premiers de tous les Grecs qui allèrent à l'ennemi en courant, les premiers à supporter la vue de l'équipement des Mèdes et d'hommes portant cet équipement, alors que, jusque-là, rien qu'à entendre le nom des Mèdes, les Grecs étaient pris de peur. La bataille dura longtemps à Marathon. (...) La victoire resta aux Athéniens. Les Perses prirent la fuite ; ils les suivirent

ans de guerre opposant les Grecs aux Troyens, Ulysse eût l’idée de construire un grand cheval de bois où des soldats grecs se cacheraient pour faire une attaque surprise aux Troyens. Ulysse offrit donc ce cheval aux Troyens. Durant la nuit, les Grecs sortirent du cheval par une trappe et attaquèrent Troie par surprise, alors que les Troyens étaient en fête. Les soldats grecs brulèrent Troie, tuèrent tous les hommes, et rendirent en esclavage toutes les femmes. Les Grecs avaient vaincu Troie grâce

le code] Les Grecs de l'Antiquité élaborèrent différents styles architecturaux : l'ordre dorique, sobre et massif, et l'ordre ionique, plus raffiné. L'ordre ionique évoluera par la suite en ordre corinthien. Les temples antiques de l'Époque classique, rectangulaires, entourés de colonnades et surmontés d'un fronton triangulaire étaient construits de marbre ou de calcaire. Ils restent encore à ce jour un style très populaire. Alors que l'arche était une construction familière aux Grecs, elle ne fut

| | | X | X | | | | | | X | | | | | | | X | X | | | | | | | 5) Acte 1 - Oreste, ambassadeur des Grecs, parvenu en Epire au palais de Pyrrhus, y retrouve un ami fidèle, Pylade. Oreste vient au nom de la Grèce exiger de Pyrrhus qu’il lui livre Astyanax, le fils d’Hector et d’Andromaque. Ce fils doit mourir ; ce n’est encore qu’un enfant mais les Grecs redoutent qu’il ne veuille un jour venger sur eux la défaite de Troie et la mort de son père Hector. Oreste confie toutefois

I. les minoens a. Une civilisation palatale b. Une civilisation de l’écriture 5000 ans d’histoire avec écriture sur 50 000 ans d’existence. La finalité de l’écriture est de porter un message à distance. Les Grecs mettent au pt au 17/18ème s. av. JC 3 écritures :  Hiéroglyphique (25 000 signes)  Linéaire A et B Le linéaire A est le plus ancien et le plus complexe. Pas mal de dessins. Evolution vers le syllabique. Le linéaire B est moins complexe et tend vers le syllabique, avec tableau

anciens Grecs (voir Doc.1). Les fouilles sur l’agora d’Athènes ont permis de découvrir un grand nombre d’instruments de cuisine très variés. Tous ces ustensiles de cuisine sont des objets en céramique (terre cuite). Les mosaïques au sol et les fresques dans les maisons représentent très souvent des scènes de banquet. B. Grâce à la littérature : Homère, le poète Hésiode et surtout les comédies d’Aristophane nous ont permis d’imaginer ce que mangeaient habituellement les Grecs ainsi que

éléments décoratifs en terre cuite et peints placés sur le toit du fronton. L'ordre corinthien : est le dernier des trois ordres architecturaux grecs, dont le caractère est surtout déterminé par une grande richesse d’éléments et un chapiteau décoré de deux rangées de feuilles d’acanthe1. L'ordre corinthien est le dernier des trois ordres architecturaux grecs, dont le caractère est surtout déterminé par une grande richesse d’éléments et un chapiteau décoré de deux rangées de feuilles d’acanthe1. Si

portent se nom car lors des premiers contacts entre les Grecs et les Perses, ces derniers étaient soumis au peuple des Mèdes. Ces guerres opposent les Grecs et les Perses de 498 à 448 av. J.C car les citées Grecques qui étaient sous la domination des Perses ce sont révoltées. La victoire de ces Guerres revient aux Grecs lors de deux grandes batailles : la bataille de Marathon en 490 av. J.C et la bataille du cap Mycale en 479 av. J.C. Pour les Grecs, la victoire est un signe de supériorité de leurs

à mettre en regard les coutumes des Grecs avec celles des Égyptiens et des Sémites du Moyen-Orient. Et nous trouvons chez cet auteur du ve siècle avant J.-C. tant les nécessités que les difficultés de la notion. Avec une finesse déjà structuraliste, Hérodote constatait par exemple que les Grecs mangeaient dehors et faisaient leurs besoins dans la maison, à l'inverse des Égyptiens. De même, il remarquait que la virginité des jeunes filles, à laquelle les Grecs attachaient tant de prix, était, à Babylone